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Ton pantoum dans mon haïku - Page 11

  • No fur !

    Catégories : Octosyllabes (8)

    La peau d’lapin c’est doux c’est frais
    Mais bientôt les poils se débinent
    C’est plus bon à que dalle après
    Même astiquer les carabines
    La peau d’lapin c’est chou c’est vrai
    Mais j’aime mieux la peau d’la pine

    Aussi tendre qu’un cul d’bébé
    Sensible à mort et extensible
    Sa muqueuse me fait tomber
    À g’noux d’amour irrémissible
    Plus polie qu’un caillou d’abbé
    Ô peau d’la pine c’est toi qu’je cible

    J’la déshabille à l’apéro
    J’la flatte et frôle au gras du pouce
    J’y fais tout doux monter l’sirop
    Tant pis si la mousse éclabousse
    À siffler c’est pas bien chérot
    Deux-trois peaux d’la pine sur le pouce

    J’la laisse aussi (mais ça va d’soi)
    À l’occasion m’fourrer où j’pense
    Panse honnie où nul mâle y soit
    Pis faut bien qu’un homme i s’dépense
    Aussi j’l’invite ô soie sur soie
    À m’peau-d’la-piner sans défense

    OK la peau d’lapin c’est doux
    Mais un détail me turlupine
    Il faut tuer la bébête et tout
    Et qu’essque d’vient la pauv’ lapine ?
    Moi la fourrure au fond j’m’en fous
    Vraiment rien n’vaut la peau d’la pine

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  • La porte à côté

    Catégories : Hexasyllabes (6)

    Amour gloire et beauté ?
    J’ai presque tout raté
    Saboté l’existence
    Qui m’a jamais souri
    J’ai rien d’une houri
    Je sais la différence

    Amour gloire et beauté ?
    À la corde à sauter
    J’ai rêvé qu’on décolle
    Mais suis retombée bas
    Au diable les ébats
    Les débats les écoles

    Amour gloire et beauté ?
    Dans mes sabots crottés
    J’ai les orteils qui partent
    Tout n’importe comment
    Et mon unique amant
    M’a dit qu’essque t’es tarte !

    Amour gloire et beauté ?
    Sitôt le zob ôté
    J’ai chu à la poubelle
    Tant les gens sont méchants
    Prenant la clé des champs
    Mon mec s’est fait la belle

    Amour gloire et beauté ?
    C’est la porte à côté
    Celle aux femmes fameuses
    Corset sur un corps sain
    Moi j’ai des poils aux seins
    La vie quelle allumeuse !

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  • Une récompense alléchante

    Catégories : Jocelyn Witz

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    Encore une histoire de cercle libertin, de baisade à plusieurs

    Encore un jeu cochon

    Avec, bien entendu, ses gagnants et ses perdants

    Éternel vainqueur : le désir…

     

    C'est ma dernière petite histoire en lecture libre ici.

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  • Les gars de la Navy

    Catégories : Hexasyllabes (6), Octosyllabes (8)

    Le canon s’est tu dans les plaines
    Et la fille à soldats se plaint
    Dès que son ventre n’est plus plein
           La pauvre a de la peine

    Que reviennent ces galopins
    Ces régiments de blanche épine
    Elle aimait leurs façons lapines
           Qui lui valaient son pain

    La guerre a fui c’est pas de veine
    Fini les fouteries le vin
    La belle se caresse en vain
           Et s’envoie des verveines

    Où sont les gars de la Navy
    Les kalachs les shakos l’évitent
    La fille à soldats ô maudite
           Se lustre le parvis

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  • Celle qu’on regrette

    Catégories : Octosyllabes (8)

    C’est la secrète fiancée,
    La fille habitant mes pensées,

    C’est l’ombre au blanc de mes miroirs,
    Que je sais sans jamais la voir,

    C’est la fée d’or bruni, l’ancienne
    Histoire en deçà des persiennes,

    C’est le flou babil au revers
    De mes silences d’univers,

    C’est l’écho dans l’oreille avide
    Qui ne surprend plus que le vide,

    C’est le souvenir d’un parfum
    Aux relents de rêve défunt,

    C’est la douleur qui se déguise
    En vagues bleues et indécises,

    C’est son œil surgi des beautés
    D’un nuage détricoté,

    C’est son ventre de pluie d’orage
    Chaude où mes nefs ont fait naufrage,

    C’est sa main, son rire, sa voix
    Creusant ma chair à chaque fois,

    C’est son pied me baisant la bouche,
    Son nom resté telle une souche,

    Et, tout soudain, happant l’instant,
    Le miel amer d’un autre temps...

    C’est celle, en somme, qu’on regrette :
    Elle, ma fiancée secrète.

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  • Un cœur froissé

    Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Tu la cueillis ma rose inerme
    En effeuillas les épidermes
           Sans y penser
    Moi frêle bouton sans alarmes
    En te laissant le choix des armes
           Je m’effaçai

    Tu l’affolas ma fleur sauvage
    L’abandonnas sur ce rivage
           Bien délaissé
    Depuis la pluie les vents me mangent
    Et tous tes amours me dérangent
           Quand je les sais

    Tu les déchiras mes pétales
    De naïve et neuve vestale
           Était-ce assez
    Humer l’âme et le bouquet d’elle
    Puis t’en aller à tire-d’aile
           Dans l’air glacé

    Sans épine ivre sous ton charme
    Je fus la violette de Parme
           Au cœur froissé
    Qu’au bout du jour qui se referme
    Tu broyas sous le talon ferme
           D’un pas pressé

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  • La jument infernale

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

    En avant vers d’autres fuseaux
    Horaires, d’autres latitudes,
    Les îles aux sadomasos
    Où j’aurai toute latitude !

           Nul besoin de voter ! Foin des référendums !
           Voici venu le temps béni de la femdom !

    À poil, soumis, petits oiseaux
    Se bousculeront à mes bottes ;
    Je cinglerai ces damoiseaux,
    Les enfilerai sans capote.

           Trois milliards de nanas ? Tout autant de bégums !
           Voici venu le temps béni de la femdom !

    Fous mes désirs, troubles mes eaux :
    Je veux malmener les balloches,
    Gifler les culs et les museaux,
    Puis soudain rouler des galoches.

           Trois milliards d’ex-machos ? Autant de factotums !
           Voici venu le temps béni de la femdom !

    Le feu jaillissant des naseaux,
    Je suis la jument infernale
    Qui mord à sang les chorizos
    Et ruine la fierté des mâles.

           La foufounette enfin peut reluire au summum !
           Voici venu le temps béni de la femdom !

    En avant toute, amoroso !
    Vers l’archipel auquel j’aspire,
    Le pays des sadomasos
    Dont je serai reine vampire !

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  • À mes doigts de menhir

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

    Dieu vous garde, ô beau mec qui, n’ayant pas osé
    Me prendre et me découdre au fil de votre aiguille,
    Me laissiez pourtant voir que j’étais jolie fille !
    Nos yeux se sont connus, mais nos pas se croisaient ;
           Ce soir mes doigts ont refusé
    D’attendre plus longtemps : ils sont votre cheville.

    Dieu vous garde à qui la sentira pénétrer
    Son temple plus heureux, cette ardeur missionnaire
    Qui brûle en vous, née du soleil et du tonnerre !
    Je l’ai lue sur le cercle indécis de ces traits
           Où vos lèvres tenaient secret
    Ce qui devait lécher à mes vasques lunaires.

    Dieu vous garde pour elle et pour le souvenir
    Que je chéris de vous, seule au nu de la chambre
    Obscure où mes reins vont, viennent, s’ouvrent, se cambrent,
    S’offrent aux doigts mouillés, à mes doigts de menhir,
           Ô mec qui n’avez su venir
    Mais connaissiez combien je briguais votre membre !

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  • Chinoiseries

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Ce mandarin s’intéressa
    De fort près à ma mandarine
    Il fendit l’écorce et pressa
    Sa bouche au ruisseau violine
    C’était une orange sanguine

    Du yin le yang fit un étang
    Pour y plonger tantôt sa plume
    Tantôt sa langue en même temps
    Montaient des cris de corps de brume
    Tant ruisselait le bel agrume

    Ce chou Mandchou me chinoisait
    Le ventre à force de supplices
    Je ne l’ai plus jamais croisé
    Mais quand d’Orient les ors jaillissent
    Ma peau vire au rouge écrevisse

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  • J’ai pas sommeil

    Catégories : Pentasyllabes (5)

    Je ne suis pas haute
    Ni jeune et pourtant
    Sitôt qu’on me saute
    J’ai moins de vingt ans
    Les pics les falaises
    Je les grimpe à l’aise
    Comme en d’autres temps

    Suffit que me plaise
    Un bel animal
    Que mes mains soupèsent
    Un nœud optimal
    Le poids des années
    Quand on m’a pinée
    Je m’en fous pas mal

    Je ne suis pas née
    Du dernier soleil
    À demi canée
    Mais j’ai pas sommeil
    Bien après minuit
    Je nique l’ennui
    Et baise au réveil

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  • Indiscrétions

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Voici qu’à nouveau se perdit
    Dans quelque pubis et sa jungle
    Ton doigt dodu dépourvu d’ongle
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    D’un violacé de vieux radis
    Troussant partout la capucine
    Nulle part il ne s’enracine
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    Sans cesse en rut toujours roidi
    Il fout ladies et roturières
    Par amour ou par le derrière
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    La vue d’un cul l’engaillardit
    Pourvu qu’il soit d’une poulette
    Un peu facile, un peu seulette
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    Sitôt dans la place, oh hardi !
    Sans attendre le tour de chauffe
    Il les investit, les endauffe
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    La laide ne le refroidit
    Pas même, car il ne s’entiche
    Que des cavités de leurs miches
    C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit

    Chercherait-il le paradis
    La flânerie dans les venelles
    Ou la matrice originelle ?...
    Ça, mon p’tit doigt ne l’a pas dit

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  • Cantique des salopes

    Catégories : Heptasyllabes (7)

    Notre-Dame des branleuses
    Ne me laissez pas tomber
    Si seule si amoureuse
    Aidez-moi à m’entuber
    À m’en rendre la foune arse
    Par pitié Reine des Garces

    Notre-Dame des gougnottes
    Prêtez-nous le feu ce soir
    Que nues nos langues tricotent
    Et foutent nos encensoirs
    Pour prix de quoi Sainte Vierge
    Je vous consacre un gros cierge

    Notre-Dame des bougresses
    J’ai déniché l’enculeur
    Étalon noir et sans graisse
    Dont je jouirai dans les pleurs
    Grand merci Putain Suprême
    Je boirai pour vous la crème

    Ma Divine et Blanche Dame
    Pardonnez mes flots de miel
    Et admettez l’humble femme
    Que je fus dans votre Ciel
    Je promets d’y être sage
    Hormis quelques dérapages

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  • Fais-moi une place

    Catégories : Chanson

    Fais-moi une place au fond d’ta moule
    Même si Ignace y a mis sa s’moule
    Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais
    Pour te grimper

    Fais-moi une place au creux d’ta bouche
    Que j’te décrasse à la farouche
    Je giclerai du gland tout blanc, gommeux
    Pareil comme eux

          J’veux rester dans l’coup avec tes potes
          Si tu veux j’mettrai même une capote
          Je t’aime

    Fais-moi une place dans ton trou d’balle
    Près d’Stanislas et d’Hannibal
    Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit
    Quand j’t’emboutis

    Fais-moi une place au fond d’ton pieu
    Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu
    J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux
    Sois tranquillou

          J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte
          J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite
          Je t’aime

    Une petite place ici maint’nant
    Entre Jonas et Ferdinand
    J’me lav’rai même un peu la queue des fois
    Si j’ai pas l’choix


    Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=GF_MInbyiVA


    Retrouvez tous ses plus grands succès en un seul volume :

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  • Elle voulait que j’l’appelle soumise

    Catégories : Chanson

    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Vous me voyez, moi, l’humilier, la ligoter à un pilier
    Pour lui arracher sa chemise et la fouetter ?
    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Quelle drôle d’idée !
    Quelle drôle d’idé-é-ée !
    Quelle drôle d’idé-é-ée !

    J’préfère quand elle me sodomise
    Le cul en feu, les reins brisés
    La pine éprise de sa beauté
    Prenant mon pied par l’entremise
    Du silicone de son long pieu
    Moi j’ai encore pas trouvé mieux
    Pas trouvé mieu-eu-eux
    Pas trouvé mieux

          Puis elle s’est sal’ment compromise
          Avec un gonze à l’air vicieux
          Alors là, mouillant ma chemise
          J’l’ai décalqué, ce p’tit monsieur
          Du coup, maint’nant j’ai la mainmise
          Sur deux tordus : elle et le vieux...

    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Le cul en feu, les reins brisés, elle me supplie de l’enfiler
    Désormais j’la déshumanise pour la baiser
    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Quelle bonne idée !
    Quelle bonne idé-é-ée !
    Quelle bonne idé-é-ée !
    (ad lib.)


    Sur l’air de « Elle voulait qu’on l’appelle Venise » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=3-zYIf81--w
     

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  • Si on foutait

    Catégories : Chanson

    La grande Édith
    Mange ma bite
    La p’tite Sylvie
    Bouffe mon vit
    Marie si belle
    Marie dentelle
    Marie rondelle
    M’plume l’hironde-e-elle

    Trois bonnes copines
    Qui m’sucent la pine
    Trois belles nanas
    Rien que pour moi ah ah ah ah ah ah ah ah

          Si on foutait
          Si on foutait
          Si on foutait
          Si on foutait là là là là
          Si on foutait là là là là
          Si on foutait là là là là
          Ah mes divines, si on foutait

          Si on foutait
          Si on foutait
          Si on foutait
          Si on foutait là là là là
          Si on foutait là là là là
          Si on foutait là là là là
          J’ai les couilles pleines, si on foutait

    Mais la grande Édith
    Veut qu’j’la crédite
    La p’tite Sylvie
    M’faxe un devis
    Marie si bonne
    Marie tamponne
    Marie gloutonne
    J’me réabo-o-o-onne

    Faites un rabais
    À m’sieur l’abbé
    Soyez pas vaches
    J’vous paierai ca-a-a-a-a-a-a-a-ash

          Si on foutait
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Si on chantait » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=qAqDPNi1mM4

     

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  • Mets-lui ça

    Catégories : Chanson

    Mets-lui ça, enfonce-lui fissa
    Ton bambou tout pointu
    Tu vois bien qu’elle attend plus que ça
    Mets-lui ça, ça la tue

    Mets-lui sa chatte à la harissa
    Pine à bride abattue
    Plus d’une fois même on la fessa
    Après l’avoir foutue

          « Arrête, horrible individu !
          J’ai la choune à sang ! »
          S’écrie-t-elle mais bien entendu
          Elle gueule en jouissant

          Meuf accro aux fruits défendus
          Pute à cent pour cent
          Pas d’erreur, pas d’malentendu
          C’en est indécent

    Mets-lui ça, hier quand tu la forças
    Elle s’est avouée vaincue
    Reste à la percer vice versa
    En empalant son cul

          « Arrête ! ah ! j’ai le fion fendu
          Par ce jonc puissant ! »
          Supplie-t-elle mais bien entendu
          Elle hurle en jouissant

          Cette fille-là c’est une vraie tordue
          Un cul ravissant
          Qui veut qu’on l’foute à corps perdu
          C’en est renversant

    Mets-lui ça, enfonce-lui fissa
    Ta biroute in situ
    Elle est clean et fine en plus de ça
    Elle bosse à l’institut

          Ouh ! fous-lui ton pénis
          Ouh ! raide et sans retenue
          Ouh ! faut qu’on la punisse
          Ouh ! comme c’était convenu
          Ouh ! fous-lui ton pénis...
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Melissa » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=ceUMkmZM09M

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  • Nathalie fornique

    Catégories : Chanson


          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique

    Nathalie fornique même avec ma mère
    Lui broutant le bout des glandes mammaires
    Nathalie fornique et moi j’énumère
    Leurs plaintes d’amour et leurs cris ravis

          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique

    Miguel et Xavier l’ont baisée souvent
    Sans parler des frères et sœurs à Ivan
    Nathalie fornique et moi j’désespère
    D’être le dernier qui l’aura gravie

          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique

    Près des orangers, c’est là que j’l’attends
    En me tripotant la queue de temps en temps

          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique

    Ah ! Nathalie fornique si près d’ici
    Que finalement j’en bénéficie
    Même du fond d’mon lit

          Na-tha-lie for-nique
          Na-tha-lie for-nique...
          (ad lib.)


    Sur l’air de « La Californie » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=Tg5IdVUizMc

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  • Quand je fous

    Catégories : Chanson

    Ne me demandez pas
    Où je trempe mon biscuit
    Quand on est chaud lapin
    On regarde pas bien
    On pine et on s’enfuit

    Y a trop longtemps déjà
    Que j’défourraille mon vit
    Tout autour de la planète
    J’sais plus très bien
    Pourquoi ce va-et-vient

    Peu importe qu’on soit
    À voile ou à vapeur
    Quand on est chaud lapin
    On a juste besoin
    D’infuser son baigneur

    J’aime assez les roberts
    Et les callibistrys
    Mais si y a des coucougnettes
    C’est tout aussi bien
    Et ça va plus loin

          Quand je fous
          Je me fous de tout
          J’culbute à tort à travers
          J’les rends folles

          Quand je fous
          Je suis comme un fou
          J’enfile aussi des pervers
          Des tafioles
          J’les rends folles

    Depuis qu’j’ai vu le jour
    J’kiffe les moments sexy
    Quand on est chaud lapin
    C’est peut-être qu’on vient
    D’une autre galaxie

    À un vieux webdocu
    Je préfèr’rai toujours
    La rage au cul, la fourrette
    La baise à la chien
    Qui nous fait du bien

          Quand je fous
          J’ai plus d’garde-fou
          J’culbute à tort à travers
          J’carambole

          Quand je fous
          Je suis comme un fou
          J’pass’rais bien tout l’univers
          À la casserole
          J’carambole

          Quand je fous
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Quand je joue » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=ykUTBO9Vk-Q
     

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  • Ce n’est rien

    Catégories : Chanson

    Ce n’est rien
    Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
    Tu sais bien
    Qu’à chaque fois ça pique un peu, et soudain
    J’entre bien
    Jusqu’au fond, comme dans du beurre, je vais, je viens
    J’te débouche et j’nettoie tout sur mon chemin
    Dans ton boule et c’est très bien

          Ce n’est que moi dans ta rondelle
          Qui t’encule à tire-d’aile
          En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants

          C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
          Mon bélier de chippendale
          Et tant pis si ça t’fêle un brin le séant

    Ce n’est rien
    Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
    Tu sais bien
    Que j’fais d’mon mieux pour te graisser l’arrière-train
    J’te préviens
    Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
    J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
    Qui s’enfonce et c’est très bien

          Ce n’est que moi dans ta rondelle
          Qui t’encule à tire-d’aile
          En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants

          C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
          Jolie lope au cœur fidèle
          Qui t’éclate l’abat-jour au trou béant

    (Passage instrumental romantique à mort, avec des violons...)

    J’te préviens
    Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
    J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
    Qui s’enfonce et c’est très bien

          Ce n’est que moi dans ta rondelle
          Qui t’encule à tire-d’aile
          En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants

          C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
          T’avais tell’ment envie d’elle
          J’remettrai du beurre le cas échéant


    Sur l’air de « Ce n’est rien » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=ZzQ403SHTPM
     

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  • Baise-z’y

    Catégories : Chanson

    J’ai fait un tronc de mon vit
    Là pour te donner envie
    Il trique sous tes doigts ravis
    À l’enfilade il te convie

          Baise-z’y !
          Baise-z’y !
          Baise-z’y !
          Baise-z’y, baise !
          La-la la la-la baise !
          La-la la la-la baise, baise, baise !
          Oh baise !

    Car de l’Ukraine à la Russie
    Sache que mon vit on l’apprécie
    En plus il a encore grossi
    Depuis que ta bouche officie
    Alors...

          Baise-z’y etc.

    J’ai fait un tronc de mon vit
    Bandant jusqu’en Scandinavie
    C’est l’Yggdrasil, l’arbre de vie
    Comme tu vois madame est servie
    Viens...

          Baise-z’y etc.

    Les soirs de peine où tu t’ennuies
    Il te console et s’introduit
    C’est un putain d’oiseau de nuit
    Qui s’y plante aussitôt reluit
    Toi...

          Baise-z’y etc.

    J’ai fait un tronc de mon vit
    Sois pas farouche et le gravis
    Puis quand tu seras assouvie
    Pousse un hourra, crie des bravi
    Ah...

          Baise-z’y etc.
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Danse s’y » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=l-RlvSkpz4E
     

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