Où es-tu beau Cambodgien
Mon copain de pain d’épices
Peu causant mais dont les mains
Gazouillaient entre mes cuisses
Nos nuits s’appelaient délices
J’épousais chaque bosquet
De tes toisons rarissimes
Quêtant le musc embusqué
Au fumet si pousse-au-crime
Que j’en plongeais dans l’abîme
Nos jargons trop différents
C’était pas pour la parlotte
Que tu venais déférent
Battre à l’huis de ma culotte
Et jouer les polyglottes
Je buvais du petit lait
Ô mon adorable bonze
Quand riant tu m’enfilais
Ce dru petit mât de bronze
Qui me retournait débonze
Mon plaisir allait si loin
Que je songeais Ah l’Extrême
Orient ça vaut tous les joints
C’est le summum et la crème
L’amour au degré suprême
Tu disparus un beau jour
Mon copain de pain d’épices
Pas de permis de séjour
Les temps n’étaient pas propices
À nos voluptés métisses
Ton pantoum dans mon haïku - Page 9
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Extrême-Orient
Catégories : Heptasyllabes (7) -
À force de lamper…
Catégories : Octosyllabes (8)Allah m’est témoin, mon doux prince,
J’ai astiqué de tout mon cœur —
Mille et une nuits de labeur —
Mais à présent, basta ! je rince.
Il a jailli de ce truc-là
Tout ce qu’on veut : du miel, du beurre,
De blanches perles d’heure en heure
Reluisant d’un humide éclat.
Que d’autres en vain s’ingénient,
J’en ai soupé, moi, du gourdin
Dont selon vous, sire Aladin,
Devait surgir un beau génie… -
Le jour où le Dr Hui faillit découvrir le remède au dernier variant du diabolique virus mortel
Catégories : Jocelyn WitzMa dernière sottise en lecture libre (ici-même).
Rien de tel qu’une bonne pandémie… pour m’inspirer des histoires rigolotes.
Après Bébé et Le syndrome du corps vide, voici que les virus frappent à nouveau !
En dessous de la ceinture, cette fois.
En même temps, c’est vendredi 13, hein…
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Être son rien
Catégories : Quadrisyllabes (4)Je suis le sac
Assez pratique
Qu’il fourre en vrac
D’âme ou de trique
Je suis la crique
Pour ses éjacs
Je suis le sac
Je suis la poche
Je garde en stock
Chaudes bidoches
Électrochocs
Plaisirs en toc
Je sais c’est moche
Rien que la poche
Ou le carnier
À deux charnières
Le vieux panier
L’humble chaumière
La taupinière
Désirs déniés
Jusqu’au dernier
Je suis le vase
Sodomisé
Je suis la vase
À recreuser
J’ai beau ruser
Plus il m’écrase
Plus je m’embrase
Je suis son bien
Denrée pubienne
Vague amphibien
Ou presque chienne
J’attends qu’il vienne
Et me souviens
D’être son rien -
Les lanciers
Catégories : Octosyllabes (8)Vingt pines en bonne et due forme
Fendent gaiement les uniformes.
L’adjudant passe dans les rangs,
Contrôlant tout, considérant
Les teintes et la turgescence
Des fiers lanciers de la semence
Dont les musettes se balancent.
« Soldat Pinot, huit jours de trou !
Ce nœud-là r’ssemble à un vieux clou...
Dugland-Moisy, quelle baudruche
Pitoyable ! Vous f’rez les pluches…
Dardillon, sacré partouzard,
Êtes-vous propre ? Eh ! vot’ bazar
Vient d’me gicler sur le falzar !
Z’irez astiquer pour la peine
Les beaux bib’lots du capitaine...
Soldats Berdouillette et Lefion,
Rectifiez-moi la position,
Bordel à queue ! De la prestance !
Pensez à l’Armée, à la France !...
Z’avez c’qui faut en munitions ? »
Vingt pines en bonne et due forme
Dressent autant de glands énormes,
En d’irréprochables saluts
Sur quarante couillons velus.
Pendant ce temps la colonelle,
Dans la guérite aux sentinelles,
Attend nue le premier conscrit
En s’étrillant le mistigri. -
Un rêve utérin
Catégories : Hexasyllabes (6)De la nuque à tes reins
Je me trouble et suffoque
Quand tu gis contre moi
Endormi sous mes doigts
Échoué comme un phoque
Ou un rêve utérin
Scintillant équivoques
Les poils de ton cul roi
Ébranlent le silence
Et vibrant en cadence
Sous mon souffle je crois
Mettent mon cœur en loques
Je compte jusqu’à trois
Mentalement puis lance
La main sans me hâter
Au fil de ta beauté
Faisant durer l’errance
Refusant d’aller droit
Ma paume ivre de transe
Ta peau au débotté
Toute mienne en cette heure
Occuper le terrain
De la nuque à tes reins
Après ça que je meure
Ou me fasse sauter
Quelle est la différence
Heureuse remonter
Ces plaines que j’effleure
Jusqu’à ce cou taurin
Où le plus fin airain
Verse un torrent de beurre
À mes doigts aimantés
Pendant ce temps ça pleure
En moi ça s’égare un
Long néant se disloque
Et mon ventre entrechoque
Saillant comme un burin
De larmes intérieures
De la nuque à tes reins
Et retour je suffoque
Quand tu gis endormi
Sous mes doigts de fourmi
Échoué comme un phoque
Ou un rêve utérin -
Adieu l’Hellade
Catégories : Octosyllabes (8)Un beau phallus de dix empans
Le précède : c’est le grand Pan
Toutes nos langues s’y baladent
Nos doigts lui jouent des sérénades
Plus d’un con part à ruisseler
Se rêvant fort écartelé
Par ce vit méritant aubade
Mais le dieu se montre maussade
Nous tremblons de le décevoir
Et plus encor que nos espoirs
Se voient déçus : on veut le fade
Loin du village et des nuits fades
Ô ressembler aux animaux
Fourrer à en perdre les mots
Pour notre amant aux yeux de jade
Nous tournons le dos à l’Hellade
Joie ! c’est mon corps qu’il a choisi
Pour river un gland cramoisi
Je vais en prendre pour mon grade
Avec lui oh ! pas de pommade
Je sens qu’il force sans douceur
Mon ventre crève d’épaisseur
Puis commence la cavalcade
Et piaulent mes cris de pintade
Les autres rient : on s’entrefout
Nos esprits sont devenus fous
Nulle femelle ne s’évade
Lorsque Pan baise ses ménades -
Petit écureuil
Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)Petit écureuil
Viens sur mes genoux
Que je voie ton œil
Quand tu entres en nous
Petit écureuil
Toi qui fais le fou
Je le sens ton œil
Lorsque tu nous fous
Je sens le panache
Du gland polisson
Qui fait cache-cache
Dans nos calissons
Petit écureuil etc.
Je vois ton prépuce
Qui frotte partout
Et tes sauts de puce
Nous piquent beaucoup
Petit écureuil etc.
Je sens tes noisettes
Qui pour nous défier
Mordent à la touchette
Nos cons tuméfiés
Petit écureuil etc.
Plus haut dans les cimes
Tu nous fais grimper
Quand ravie ta lime
Vient nous ramoner
Petit écureuil
Toi qui fais le fou
Je le sens ton œil
Lorsque tu nous fous
Petit écureuil
Ne fait plus le fou
Il a fermé l’œil
Et pleuré en nous -
En mode macro
Catégories : Pentasyllabes (5)Séduite en visite
Clartés déconstruites
Nos corps dévêtus
J’ai de tes vertus
Une vue réduite
Vouloir obstiné
Désir effréné
Voyons où ensuite
En avant la fuite
Va nous emmener
Sous la mousse grise
Frissonnante frise
Chatouillons du nez
La grume qui naît
Et s’enfle indécise
L’aile éparpillons
Du doux papillon
Et lapons l’exquise
Eau-de-vie qu’on puise
Rosée vermillon
Enfonçons-nous toute
Au pourpré des voûtes
Suivons le sillon
Patiente essayons
D’ouvrir une route
Tâtant leurs vertus
Il faut dévêtus
Qu’à la fin sans doute
Nos deux corps se foutent
Amie que veux-tu -
À la pêche aux moules
Catégories : ChansonÀ la pêche aux moules moules moules
Je n’veux plus y aller maman
L’évent de la fille fille fille
Voulait plus m’lâcher maman
L’évent de la fille fille fille
Voulait plus m’lâcher maman
L’évent de la fille fille fille
Oh tu verrais ça maman
Ça t’aspire la quille quille quille
Et la gobe entièrement
Ça t’aspire la quille quille quille
Et la gobe entièrement
À la pêche aux moules moules moules
Je n’veux plus y aller maman
L’évent de la fille fille fille
C’est un carnassier maman
L’évent de la fille fille fille
Au fond ça m’fait chier maman -
Jusqu’au fond
Catégories : Octosyllabes (8)Ton sexe rampe à l’intérieur
Cherche à me dévorer le cœur
Je le sens peu à peu grandir
Pouce après pouce et mon martyre
Dure depuis peut-être une heure
Il va se passer quelque chose
Sans doute une métamorphose
De larve je deviendrai nymphe
Baignée de ton sang de ta lymphe
Déployant des nervures roses
Mais toi tu broies mes certitudes
Me vides toute et me dénudes
Jusqu’au fond de mon être-femme
Ton membre entré comme une lame
Déchirante et brûlante et rude
Je ne retiens plus les humeurs
Les sanglots qu’en toute impudeur
Ce sexe durci qui s’étire
À l’intérieur me fait sortir
Rampant suçant mes moindres pleurs -
Dame Câline
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Pentasyllabes (5)Vivait une dame Câline
À la motte de beurre frais
Se branlant souvent la praline
Sans cesser pourtant d’engouffrer
Ce qui l’enivrait
Les vits vrais de vrais
L’exquis salami
De ses bons amis
Elle épousa monsieur Crampette
Dont le nœud coiffé d’un beau gland
Mince et long comme une pipette
Dégouttait ce fromage blanc
Ce gloubiboulga
Cet alcool de gars
Ce savoureux miel
Acide essentiel
Leur fille, une belle gougnotte
D’âme libre et de cul poupin
Avait au fond de la culotte
Un volcan pas pour les copains
Elle aimait Elvire
Aude et Déjanire
Leur tendre abricot
Au goût tabasco
Le fluet prince Débandade
Mollement lui faisait la cour
Et reluquait en embuscade
La gouine aux violentes amours
Son petit oiseau
Faisait quelques sauts
Puis se rendormait
Oisif à jamais
Fou de rage il envoie sa troupe
De soudards et de cornichons
À l’assaut de toutes ces croupes
Rebondies et ces beaux nichons
Qu’elles soient violées
Et roulées-boulées
À coups de boutoirs
Au sein du boudoir
Mais voici que la fée Lesbosse
Déboulant de l’aéroport
Saute sur les reitres féroces
Et illico les change en porcs
On fit du boudin
De tous ces gredins
Et le prince aigri
S’enfuit en Hongrie -
L’autre bout de chair
Catégories : Octosyllabes (8)Tu es si beau que tu embaumes
Et te raidis sous l’œil d’Isis
Ensablé loin des oasis
Je veux conserver tes atomes
Corps nu bandé qui bande ô dur
Forme endormie anatomie
De mon désir affreux momie
Je veux ébranler le futur
Certes ta mort au fond me navre
Ton cœur Pharaon me fut cher
Mais moins que l’autre bout de chair
Que j’ai ôté de ton cadavre
Comblant mes flancs inassouvis
Le vit lisse enduit de bitume
M’offre ce lent amour posthume
Où sans fin défunt tu revis -
L’emputation
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Mon souffle court de bite en rut
Bavulve à longs sanglots d’enfente
En se foufilant sous la tente
De leur calbut
Car ma chair muque et je crimouille
Allant partout clitortillant
Du culte hélant les broutaillants
Porteurs d’annouille
La nuit veut nue rêver mon shoot
Vaginjection damasculine
Grog lent de sang qui m’émouline
Foute que foot
Désespénétrée je m’empute
Et finis par branluminer
Ce coconnin affaminé
Qui m’orgasmute -
J’ai descendu dans ton jardin
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)J’ai descendu dans ton jardin (bis)
Laper ta rosée du matin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Tirant sur ton slip en satin (bis)
J’y glissai mon nez libertin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Là juste sous ton poil blondin (bis)
S’ouvrait un antre incarnadin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Il était si doux, le gredin (bis)
Qu’un frisson m’ébranla les reins
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Sitôt que j’y goûtai un brin (bis)
Tu soupiras dans les lointains
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
L’air se remplissait de parfums (bis)
Aiguisant peu à peu ma faim
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Ah ! je voudrais être un lutin (bis)
Pour entrer toute en ton connin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Sous mes frôlements, mes patins (bis)
Tes chairs rendaient des jus divins
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Je m’abreuvai tant et si bien (bis)
Que tu mordis le traversin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Toujours lorsque je suis à jeun (bis)
J’aime à boulotter ton vagin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud -
J’ai descendu dans mon jardin
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)J’ai descendu dans mon jardin (bis)
Pour m’y branler tôt ce matin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Pour m’y branler tôt ce matin (bis)
J’avais pas fait trois va-et-vient
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
J’avais pas fait trois va-et-vient (bis)
Qu’une voix sort de ce mandrin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Qu’une voix sort de ce mandrin (bis)
Et me dit trois mots en latin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Et me dit trois mots en latin (bis)
Que les hommes bandent moyen
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Que les hommes bandent moyen (bis)
Et les garçons à peine au point
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Et les garçons à peine au point (bis)
Laissant les dames en grand besoin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Laissant les dames en grand besoin (bis)
Par bonheur il y a des engins
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Par bonheur il y a des engins (bis)
Tels que moi dans les magasins
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Tels que moi dans les magasins (bis)
Toujours prêts à te faire du bien
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau -
Seigneur de la tringle
Catégories : Hexasyllabes (6)J’ai tant aimé Tarzan
Dans ses bras écrasants
Je mouillais tout mon linge
Et la lippe de singe
Qu’il faisait en baisant
Me remuait les méninges
Je lui plus illico
Il m’ouvrit l’abricot
Y fourra des bananes
En tripotant sa liane
Une noix de coco
Lui tenait lieu de crâne
Humain redevenu
Sauvage et vivant nu
Sans pognon ni cravate
Tel ses amis primates
Il prit mon con charnu
Pour un lys écarlate
Le bulbe primitif
Juste au ras du calcif
Il régnait sur la jungle
En seigneur de la tringle
Doté d’un pendentif
Pointu comme une épingle
J’ai tant aimé Tarzan
Sa fougue et ses six ans
D’âge pour la jugeote
Le nez dans ma culotte
Il humait les brisants
De mes miels d’échalote
J’adorais l’épouiller
Le soir agenouillés
Au sein de la verdure
Je tuerai les ordures
Qui me l’ont empaillé
La queue même pas dure… -
Les petits yeux
Catégories : Octosyllabes (8)J’aime qu’un homme m’aplatisse
Que ses mains poilues me saisissent
Fassent des folies de mon corps
J’aime les sans-gêne les porcs
Aux petits yeux suintant le vice
M’ouvrant à eux sans un remords
Me livrant toute et sans temps morts
Je jouis d’autant plus qu’on abuse
De moi sans aucun mot d’excuse
En démontant tous mes ressorts
Poupée de chair bourrée de ruse
Pantin docile je m’amuse
Quand je les aide à tirer d’eux
Les fantasmes les plus odieux
Dont Dieu sait ! leur âme est profuse
Vive les pervers les huileux
Vous triturant à qui mieux mieux
Les obsédés les presqu’artistes
Les sans-honte et jusqu’au-boutistes
Les porcs aux petits yeux vicieux -
Au paradis des moutons
Catégories : Heptasyllabes (7)Le roseau pensant bien faire
Insolite mammifère
Dénature en trafiquant
Et comme un con prolifère
Foutons, l’ami
Foutons l’camp !
Laissons-le à ses chimères
Ses humains en polymères
Ses lendemains seppuku
À l’odeur d’amande amère
Tirons, l’ami
Tirons-nous !
L’homo sape et mortifère
Plus crétin qu’un conifère
Se prend pas pour du plancton
Pontifie et légifère
Au cul, l’ami
Occultons !
Cet enfer plein de moutons
Foutons, l’ami
Foutons l’camp
De ce cloaque écœurant
Tirons, l’ami
Tirons-nous !
La porte est là, mon minou… -
L’enfoncée-là
Catégories : Octosyllabes (8)La bite chevillée au corps
Faudra me tuer pour m’en défaire
On s’aime à la vie à la mort
Tant que nous portera la terre
L’enfoncée-là me sera chère
Ma co-pine est comme cochon
Avec mon cul qu’on déchemise
Jour après jour nous nous fichons
L’une dans l’autre à l’antre mise
Parties fines jamais remises
Le bras dessus la queue dessous
Taillant la route inséparables
Nous nous foutons pas mal des sous
Et de tous vos châteaux de sable
Moi et ma quenelle adorable
Comme la chienne a son bâton
Je n’ai pour amie sur la terre
Que l’anguille des caleçons
La vérité gaillarde arrière
L’enfoncée-là sans rémission