À l’âge où j’avais encore un doudou... wap !
Un soir que je filais au cagadou... wap doo-wap !
Je croisai ma tantine un peu délurée
Qui voulut voir la couleur de mes urées
Elle avait de si beaux yeux de koudou... wap !
Que je la laissai tâter mon bidou... wap doo-wap !
Puis la suivis pour un aparté nocturne
Un conciliabule au secret de sa turne
Minuit sonne
Tout mon p’tit corps frissonne
Triomphante
Elle, elle me bouffe la fente
Et sa langue ! oh sa langue ! ah sa langue ! ouh sa langue !
Caressant ! bondissant ! agaçant tout ça ! c’est vaudou !
Minuit sonne
Nous sommes deux polissonnes
On s’embrasse
En s’pinçant les tétasses
Putain c’est doux d’être goudou... wap !
Doux doux doux... wap doo-wap !
Doux d’être goudou... wap !
Superdoux... wap doo-wap !
On a couru partout le guilledou... wap !
Elle m’offrait des bonbons, des roudoudous... wap doo-wap !
Puis on s’tripatouillait déjà tout humides
Jusqu’à c’que nos souffles haletants coïncident
J’aimais son ventre aux replis de saindoux... wap !
Sa voix plus rauque qu’un didgeridoo... wap doo-wap !
Je m’intéressais plus du tout à la bite
Tata m’avait attirée dans son orbite
Minuit sonne
Tout mon p’tit corps frissonne
Triomphante
Elle, elle me bouffe la fente
Et sa langue ! oh sa langue ! ah sa langue ! ouh sa langue !
Caressant ! bondissant ! agaçant tout ça ! c’est vaudou !
Minuit sonne
Nous sommes deux polissonnes
On s’embrasse
En s’pinçant les tétasses
Putain c’est doux d’être goudou... wap !
Doux doux doux... wap doo-wap !
Doux d’être goudou... wap !
Superdoux... wap doo-wap !
Minuit sonne
(ad lib.)
Sur l’air de « Minuit sonne » (Michel Jonasz)
https://www.youtube.com/watch?v=FqW9WHywCJQ
Chanson
-
Minuit sonne
Catégories : Chanson -
Bouffeur de bouse
Catégories : ChansonJ’peux pas bander sauf dans l’cas
(Même si je sais que c’est débile)
Où sur mon corps fait caca
Une putain tout juste nubile
Droit là si elle est habile
Je trique à mort et je jubile
Les lèvres faisant ventouse
J’me dis aux anges : « J’en ai pour mon flouze ! »
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
Tout p’tit déjà j’m’envoyais
Des cochonc’tés, des immondices
En regardant frétiller
Le fion de mon amie Candice
Elle voulait rendre service
Sauf que cette affable métisse
Croyait que j’guignais sa p’louse
Or moi j’la suppliais : « Mets là ta bagouse ! »
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
etc.
Si l’ouvreuse est bien roulée
J’me paluche les parties intimes
En avalant démoulé
Son bran tout chaud je grimpe aux cimes
Aimer ça c’est pas un crime
Moi sans mon mol étron j’déprime
J’ai rien du tout d’une tarlouse
En bavant pourtant j’attends la perlouse !
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
etc.
(A capella, en tapant dans ses mains :)
Défèque dans mon bec, belle Amazone !
J’adore quand ça t’vient, j’aime quand tu te déboutonnes !
Belle marquise, pousse ! chie ! déponne !
Mais surtout surtout surtout ne l’dis à personne !
Bouffeur de bouse
J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
Bouffeur de bouse...
(ad lib.)
Sur l’air de « Joueurs de blues » (Michel Jonasz)
https://www.youtube.com/watch?v=Xp8tY7YtsA4 -
Saturday night viveurs
Catégories : Chanson(Chanson gaie au rythme enlevé)
Ah ! c’est le weekend et le soleil descend
Y a vraiment rien d’tel pour me remuer les sangs
Je sens que mon string est déjà tout humide
Dieu que ça m’démange il m’faudra du solide !
Heu-reu-se-ment…
C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
Tout’ la s’maine j’m’en lèche les babines
C’est l’sam’di soir après l’turbin
J’ai même pas l’temps de prendre un bain
C’est l’sam’di soir qu’il m’fout la zone
En me r’tournant comme une calzone
C’est l’sam’di soir qu’sa pine enfin me turlupine
Mais l’heure tourne et je ne le vois pas venir
Quelque chose a dû je crois le retenir
La chatoune en pleurs j’téléphone aux urgences
Pour expliquer à la fille des ambulances
Qu’nor-ma-le-ment…
C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
Un costaud avec une Alpine
C’est l’sam’di soir qu’il m’démolit
Le cul en m’clouant sur le lit
C’est l’sam’di soir qu’il me la broute
Puis me r’baise un coup pour la route
C’est l’sam’di soir que j’suis sa meuf et sa lapine
Ô nuit solitaire ! mais dès le lendemain
J’apprends tout d’la panne qu’il a eue en chemin
Et pour excuser ces heures d’incertitude
Il m’dit on va changer nos p’tites habitudes
Do-ré-na-vant…
L’dimanche matin j’te turlupine
Ah ! pas question que tu t’débines
L’dimanche matin j’te la remplis
Et y aura plus jamais d’oublis
L’dimanche matin j’te déshabille
Pis j’fourbis jusqu’à c’que ça brille
L’dimanche matin désormais j’cherche après Titine
L’dimanche matin il m’plante l’épine
Tout’ la s’maine j’rêve à sa grosse pine
L’dimanche matin il m’jette un sort
Qui fait que j’m’ouvre tel un ressort
L’dimanche matin il me débloque
La chatte à coups d’électrochocs
L’dimanche matin il m’joue l’enlèv’ment des Sabines
L’dimanche matin il me turbine
(ad lib.) -
Vu d’entre tes genoux
Catégories : ChansonQuand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis sous les draps
Je rêve que je te fais là-bas
Une bonne fellation
J’aime la fellation
Quand je suis seule, que je peux inventer
Que tu es là tout près de moi
Je rêve en m’astiquant le bas
D’une bonne fellation
J’aime la fellation
Une pipe vaut mieux qu’un long discours
Vu d’entre tes genoux
C’est pas grave si tu tournes court
Je bois tout, glou glou glou
Je ne pourrais jamais te dire tout ça
Mais puisque ma sœur te suça
Je trouve qu’à mon tour j’aurais droit
À une fellation
J’aime la fellation
Une pipe vaut mieux qu’un long discours
Vu d’entre tes genoux
C’est pas grave si tu tournes court
Je bois tout, glou glou glou
Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis sous le drap
Je rêve que je te fais là-bas
Une bonne fellation
J’aime la fellation
(Parlé :)
J’y pense quand tu es près de moi
J’y pense aussi quand t’es pas là
Je pense à toi
J’ai pas la langue de bois
(Chœurs :)
Une bonne fellation
J’aime la fellation
(Parlé :)
Je veux plonger dans ton bermuda
Boulotter ton gros doigt
Me gaver comme une oie
Cette faim-là c’est plus fort que moi
(Chœurs :)
Une bonne fellation
J’aime la fellation
(ad lib.)
Sur l’air de « Ma déclaration » (France Gall)
https://www.youtube.com/watch?v=4ufY6fB_jgA -
Elle jouait du pipeau debout
Catégories : ChansonNe dites que cette fille était naine
Monstre, erreur ou même affreux phénomène
Et pour quelle raison étrange
Qu’elle nous vienne qu’à l’abdomen, ça nous dérange ?
Ne dites pas que dans l’jardin le gazon
Causait sous ses bras des démangeaisons
Et puis qu’est-ce que ça peut faire
Du moment qu’elle embouchait les bandaisons ?
Les bandaisons
Elle jouait du pipeau debout
Quand les salopes sont à genoux
Elle, elle pompait au garde-à-vous
Heureuse d’avaler des chibres
Sans avoir à s’plier du tout
Elle suçait les gars debout
C’est peut-être un détail pour vous
Mais mes copains en étaient fous
Simplement sur ses deux pieds
Pour les turluter, vous comprenez ?
Ne dites pas que cette fille était courte
En tout cas elle adorait le yaourt
Et pour cette raison les membres
Se laissaient téter à l’aise sans qu’elle se cambre
Ne dites pas qu’elle était si rabougrie
Que son menton lui cachait le nombril
En vrai vous étiez jalouses
Puisque tous les mecs autour étaient épris
Étaient épris
Elle jouait du pipeau debout
Elle se l’enfilait jusqu’au bout
Et pour moi ça veut dire beaucoup
Ça veut dire pas d’lumbago
Et du lolo à tire-larigot
Pas plus haute qu’un garde-boue
Trois pommes surmontées d’un hibou
Elle fourrageait sous les boubous
Simplement sur ses deux pieds
Pour les glouglouter, vous comprenez ?
Elle jouait du pipeau debout
(ad lib.)
Sur l’air de « Il jouait du piano debout » (France Gall)
https://www.youtube.com/watch?v=7l7eXx_8DHY -
Rempli jour et nuit
Catégories : ChansonTous mes amants sont bâtis
En Hercule et bien montés
Depuis qu’à la ville je suis partie
Des tas de vits veulent planter
L’enfant que tu as enfantée
Si maman si, si maman si
Si tu voyais mon mistigri
Rempli jour et nuit, si maman si
Il s’est fait un paquet d’amis
Et mon cul aussi
Les garçons défilent dans mon arrière-train
Quand je me penche à la fenêtre
Tiens ! voilà Jean-Jacques, Paul et Mathurin
Eux aussi monteront peut-être
Bibliquement me re-connaître
Si maman si, si maman si
Si tu voyais mon mistigri
Rempli jour et nuit, si maman si
Il s’est fait un paquet d’amis
Et mon cul aussi
Mon ventre est confortable, bien au chaud
Rien ne laisse entrer le vent
Je reprends du poil de la bête à deux dos
J’étais bien trop seule avant
Sans rien derrière ni devant
Si maman si, si maman si
Si tu voyais mon mistigri
Rempli jour et nuit, si maman si
Il s’est fait un paquet d’amis
Et mon cul aussi
Si maman si, si maman si
(ad lib.)
Sur l’air de « Si maman si » (France Gall)
https://www.youtube.com/watch?v=EYF8n5aRzwM -
La vie en ecchymoses
Catégories : ChansonDes yeux qui font baisser les miens
Un rire cruel sous un pif louche
Voilà le portrait sans retouche
Du mec dont je suis le chienchien
Quand i m’gifle à tour de bras
Brûlant d’amour je vois
La vie en ecchymoses
Plus i m’viole et m’fout des coups
D’ceinture un peu partout
Plus je deviens sa chose
Il est entré dans mon fion
Avec tant de passion
Que j’ai craint qu’il explose
C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie
Mon cœur fait des embardées
Dès qu’j’le vois m’regarder
Ça va barder...
Quand i me bat à plus finir
Ou qu’son gros engin prend sa place
Au fond d’moi aussi sec j’m’empoisse
Heureuse, heureuse à en mourir
Quand i m’gifle à tour de bras
Brûlant d’amour je vois
La vie en ecchymoses
Plus i m’démonte la culasse
Dans ses plans dégueulasses
Plus je m’sens en osmose
Il est entré dans mon fion
Avec tant de passion
Que j’ai craint qu’il explose
C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie
Mon p’tit cul tout lézardé
Se laisse empétarder
Sans plus tarder
Sur l’air de « La vie en rose » (Edith Piaf)
https://www.youtube.com/watch?v=-0KvBnIvTFs -
Mon locataire
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Il avait d’immenses yeux verts
Un sourire joliment pervers
Et des tas d’amis de passage
Aux bras musclés pleins de tatouages
Qu’au début j’ai pas bien compris
Genre « Du valseur je suis épris »
« Viens faire un tour dans mon trou d’homme »
Ou « Aller simple pour Sodome »…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Quand j’le croisais dans mon couloir
La mouille me coulait sans l’vouloir
Jusque par terre
Bonheur perdu, bonheur enfui
À les écouter toutes les nuits
Se donner ces plaisirs étranges
J’avais des envies qui m’démangent
D’être assise au bord de son lit
Pour voir son p’tit cul démoli
Mais j’ai jamais osé lui dire
Des fois faut pas approfondir…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Quand je l’croisais dans mon couloir
La mouille me coulait sans l’vouloir
Jusque par terre
Quand il m’a quittée cet hiver
J’ai lu dans ses yeux grand ouverts
Qu’il avait du cœur à l’ouvrage
Il s’était fait faire un tatouage
« Ici le plus beau trou d’Paris »
C’était à la suite d’un pari
Avec ceux qu’il app’lait ses hommes
Ces types échappés d’un péplum…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Chaque fois qu’j’arpente ce vieux couloir
Ma mouille dégouline sans l’vouloir
Jusque par terre
Sur l’air de « Mon légionnaire » (Edith Piaf)
https://www.youtube.com/watch?v=7ShrxDgnU3E -
Fais-moi une place
Catégories : ChansonFais-moi une place au fond d’ta moule
Même si Ignace y a mis sa s’moule
Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais
Pour te grimper
Fais-moi une place au creux d’ta bouche
Que j’te décrasse à la farouche
Je giclerai du gland tout blanc, gommeux
Pareil comme eux
J’veux rester dans l’coup avec tes potes
Si tu veux j’mettrai même une capote
Je t’aime
Fais-moi une place dans ton trou d’balle
Près d’Stanislas et d’Hannibal
Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit
Quand j’t’emboutis
Fais-moi une place au fond d’ton pieu
Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu
J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux
Sois tranquillou
J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte
J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite
Je t’aime
Une petite place ici maint’nant
Entre Jonas et Ferdinand
J’me lav’rai même un peu la queue des fois
Si j’ai pas l’choix
Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=GF_MInbyiVA
Retrouvez tous ses plus grands succès en un seul volume : -
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Catégories : ChansonElle voulait que j’l’appelle soumise
Vous me voyez, moi, l’humilier, la ligoter à un pilier
Pour lui arracher sa chemise et la fouetter ?
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle drôle d’idée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
J’préfère quand elle me sodomise
Le cul en feu, les reins brisés
La pine éprise de sa beauté
Prenant mon pied par l’entremise
Du silicone de son long pieu
Moi j’ai encore pas trouvé mieux
Pas trouvé mieu-eu-eux
Pas trouvé mieux
Puis elle s’est sal’ment compromise
Avec un gonze à l’air vicieux
Alors là, mouillant ma chemise
J’l’ai décalqué, ce p’tit monsieur
Du coup, maint’nant j’ai la mainmise
Sur deux tordus : elle et le vieux...
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Le cul en feu, les reins brisés, elle me supplie de l’enfiler
Désormais j’la déshumanise pour la baiser
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle bonne idée !
Quelle bonne idé-é-ée !
Quelle bonne idé-é-ée !
(ad lib.)
Sur l’air de « Elle voulait qu’on l’appelle Venise » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=3-zYIf81--w
-
Si on foutait
Catégories : ChansonLa grande Édith
Mange ma bite
La p’tite Sylvie
Bouffe mon vit
Marie si belle
Marie dentelle
Marie rondelle
M’plume l’hironde-e-elle
Trois bonnes copines
Qui m’sucent la pine
Trois belles nanas
Rien que pour moi ah ah ah ah ah ah ah ah
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Ah mes divines, si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
J’ai les couilles pleines, si on foutait
Mais la grande Édith
Veut qu’j’la crédite
La p’tite Sylvie
M’faxe un devis
Marie si bonne
Marie tamponne
Marie gloutonne
J’me réabo-o-o-onne
Faites un rabais
À m’sieur l’abbé
Soyez pas vaches
J’vous paierai ca-a-a-a-a-a-a-a-ash
Si on foutait
(ad lib.)
Sur l’air de « Si on chantait » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=qAqDPNi1mM4 -
Mets-lui ça
Catégories : ChansonMets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ton bambou tout pointu
Tu vois bien qu’elle attend plus que ça
Mets-lui ça, ça la tue
Mets-lui sa chatte à la harissa
Pine à bride abattue
Plus d’une fois même on la fessa
Après l’avoir foutue
« Arrête, horrible individu !
J’ai la choune à sang ! »
S’écrie-t-elle mais bien entendu
Elle gueule en jouissant
Meuf accro aux fruits défendus
Pute à cent pour cent
Pas d’erreur, pas d’malentendu
C’en est indécent
Mets-lui ça, hier quand tu la forças
Elle s’est avouée vaincue
Reste à la percer vice versa
En empalant son cul
« Arrête ! ah ! j’ai le fion fendu
Par ce jonc puissant ! »
Supplie-t-elle mais bien entendu
Elle hurle en jouissant
Cette fille-là c’est une vraie tordue
Un cul ravissant
Qui veut qu’on l’foute à corps perdu
C’en est renversant
Mets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ta biroute in situ
Elle est clean et fine en plus de ça
Elle bosse à l’institut
Ouh ! fous-lui ton pénis
Ouh ! raide et sans retenue
Ouh ! faut qu’on la punisse
Ouh ! comme c’était convenu
Ouh ! fous-lui ton pénis...
(ad lib.)
Sur l’air de « Melissa » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ceUMkmZM09M -
Nathalie fornique
Catégories : Chanson
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Nathalie fornique même avec ma mère
Lui broutant le bout des glandes mammaires
Nathalie fornique et moi j’énumère
Leurs plaintes d’amour et leurs cris ravis
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Miguel et Xavier l’ont baisée souvent
Sans parler des frères et sœurs à Ivan
Nathalie fornique et moi j’désespère
D’être le dernier qui l’aura gravie
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Près des orangers, c’est là que j’l’attends
En me tripotant la queue de temps en temps
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Ah ! Nathalie fornique si près d’ici
Que finalement j’en bénéficie
Même du fond d’mon lit
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique...
(ad lib.)
Sur l’air de « La Californie » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=Tg5IdVUizMc -
Quand je fous
Catégories : ChansonNe me demandez pas
Où je trempe mon biscuit
Quand on est chaud lapin
On regarde pas bien
On pine et on s’enfuit
Y a trop longtemps déjà
Que j’défourraille mon vit
Tout autour de la planète
J’sais plus très bien
Pourquoi ce va-et-vient
Peu importe qu’on soit
À voile ou à vapeur
Quand on est chaud lapin
On a juste besoin
D’infuser son baigneur
J’aime assez les roberts
Et les callibistrys
Mais si y a des coucougnettes
C’est tout aussi bien
Et ça va plus loin
Quand je fous
Je me fous de tout
J’culbute à tort à travers
J’les rends folles
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’enfile aussi des pervers
Des tafioles
J’les rends folles
Depuis qu’j’ai vu le jour
J’kiffe les moments sexy
Quand on est chaud lapin
C’est peut-être qu’on vient
D’une autre galaxie
À un vieux webdocu
Je préfèr’rai toujours
La rage au cul, la fourrette
La baise à la chien
Qui nous fait du bien
Quand je fous
J’ai plus d’garde-fou
J’culbute à tort à travers
J’carambole
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’pass’rais bien tout l’univers
À la casserole
J’carambole
Quand je fous
(ad lib.)
Sur l’air de « Quand je joue » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ykUTBO9Vk-Q
-
Ce n’est rien
Catégories : ChansonCe n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Qu’à chaque fois ça pique un peu, et soudain
J’entre bien
Jusqu’au fond, comme dans du beurre, je vais, je viens
J’te débouche et j’nettoie tout sur mon chemin
Dans ton boule et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Mon bélier de chippendale
Et tant pis si ça t’fêle un brin le séant
Ce n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Que j’fais d’mon mieux pour te graisser l’arrière-train
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Jolie lope au cœur fidèle
Qui t’éclate l’abat-jour au trou béant
(Passage instrumental romantique à mort, avec des violons...)
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
T’avais tell’ment envie d’elle
J’remettrai du beurre le cas échéant
Sur l’air de « Ce n’est rien » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ZzQ403SHTPM
-
Baise-z’y
Catégories : ChansonJ’ai fait un tronc de mon vit
Là pour te donner envie
Il trique sous tes doigts ravis
À l’enfilade il te convie
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y, baise !
La-la la la-la baise !
La-la la la-la baise, baise, baise !
Oh baise !
Car de l’Ukraine à la Russie
Sache que mon vit on l’apprécie
En plus il a encore grossi
Depuis que ta bouche officie
Alors...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Bandant jusqu’en Scandinavie
C’est l’Yggdrasil, l’arbre de vie
Comme tu vois madame est servie
Viens...
Baise-z’y etc.
Les soirs de peine où tu t’ennuies
Il te console et s’introduit
C’est un putain d’oiseau de nuit
Qui s’y plante aussitôt reluit
Toi...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Sois pas farouche et le gravis
Puis quand tu seras assouvie
Pousse un hourra, crie des bravi
Ah...
Baise-z’y etc.
(ad lib.)
Sur l’air de « Danse s’y » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=l-RlvSkpz4E
-
Phalles je vous aime
Catégories : ChansonQuelquefois si nouilles
Quand on les papouille
Léchant les couilles
Alors ils mouillent
Quelquefois si durs
Dans mon vide-ordure
Que l’échaudure
Longtemps me dure
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Je n’en connais pas de graciles
Je n’en connais que d’homophiles
Qui m’annihilent
Quand ils m’enfilent
Quelquefois si drôles
Quand ils ont la gaule
Droit comme un saule
Sacré Popaul !
Quelquefois si seuls
Empalant nos gueules
Qui en reveulent
Oui mais si seuls
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Renculez-moi dans tous les sens
Et que gicle là où je pense
Votre semence
Ma récompense
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Si parfois mon cul se déchire
Ça ne fait rien, je vous désire
Dans ma tir’lire
De pire en pire
Ô phalles…
Sur l’air de « Femmes je vous aime » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=-h8l9MFY-FQ
-
Le tapineur
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)Dans une ville où je passais
Un gars zarbi, une gueule cassée
Pour se payer sa fricassée
Dans les ruelles suçait, suçait
Il s’était fait faire un futal
Ouvert aux parties génitales
Mais d’une seule jambe, c’est fatal
On l’appelait Marie-Chantal
C’était un échassier bizarre
Le zob à l’air sous son peignoir
Sur une jambe et jusqu’au soir
Il racolait sur les trottoirs...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Quand le crépuscule arrivait
Il quittait sa sombre cave et
Faisait bander les dépravés
Autour de la gare TGV
Une belle femme aux cheveux blancs
Vint un jour lui palper le gland
Son regard était si troublant
Qu’il s’écria « Oups !... » en giclant
C’était un échassier bizarre
Le zob à l’air sous son peignoir
Sur une jambe et jusqu’au soir
Il racolait sur le trottoir...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Dans une ville où je passais
Il trottait sur sa patte unique
Vivant des revenus de la nique
Et son valseur valsait, valsait...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Il tapinait
(ad lib.)
Sur l’air de « Le patineur » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=XTepMDlRYeM -
La chanson de la rémouleuse
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)Jadis, en la paix des familles,
Ma meule chantait sa chanson ;
J’aiguisais la langue des filles
Tout en leur doigtant le chausson.
Mais un jour, un beau militaire
Me culbutant sur le chemin,
Je m’avérai fort salutaire
Aux armements du mâle humain.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ce que j’en ai fourbi d’épées !
Pure et fendue comme un laser,
J’émorfilais aux priapées,
Car c’est à ça que le con sert.
À mon art chacun rendait grâces
D’avoir à vif poli son jonc
Sans laisser guère qu’une trace
De foutre au bord de mon gorgeon.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Je fis montre de tant de vice
Qu’un soir, dans ma chambre à coucher,
L’affreux bourreau du Saint Office
Me tendit son pal ébréché.
Ce méchant pieu triangulaire
Que je décapai à loisir,
Tous mes outils capitulèrent
Sous la ferveur de son désir.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ma meule a soif, ma mouille s’use !
Ma moule a faim, il va sans dire.
Voici bien des ans que je fuse
Sur chaque gland pour l’attendrir.
Sans jus, comment rester lascive ?
Mes bons amis, soyez futés :
Venez lécher, verser salive
Pour que je puisse raffûter !
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Sur l’air de « La chanson du rémouleur »
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Chansons_rouges/Chanson_du_Rémouleur -
Le poing du pognon
Catégories : ChansonC’est brutal oui mais démocratique
Y a plus qu’des vaincus
Dès le berceau c’est systématique
Le fric est vécu
Dans nos culs
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Pour le monde entier un seul régime
On t’farcit l’oignon
Et tu t’balades avec dans l’intime
Le poing du pognon
Bien profond
Wohoho !
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Fisting pour les jeunes wohohoho !
Fisting pour les vieux
Fisting pour les blancs
Fisting pour les blacks
Fisting pour bébé wohohoho !
Fisting pour mémé
Fisting pour les résignés
Fisting pour les insurgés
Fisting pour les richards wohohoho !
Fisting pour les clochards
Fisting pour les Zoulous
Fisting pour les Inuits
Fisting pour les gourous wohohoho !
Fisting pour les marabouts
Fisting pour les flics
Fisting tout public
Fisting pour les poètes wohohoho !
Fisting pour les coquettes
Fisting pour les cochonnes
Fisting pour les madones
(ad lib.)
Sur l’air de « Lipstick polychrome » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=KcyVeKC0Eb8