La peau d’lapin c’est doux c’est frais
Mais bientôt les poils se débinent
C’est plus bon à que dalle après
Même astiquer les carabines
La peau d’lapin c’est chou c’est vrai
Mais j’aime mieux la peau d’la pine
Aussi tendre qu’un cul d’bébé
Sensible à mort et extensible
Sa muqueuse me fait tomber
À g’noux d’amour irrémissible
Plus polie qu’un caillou d’abbé
Ô peau d’la pine c’est toi qu’je cible
J’la déshabille à l’apéro
J’la flatte et frôle au gras du pouce
J’y fais tout doux monter l’sirop
Tant pis si la mousse éclabousse
À siffler c’est pas bien chérot
Deux-trois peaux d’la pine sur le pouce
J’la laisse aussi (mais ça va d’soi)
À l’occasion m’fourrer où j’pense
Panse honnie où nul mâle y soit
Pis faut bien qu’un homme i s’dépense
Aussi j’l’invite ô soie sur soie
À m’peau-d’la-piner sans défense
OK la peau d’lapin c’est doux
Mais un détail me turlupine
Il faut tuer la bébête et tout
Et qu’essque d’vient la pauv’ lapine ?
Moi la fourrure au fond j’m’en fous
Vraiment rien n’vaut la peau d’la pine
Ton pantoum dans mon haïku - Page 11
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No fur !
Catégories : Octosyllabes (8) -
La porte à côté
Catégories : Hexasyllabes (6)Amour gloire et beauté ?
J’ai presque tout raté
Saboté l’existence
Qui m’a jamais souri
J’ai rien d’une houri
Je sais la différence
Amour gloire et beauté ?
À la corde à sauter
J’ai rêvé qu’on décolle
Mais suis retombée bas
Au diable les ébats
Les débats les écoles
Amour gloire et beauté ?
Dans mes sabots crottés
J’ai les orteils qui partent
Tout n’importe comment
Et mon unique amant
M’a dit qu’essque t’es tarte !
Amour gloire et beauté ?
Sitôt le zob ôté
J’ai chu à la poubelle
Tant les gens sont méchants
Prenant la clé des champs
Mon mec s’est fait la belle
Amour gloire et beauté ?
C’est la porte à côté
Celle aux femmes fameuses
Corset sur un corps sain
Moi j’ai des poils aux seins
La vie quelle allumeuse ! -
Une récompense alléchante
Catégories : Jocelyn WitzEncore une histoire de cercle libertin, de baisade à plusieurs
Encore un jeu cochon
Avec, bien entendu, ses gagnants et ses perdants
Éternel vainqueur : le désir…
C'est ma dernière petite histoire en lecture libre ici.
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Les gars de la Navy
Catégories : Hexasyllabes (6), Octosyllabes (8)Le canon s’est tu dans les plaines
Et la fille à soldats se plaint
Dès que son ventre n’est plus plein
La pauvre a de la peine
Que reviennent ces galopins
Ces régiments de blanche épine
Elle aimait leurs façons lapines
Qui lui valaient son pain
La guerre a fui c’est pas de veine
Fini les fouteries le vin
La belle se caresse en vain
Et s’envoie des verveines
Où sont les gars de la Navy
Les kalachs les shakos l’évitent
La fille à soldats ô maudite
Se lustre le parvis -
Celle qu’on regrette
Catégories : Octosyllabes (8)C’est la secrète fiancée,
La fille habitant mes pensées,
C’est l’ombre au blanc de mes miroirs,
Que je sais sans jamais la voir,
C’est la fée d’or bruni, l’ancienne
Histoire en deçà des persiennes,
C’est le flou babil au revers
De mes silences d’univers,
C’est l’écho dans l’oreille avide
Qui ne surprend plus que le vide,
C’est le souvenir d’un parfum
Aux relents de rêve défunt,
C’est la douleur qui se déguise
En vagues bleues et indécises,
C’est son œil surgi des beautés
D’un nuage détricoté,
C’est son ventre de pluie d’orage
Chaude où mes nefs ont fait naufrage,
C’est sa main, son rire, sa voix
Creusant ma chair à chaque fois,
C’est son pied me baisant la bouche,
Son nom resté telle une souche,
Et, tout soudain, happant l’instant,
Le miel amer d’un autre temps...
C’est celle, en somme, qu’on regrette :
Elle, ma fiancée secrète. -
Un cœur froissé
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Tu la cueillis ma rose inerme
En effeuillas les épidermes
Sans y penser
Moi frêle bouton sans alarmes
En te laissant le choix des armes
Je m’effaçai
Tu l’affolas ma fleur sauvage
L’abandonnas sur ce rivage
Bien délaissé
Depuis la pluie les vents me mangent
Et tous tes amours me dérangent
Quand je les sais
Tu les déchiras mes pétales
De naïve et neuve vestale
Était-ce assez
Humer l’âme et le bouquet d’elle
Puis t’en aller à tire-d’aile
Dans l’air glacé
Sans épine ivre sous ton charme
Je fus la violette de Parme
Au cœur froissé
Qu’au bout du jour qui se referme
Tu broyas sous le talon ferme
D’un pas pressé -
La jument infernale
Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)En avant vers d’autres fuseaux
Horaires, d’autres latitudes,
Les îles aux sadomasos
Où j’aurai toute latitude !
Nul besoin de voter ! Foin des référendums !
Voici venu le temps béni de la femdom !
À poil, soumis, petits oiseaux
Se bousculeront à mes bottes ;
Je cinglerai ces damoiseaux,
Les enfilerai sans capote.
Trois milliards de nanas ? Tout autant de bégums !
Voici venu le temps béni de la femdom !
Fous mes désirs, troubles mes eaux :
Je veux malmener les balloches,
Gifler les culs et les museaux,
Puis soudain rouler des galoches.
Trois milliards d’ex-machos ? Autant de factotums !
Voici venu le temps béni de la femdom !
Le feu jaillissant des naseaux,
Je suis la jument infernale
Qui mord à sang les chorizos
Et ruine la fierté des mâles.
La foufounette enfin peut reluire au summum !
Voici venu le temps béni de la femdom !
En avant toute, amoroso !
Vers l’archipel auquel j’aspire,
Le pays des sadomasos
Dont je serai reine vampire ! -
À mes doigts de menhir
Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)Dieu vous garde, ô beau mec qui, n’ayant pas osé
Me prendre et me découdre au fil de votre aiguille,
Me laissiez pourtant voir que j’étais jolie fille !
Nos yeux se sont connus, mais nos pas se croisaient ;
Ce soir mes doigts ont refusé
D’attendre plus longtemps : ils sont votre cheville.
Dieu vous garde à qui la sentira pénétrer
Son temple plus heureux, cette ardeur missionnaire
Qui brûle en vous, née du soleil et du tonnerre !
Je l’ai lue sur le cercle indécis de ces traits
Où vos lèvres tenaient secret
Ce qui devait lécher à mes vasques lunaires.
Dieu vous garde pour elle et pour le souvenir
Que je chéris de vous, seule au nu de la chambre
Obscure où mes reins vont, viennent, s’ouvrent, se cambrent,
S’offrent aux doigts mouillés, à mes doigts de menhir,
Ô mec qui n’avez su venir
Mais connaissiez combien je briguais votre membre ! -
Chinoiseries
Catégories : Octosyllabes (8)Ce mandarin s’intéressa
De fort près à ma mandarine
Il fendit l’écorce et pressa
Sa bouche au ruisseau violine
C’était une orange sanguine
Du yin le yang fit un étang
Pour y plonger tantôt sa plume
Tantôt sa langue en même temps
Montaient des cris de corps de brume
Tant ruisselait le bel agrume
Ce chou Mandchou me chinoisait
Le ventre à force de supplices
Je ne l’ai plus jamais croisé
Mais quand d’Orient les ors jaillissent
Ma peau vire au rouge écrevisse -
J’ai pas sommeil
Catégories : Pentasyllabes (5)Je ne suis pas haute
Ni jeune et pourtant
Sitôt qu’on me saute
J’ai moins de vingt ans
Les pics les falaises
Je les grimpe à l’aise
Comme en d’autres temps
Suffit que me plaise
Un bel animal
Que mes mains soupèsent
Un nœud optimal
Le poids des années
Quand on m’a pinée
Je m’en fous pas mal
Je ne suis pas née
Du dernier soleil
À demi canée
Mais j’ai pas sommeil
Bien après minuit
Je nique l’ennui
Et baise au réveil -
Indiscrétions
Catégories : Octosyllabes (8)Voici qu’à nouveau se perdit
Dans quelque pubis et sa jungle
Ton doigt dodu dépourvu d’ongle
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
D’un violacé de vieux radis
Troussant partout la capucine
Nulle part il ne s’enracine
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
Sans cesse en rut toujours roidi
Il fout ladies et roturières
Par amour ou par le derrière
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
La vue d’un cul l’engaillardit
Pourvu qu’il soit d’une poulette
Un peu facile, un peu seulette
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
Sitôt dans la place, oh hardi !
Sans attendre le tour de chauffe
Il les investit, les endauffe
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
La laide ne le refroidit
Pas même, car il ne s’entiche
Que des cavités de leurs miches
C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit
Chercherait-il le paradis
La flânerie dans les venelles
Ou la matrice originelle ?...
Ça, mon p’tit doigt ne l’a pas dit -
Cantique des salopes
Catégories : Heptasyllabes (7)Notre-Dame des branleuses
Ne me laissez pas tomber
Si seule si amoureuse
Aidez-moi à m’entuber
À m’en rendre la foune arse
Par pitié Reine des Garces
Notre-Dame des gougnottes
Prêtez-nous le feu ce soir
Que nues nos langues tricotent
Et foutent nos encensoirs
Pour prix de quoi Sainte Vierge
Je vous consacre un gros cierge
Notre-Dame des bougresses
J’ai déniché l’enculeur
Étalon noir et sans graisse
Dont je jouirai dans les pleurs
Grand merci Putain Suprême
Je boirai pour vous la crème
Ma Divine et Blanche Dame
Pardonnez mes flots de miel
Et admettez l’humble femme
Que je fus dans votre Ciel
Je promets d’y être sage
Hormis quelques dérapages -
Fais-moi une place
Catégories : ChansonFais-moi une place au fond d’ta moule
Même si Ignace y a mis sa s’moule
Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais
Pour te grimper
Fais-moi une place au creux d’ta bouche
Que j’te décrasse à la farouche
Je giclerai du gland tout blanc, gommeux
Pareil comme eux
J’veux rester dans l’coup avec tes potes
Si tu veux j’mettrai même une capote
Je t’aime
Fais-moi une place dans ton trou d’balle
Près d’Stanislas et d’Hannibal
Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit
Quand j’t’emboutis
Fais-moi une place au fond d’ton pieu
Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu
J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux
Sois tranquillou
J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte
J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite
Je t’aime
Une petite place ici maint’nant
Entre Jonas et Ferdinand
J’me lav’rai même un peu la queue des fois
Si j’ai pas l’choix
Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=GF_MInbyiVA
Retrouvez tous ses plus grands succès en un seul volume : -
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Catégories : ChansonElle voulait que j’l’appelle soumise
Vous me voyez, moi, l’humilier, la ligoter à un pilier
Pour lui arracher sa chemise et la fouetter ?
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle drôle d’idée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
J’préfère quand elle me sodomise
Le cul en feu, les reins brisés
La pine éprise de sa beauté
Prenant mon pied par l’entremise
Du silicone de son long pieu
Moi j’ai encore pas trouvé mieux
Pas trouvé mieu-eu-eux
Pas trouvé mieux
Puis elle s’est sal’ment compromise
Avec un gonze à l’air vicieux
Alors là, mouillant ma chemise
J’l’ai décalqué, ce p’tit monsieur
Du coup, maint’nant j’ai la mainmise
Sur deux tordus : elle et le vieux...
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Le cul en feu, les reins brisés, elle me supplie de l’enfiler
Désormais j’la déshumanise pour la baiser
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle bonne idée !
Quelle bonne idé-é-ée !
Quelle bonne idé-é-ée !
(ad lib.)
Sur l’air de « Elle voulait qu’on l’appelle Venise » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=3-zYIf81--w
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Si on foutait
Catégories : ChansonLa grande Édith
Mange ma bite
La p’tite Sylvie
Bouffe mon vit
Marie si belle
Marie dentelle
Marie rondelle
M’plume l’hironde-e-elle
Trois bonnes copines
Qui m’sucent la pine
Trois belles nanas
Rien que pour moi ah ah ah ah ah ah ah ah
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Ah mes divines, si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
J’ai les couilles pleines, si on foutait
Mais la grande Édith
Veut qu’j’la crédite
La p’tite Sylvie
M’faxe un devis
Marie si bonne
Marie tamponne
Marie gloutonne
J’me réabo-o-o-onne
Faites un rabais
À m’sieur l’abbé
Soyez pas vaches
J’vous paierai ca-a-a-a-a-a-a-a-ash
Si on foutait
(ad lib.)
Sur l’air de « Si on chantait » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=qAqDPNi1mM4 -
Mets-lui ça
Catégories : ChansonMets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ton bambou tout pointu
Tu vois bien qu’elle attend plus que ça
Mets-lui ça, ça la tue
Mets-lui sa chatte à la harissa
Pine à bride abattue
Plus d’une fois même on la fessa
Après l’avoir foutue
« Arrête, horrible individu !
J’ai la choune à sang ! »
S’écrie-t-elle mais bien entendu
Elle gueule en jouissant
Meuf accro aux fruits défendus
Pute à cent pour cent
Pas d’erreur, pas d’malentendu
C’en est indécent
Mets-lui ça, hier quand tu la forças
Elle s’est avouée vaincue
Reste à la percer vice versa
En empalant son cul
« Arrête ! ah ! j’ai le fion fendu
Par ce jonc puissant ! »
Supplie-t-elle mais bien entendu
Elle hurle en jouissant
Cette fille-là c’est une vraie tordue
Un cul ravissant
Qui veut qu’on l’foute à corps perdu
C’en est renversant
Mets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ta biroute in situ
Elle est clean et fine en plus de ça
Elle bosse à l’institut
Ouh ! fous-lui ton pénis
Ouh ! raide et sans retenue
Ouh ! faut qu’on la punisse
Ouh ! comme c’était convenu
Ouh ! fous-lui ton pénis...
(ad lib.)
Sur l’air de « Melissa » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ceUMkmZM09M -
Nathalie fornique
Catégories : Chanson
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Nathalie fornique même avec ma mère
Lui broutant le bout des glandes mammaires
Nathalie fornique et moi j’énumère
Leurs plaintes d’amour et leurs cris ravis
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Miguel et Xavier l’ont baisée souvent
Sans parler des frères et sœurs à Ivan
Nathalie fornique et moi j’désespère
D’être le dernier qui l’aura gravie
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Près des orangers, c’est là que j’l’attends
En me tripotant la queue de temps en temps
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Ah ! Nathalie fornique si près d’ici
Que finalement j’en bénéficie
Même du fond d’mon lit
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique...
(ad lib.)
Sur l’air de « La Californie » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=Tg5IdVUizMc -
Quand je fous
Catégories : ChansonNe me demandez pas
Où je trempe mon biscuit
Quand on est chaud lapin
On regarde pas bien
On pine et on s’enfuit
Y a trop longtemps déjà
Que j’défourraille mon vit
Tout autour de la planète
J’sais plus très bien
Pourquoi ce va-et-vient
Peu importe qu’on soit
À voile ou à vapeur
Quand on est chaud lapin
On a juste besoin
D’infuser son baigneur
J’aime assez les roberts
Et les callibistrys
Mais si y a des coucougnettes
C’est tout aussi bien
Et ça va plus loin
Quand je fous
Je me fous de tout
J’culbute à tort à travers
J’les rends folles
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’enfile aussi des pervers
Des tafioles
J’les rends folles
Depuis qu’j’ai vu le jour
J’kiffe les moments sexy
Quand on est chaud lapin
C’est peut-être qu’on vient
D’une autre galaxie
À un vieux webdocu
Je préfèr’rai toujours
La rage au cul, la fourrette
La baise à la chien
Qui nous fait du bien
Quand je fous
J’ai plus d’garde-fou
J’culbute à tort à travers
J’carambole
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’pass’rais bien tout l’univers
À la casserole
J’carambole
Quand je fous
(ad lib.)
Sur l’air de « Quand je joue » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ykUTBO9Vk-Q
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Ce n’est rien
Catégories : ChansonCe n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Qu’à chaque fois ça pique un peu, et soudain
J’entre bien
Jusqu’au fond, comme dans du beurre, je vais, je viens
J’te débouche et j’nettoie tout sur mon chemin
Dans ton boule et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Mon bélier de chippendale
Et tant pis si ça t’fêle un brin le séant
Ce n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Que j’fais d’mon mieux pour te graisser l’arrière-train
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Jolie lope au cœur fidèle
Qui t’éclate l’abat-jour au trou béant
(Passage instrumental romantique à mort, avec des violons...)
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
T’avais tell’ment envie d’elle
J’remettrai du beurre le cas échéant
Sur l’air de « Ce n’est rien » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ZzQ403SHTPM
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Baise-z’y
Catégories : ChansonJ’ai fait un tronc de mon vit
Là pour te donner envie
Il trique sous tes doigts ravis
À l’enfilade il te convie
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y, baise !
La-la la la-la baise !
La-la la la-la baise, baise, baise !
Oh baise !
Car de l’Ukraine à la Russie
Sache que mon vit on l’apprécie
En plus il a encore grossi
Depuis que ta bouche officie
Alors...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Bandant jusqu’en Scandinavie
C’est l’Yggdrasil, l’arbre de vie
Comme tu vois madame est servie
Viens...
Baise-z’y etc.
Les soirs de peine où tu t’ennuies
Il te console et s’introduit
C’est un putain d’oiseau de nuit
Qui s’y plante aussitôt reluit
Toi...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Sois pas farouche et le gravis
Puis quand tu seras assouvie
Pousse un hourra, crie des bravi
Ah...
Baise-z’y etc.
(ad lib.)
Sur l’air de « Danse s’y » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=l-RlvSkpz4E