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Chanson

  • Pas souvent couvert

    Catégories : Chanson

    Aller de vit en vit
    Sans arrêt le cul nu
    Je pille ravie
    Tous les fruits défendus
    Les gens de la nuit sont toujours là quand il faut
    Ils vous enculent à fond, ils adorent les nymphos

    Les vapeurs d’alcool
    Ça je les connais bien
    Parfois ça vous colle
    Entre les poils pubiens
    Et c’est difficile le choix d’un vit
    M’les carrer tous, moi c’est ça dont j’aurais envie

          Et mon ventre
          Il dort pas souvent couvert
          Ma fente
          Rêve que d’s’ouvrir à l’envers
          J’ai d’la chance
          Jouissance
          Je baise bien
          Fourrée du soir au matin
          Je baise bien

          À midi je suis dans mon lit
          Et je pionce, c’est quelque chose
          À minuit je traque dans la ville
          Les beaux mecs, il m’faut ma dose

    En tournée mondiale
    On s’prête les musiciens
    Jusqu’aux amygdales
    Chacune s’envoie le sien
    Les gens de la nuit sont toujours là quand il faut
    Ils vous dégomment un pied en l’air en porte-à-faux

    Le jeu des six lances
    Il faut l’avoir connu
    L’premier qui balance
    S’en prend une en plein cul
    Et c’est difficile de dire suffit
    Je passe mon temps à m’lancer de nouveaux défis

          Et mon ventre
          Il dort pas souvent couvert
          Ma fente
          Rêve que d’s’ouvrir à l’envers
          J’ai d’la chance
          Jouissance
          Je baise bien
          Fourrée du soir au matin
          Je baise bien

          À midi je suis dans mon lit
          Et je pionce, c’est quelque chose
          À minuit je traque dans la ville
          Les beaux mecs, il m’faut ma dose

          À midi je suis dans mon lit...
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    Sur l’air de « Vancouver » (Véronique Sanson)

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  • Besoin de personne

    Catégories : Chanson

    J’n’ai eu besoin de personne
    Pour le déballer vite fait
    Et la notice nippone
    Déjà m’a fait pas mal d’effet

    Besoin de personne
    Pour trouver par où m’le mettre
    Besoin de personne
    Vu qu’j’ai fait la fac de lettres
    De le-e-ettres...

          Oh je l’ai branché toute seule
          Il m’a offert plus qu’un vit
          Je crois qu’j’ai crié oui
          OUIIII !

          Oh je l’ai branché toute seule
          Sur le secteur toute la nuit
          Rapport qualité/prix
          Qu’est-ce que j’ai pris
          OAH-AHO-OAH !

    Besoin de personne
    Pour me l’enfiler à fond
    Besoin de personne
    Pour gicler jusqu’au plafond

    Besoin de personne
    Pour me ramoner la moule
    Tiens les voisins sonnent
    Pis chez moi v’là qu’y a la foule
    La fou-ou-oule...

          Mais dis oh je l’ai branché toute seule
          Il m’a offert plus qu’un vit
          Je crois qu’j’ai gueulé oui
          OUIIII !

          Ouais je l’ai branché toute seule
          Sur le secteur toute la nuit
          Maint’nant c’est mon chéri
          Qu’est-ce que j’ai pris
          OAH-AHO-OAH !

    Besoin de personne
    Pour me l’enfiler à fond...
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    Sur l’air de « Besoin de personne » (Véronique Sanson)


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  • Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ma meuf

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)

          Chanson lesbienne, avec des grattes, à la Renaud...

    Elle est chaude à s’brûler ma meuf
    C’est pas compliqué : sur sa motte
    On pourrait s’y faire cuire un œuf
    Sitôt qu’on lui r’tire sa culotte

    Elle est bonne à s’damner ma meuf
    Tous les loulous la filent au derche
    Pour la zyeuter, y a même un veuf
    Qu’a essayé d’lui tendre la perche

    Ils l’ont pas vue à poil ma meuf
    Ses nibards c’est d’la dynamite
    Sa chagatte une vraie langue de bœuf
    Même c’est péché d’y mettre une bite

    Elle est grave épicée ma meuf
    Avec sa peau d’un noir ébène
    Quand j’l’ai cloquée au fond d’une teuf
    Je m’suis dit ça c’est une aubaine

    Des fois au plume avec ma meuf
    On s’refait l’monde à la femelle
    Tout doux, tout beau, tout rose, tout neuf
    Où on s’rait comme des sœurs jumelles

    Le seul petit blème à ma meuf
    C’est qu’elle a épousé un type
    Un CRS, un genre de keuf
    Il m’la prête en échange d’une pipe

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  • Puisque nos désirs se ressemblent (remix)

    Posté jeudi, mis en musique et en images dimanche : mon compère poète Alain a visiblement flashé sur ce texte, et bien entendu je l’en remercie une fois de plus. De surcroît, si pour moi il s’agissait d’un poème parmi le flot que je diffuse quotidiennement, sa réactivité et son travail étonnant ont attiré mon attention et m’ont poussée à revenir un instant sur ces quelques vers. C’est pourquoi j’aimerais ici, contrairement à mes habitudes, vous livrer un certain nombre d’éléments qui ont présidé à son écriture.

    Au plan formel, il est formé de quatre strophes identiques composées chacune de quatre octosyllabes et d’un quadrisyllabe final qui constitue le refrain.

    Mon point de départ était précisément ce refrain : « Endors-toi donc ». Par conséquent, j’ai cherché des rimes en « don » : gardons, pardon, don, bidon. Au passage, signalons que j’essaie toujours de varier la catégorie lexicale de mes rimes. Rimer deux adjectifs entre eux (ex. : navré, délivré) me semble trop facile. Ici, nous avons un verbe, deux noms et un adjectif.

    Pour alterner avec cette rime sourde et masculine en « don », j’ai choisi des rimes féminines tout aussi nasales (cette nasalité crée une sorte de ronflement qui s’accorde bien avec le sujet) mais plus amples et sonores : -ontre, -emble, -ense, -entre. Par ailleurs, partout dans le poème, les sons « ronflants » prédominent : chérie, chair, éternité, notre rencontre, rêve, étreinte, tirer l’or, etc., etc.

    Comme souvent, j’ai éliminé au maximum les « e » muets à l’intérieur du vers, ce qui à mon avis améliore la fluidité des poèmes.

    Voilà pour la sonorité. Sur le plan du sens, rien de compliqué à saisir. Au contraire, les termes employés sont des mots de tous les jours. De plus, chaque strophe est semée de notions fortes, cardinales, essentielles : vie, éternité, or, substance, amour, ensemble, baisers, désir, etc., qui soulignent de façon diffuse le caractère authentique de cet amour. Baudelaire, entre autres, utilisait beaucoup cette combinaison de notions essentielles et de musicalité.

    La chute, avec ce « moi » au lieu du « toi » des refrains précédents, signifie bien sûr la réciprocité de l’amour. Quant à l’antre du vers précédent, il est à la fois un refuge contre tout le reste (ce qui est bidon, le monde extérieur) et le symbole de la passion dévorante unissant ces deux femmes.

     

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  • Bourrée d’Aliboron

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)

           Chanson gaie

    Voici l’histoire d’une pauvresse
    Qui tant et tant tournait pas rond
    Qu’à la fin elle offrit ses fesses
    À un bel âne aux yeux vairons
    C’est la bourrée d’Aliboron

    Ce baudet prompt à l’infamie
    S’montra si déluré luron
    Qu’aussitôt seul avec sa mie
    Il y allait pine au giron
    De la bourrée d’Aliboron

    Ils vivaient dans l’nord de la France
    Quéqu’part au pays des corons
    Et bien qu’il la mit en souffrance
    Elle hurlait va l’âne ah forons
    Dans la bourrée d’Aliboron

    Lui s’enfonçait à la hussarde
    Au lieu d’rester sur le perron
    Il enfilait sa longue écharde
    Elle en avait la sueur au front
    La pauv’ bourrée d’Aliboron

    Pour se reposer la membrane
    Elle lui tripotait les marrons
    Qu’il avait lisses comme le crâne
    Du r’gretté professeur Choron
    Sacrée bourrée d’Aliboron

    En amour avec la bourrique
    Elle écrivit à son daron
    Qui lui répondit d’puis l’Afrique
    Tu f’ras ben comme tu préférons
    Foutue bourrée d’Aliboron

    Elle en avait tant la banane
    Qu’elle épousa monsieur l’baron
    Mais garda près d’elle son âne
    Tant pis pour c’que les gens diront
    C’est la bourrée d’Aliboron

    Comment s’est terminée la farce ?
    Notre animal à paturons
    Fout-il toujours la jolie garce ?
    Ceux qui veul’nt savoir écriront
    À la bourrée d’Aliboron

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  • Délectations

    Vous vous souvenez ?

    Ma langue lampe au lupanar
    De ta chatte des boissons fortes
    Miels blonds ou roux de toutes sortes
    ...

    Alain, poète et militant LGBT,

    Alain, l’homme qui fredonne à l’oreille de l’IA et lui fait chanter des poèmes de sexe et d’amour,

    Alain, le mec qui trouve les images qu’il faut pour, en plus, nous en mettre plein les yeux,

    Alain a encore frappé, et frappé fort.

    Ne vous fiez pas à l’intro calme : très vite ça part en live, ça devient chaud, rock, sauvage comme j’aime et totalement barré !

    Bref : un pur régal.

    N’hésitez pas à laisser vos impressions directement sur YouTube, où Alain se fera un plaisir de vous répondre.

     

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  • Ô la main ! (remix)

    Rassurez-vous, ce n'est toujours pas moi qui chante !

    La voix est créée grâce à l'IA, mais c'est l'IN* d'Alain Cabello-Mosnier, poète gay, qui est responsable de tout le reste : mélodie, orchestration, mise en images, etc.

    Merci à lui !


    (*) Intelligence naturelle, native, neurochimique, notoire, nourricière, nonpareille...
    Le blog d'Alain : http://poesiesqueer.canalblog.com/

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  • Mâle d'un soir (remix)

    Eh oui !

    Encore un de mes poèmes mis en musique et en images (sensuelles !) par ce cher Alain Cabello-Mosnier !

    D’où ce distique holorime ruisselant de gratitude et d’admiration :

    Aaah ! Sons ! Muse ! Ô ! Pour les chansons du mec Alain,
    À son museau, pourléchants, sont dus mes câlins.

     

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  • Alain Cabello-Mosnier

    Poète gay et masseur à Paris, Alain Cabello-Mosnier tient depuis des années un blog où, non content de publier ses propres poèmes érotiques, il présente en outre des dizaines et des dizaines d’auteur.es LGBT, passés ou contemporains.

    Il m’avait déjà fait l’honneur de réaliser, avec talent et enthousiasme, je dirais même avec feu, une lecture de mon poème intitulé « Pantoum des abeilles ». Vous pouvez encore l’entendre ici.

    Aujourd’hui, il en a fait carrément une chanson et un vidéoclip qu’il a posté sur YouTube, avec mon accord, bien entendu. Si la voix ici est générée par l’IA, Alain est l’auteur de tout le reste : mélodie, orchestration, mixage, mise en image, etc. Et voici ce que ça donne :

    Même que c’est sans aucun doute le tube de l'été prochain !

    Chapeau bas et merci, Alain !  


    Son blog quasi encyclopédique : http://poesiesqueer.canalblog.com/
    Ses autres mises en musique (sur ses poèmes ou ceux d'autres auteur.es) : https://musiqueslgbt.bandcamp.com/

     

     

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  • Holà ! compagnons du foutre

    Catégories : Chanson, Hexasyllabes (6), Jocelyn Witz

          Hymne officiel des Compagnons du Foutre Rance

          (C’est ce que chante Lola, la Bohémienne,
          dans mon histoire d’hier...)

    Holà ! franc Compagnon
    Du foutre, sois mignon,
    Viens-t’en planter la Mère
    D’un burin qu’enflammèrent
    Sa lèvre et son chignon !
    Ensemble, Compagnon,
    Trimons,
          Limons,
                Pinons et besognons !

    Holà ! membres modèles,
    Couillons porte-chandelle,
    Qu’on décape hardiment
    L’ample conque à Maman
    Et qu’on ait raison d’elle !
    Nous lui serons fidèles
    À lui,
          À lui,
                À lui donner des ailes !

    Holà ! vieux Compagnons
    Du foutre, ces pignons,
    Dressez-les sans attendre !
    Rivez la chère et tendre
    Jusqu’au fond du trognon !
    Ensemble, Compagnons,
    Pinons,
          Trimons,
                Limons et besognons !

    Holà ! nœuds de braguette,
    Taraudez bille en tête
    Ce temple du devoir
    Prêt à vous recevoir !
    Rabotons ! Faisons fête !
    Il serait malhonnête
    Que nulle,
          Que nulle
                Quenelle on ne lui mette !

    Nous autres, Compagnons
    Du foutre, n’éteignons
    Les fièvres de nos verges
    Qu’en la très sainte auberge
    Du Maternel Oignon !
    Rejoins-nous, Compagnon,
    Et tous,
          Et tous,
                Et tous en chœur l’oignons !
    Rejoins-nous, Compagnon !
    Limons,
          Pinons,
                Trimons et besognons !

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  • Minuit sonne

    Catégories : Chanson

    À l’âge où j’avais encore un doudou... wap !
    Un soir que je filais au cagadou... wap doo-wap !
    Je croisai ma tantine un peu délurée
    Qui voulut voir la couleur de mes urées

    Elle avait de si beaux yeux de koudou... wap !
    Que je la laissai tâter mon bidou... wap doo-wap !
    Puis la suivis pour un aparté nocturne
    Un conciliabule au secret de sa turne

          Minuit sonne
          Tout mon p’tit corps frissonne
          Triomphante
          Elle, elle me bouffe la fente

          Et sa langue ! oh sa langue ! ah sa langue ! ouh sa langue !
          Caressant ! bondissant ! agaçant tout ça ! c’est vaudou !

          Minuit sonne
          Nous sommes deux polissonnes
          On s’embrasse
          En s’pinçant les tétasses

          Putain c’est doux d’être goudou... wap !
          Doux doux doux... wap doo-wap !
          Doux d’être goudou... wap !
          Superdoux... wap doo-wap !

    On a couru partout le guilledou... wap !
    Elle m’offrait des bonbons, des roudoudous... wap doo-wap !
    Puis on s’tripatouillait déjà tout humides
    Jusqu’à c’que nos souffles haletants coïncident

    J’aimais son ventre aux replis de saindoux... wap !
    Sa voix plus rauque qu’un didgeridoo... wap doo-wap !
    Je m’intéressais plus du tout à la bite
    Tata m’avait attirée dans son orbite

          Minuit sonne
          Tout mon p’tit corps frissonne
          Triomphante
          Elle, elle me bouffe la fente

          Et sa langue ! oh sa langue ! ah sa langue ! ouh sa langue !
          Caressant ! bondissant ! agaçant tout ça ! c’est vaudou !

          Minuit sonne
          Nous sommes deux polissonnes
          On s’embrasse
          En s’pinçant les tétasses

          Putain c’est doux d’être goudou... wap !
          Doux doux doux... wap doo-wap !
          Doux d’être goudou... wap !
          Superdoux... wap doo-wap !

          Minuit sonne
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Minuit sonne » (Michel Jonasz)
    https://www.youtube.com/watch?v=FqW9WHywCJQ

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  • Bouffeur de bouse

    Catégories : Chanson

    J’peux pas bander sauf dans l’cas
    (Même si je sais que c’est débile)
    Où sur mon corps fait caca
    Une putain tout juste nubile

    Droit là si elle est habile
    Je trique à mort et je jubile
    Les lèvres faisant ventouse
    J’me dis aux anges : « J’en ai pour mon flouze ! »

          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse

    Tout p’tit déjà j’m’envoyais
    Des cochonc’tés, des immondices
    En regardant frétiller
    Le fion de mon amie Candice

    Elle voulait rendre service
    Sauf que cette affable métisse
    Croyait que j’guignais sa p’louse
    Or moi j’la suppliais : « Mets là ta bagouse ! »

          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          etc.

    Si l’ouvreuse est bien roulée
    J’me paluche les parties intimes
    En avalant démoulé
    Son bran tout chaud je grimpe aux cimes

    Aimer ça c’est pas un crime
    Moi sans mon mol étron j’déprime
    J’ai rien du tout d’une tarlouse
    En bavant pourtant j’attends la perlouse !

          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          etc.

    (A capella, en tapant dans ses mains :)
    Défèque dans mon bec, belle Amazone !
    J’adore quand ça t’vient, j’aime quand tu te déboutonnes !
    Belle marquise, pousse ! chie ! déponne !
    Mais surtout surtout surtout ne l’dis à personne !

          Bouffeur de bouse
          J’suis rien qu’un bouffeur de bouse
          Bouffeur de bouse...
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Joueurs de blues » (Michel Jonasz)
    https://www.youtube.com/watch?v=Xp8tY7YtsA4

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  • Saturday night viveurs

    Catégories : Chanson

    (Chanson gaie au rythme enlevé)


    Ah ! c’est le weekend et le soleil descend
    Y a vraiment rien d’tel pour me remuer les sangs
    Je sens que mon string est déjà tout humide
    Dieu que ça m’démange il m’faudra du solide !
    Heu-reu-se-ment…

          C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
          Tout’ la s’maine j’m’en lèche les babines
          C’est l’sam’di soir après l’turbin
          J’ai même pas l’temps de prendre un bain
          C’est l’sam’di soir qu’il m’fout la zone
          En me r’tournant comme une calzone
          C’est l’sam’di soir qu’sa pine enfin me turlupine

    Mais l’heure tourne et je ne le vois pas venir
    Quelque chose a dû je crois le retenir
    La chatoune en pleurs j’téléphone aux urgences
    Pour expliquer à la fille des ambulances
    Qu’nor-ma-le-ment…

          C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
          Un costaud avec une Alpine
          C’est l’sam’di soir qu’il m’démolit
          Le cul en m’clouant sur le lit
          C’est l’sam’di soir qu’il me la broute
          Puis me r’baise un coup pour la route
          C’est l’sam’di soir que j’suis sa meuf et sa lapine

    Ô nuit solitaire ! mais dès le lendemain
    J’apprends tout d’la panne qu’il a eue en chemin
    Et pour excuser ces heures d’incertitude
    Il m’dit on va changer nos p’tites habitudes
    Do-ré-na-vant…

          L’dimanche matin j’te turlupine
          Ah ! pas question que tu t’débines
          L’dimanche matin j’te la remplis
          Et y aura plus jamais d’oublis
          L’dimanche matin j’te déshabille
          Pis j’fourbis jusqu’à c’que ça brille
          L’dimanche matin désormais j’cherche après Titine

          L’dimanche matin il m’plante l’épine
          Tout’ la s’maine j’rêve à sa grosse pine
          L’dimanche matin il m’jette un sort
          Qui fait que j’m’ouvre tel un ressort
          L’dimanche matin il me débloque
          La chatte à coups d’électrochocs
          L’dimanche matin il m’joue l’enlèv’ment des Sabines

          L’dimanche matin il me turbine
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  • Vu d’entre tes genoux

    Catégories : Chanson

    Quand je suis seule et que je peux rêver
    Je rêve que je suis sous les draps
    Je rêve que je te fais là-bas
    Une bonne fellation
    J’aime la fellation

    Quand je suis seule, que je peux inventer
    Que tu es là tout près de moi
    Je rêve en m’astiquant le bas
    D’une bonne fellation
    J’aime la fellation

          Une pipe vaut mieux qu’un long discours
          Vu d’entre tes genoux
          C’est pas grave si tu tournes court
          Je bois tout, glou glou glou

    Je ne pourrais jamais te dire tout ça
    Mais puisque ma sœur te suça
    Je trouve qu’à mon tour j’aurais droit
    À une fellation
    J’aime la fellation

          Une pipe vaut mieux qu’un long discours
          Vu d’entre tes genoux
          C’est pas grave si tu tournes court
          Je bois tout, glou glou glou

    Quand je suis seule et que je peux rêver
    Je rêve que je suis sous le drap
    Je rêve que je te fais là-bas
    Une bonne fellation
    J’aime la fellation

    (Parlé :)
    J’y pense quand tu es près de moi
    J’y pense aussi quand t’es pas là
    Je pense à toi
    J’ai pas la langue de bois

           (Chœurs :)
          Une bonne fellation
          J’aime la fellation

    (Parlé :)
    Je veux plonger dans ton bermuda
    Boulotter ton gros doigt
    Me gaver comme une oie
    Cette faim-là c’est plus fort que moi

           (Chœurs :)
          Une bonne fellation
          J’aime la fellation
           (ad lib.)


    Sur l’air de « Ma déclaration » (France Gall)
    https://www.youtube.com/watch?v=4ufY6fB_jgA

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  • Elle jouait du pipeau debout

    Catégories : Chanson

    Ne dites que cette fille était naine
    Monstre, erreur ou même affreux phénomène
    Et pour quelle raison étrange
    Qu’elle nous vienne qu’à l’abdomen, ça nous dérange ?

    Ne dites pas que dans l’jardin le gazon
    Causait sous ses bras des démangeaisons
    Et puis qu’est-ce que ça peut faire
    Du moment qu’elle embouchait les bandaisons ?
    Les bandaisons

          Elle jouait du pipeau debout
          Quand les salopes sont à genoux
          Elle, elle pompait au garde-à-vous
          Heureuse d’avaler des chibres
          Sans avoir à s’plier du tout

          Elle suçait les gars debout
          C’est peut-être un détail pour vous
          Mais mes copains en étaient fous
          Simplement sur ses deux pieds
          Pour les turluter, vous comprenez ?

    Ne dites pas que cette fille était courte
    En tout cas elle adorait le yaourt
    Et pour cette raison les membres
    Se laissaient téter à l’aise sans qu’elle se cambre

    Ne dites pas qu’elle était si rabougrie
    Que son menton lui cachait le nombril
    En vrai vous étiez jalouses
    Puisque tous les mecs autour étaient épris
    Étaient épris

          Elle jouait du pipeau debout
          Elle se l’enfilait jusqu’au bout
          Et pour moi ça veut dire beaucoup
          Ça veut dire pas d’lumbago
          Et du lolo à tire-larigot

          Pas plus haute qu’un garde-boue
          Trois pommes surmontées d’un hibou
          Elle fourrageait sous les boubous
          Simplement sur ses deux pieds
          Pour les glouglouter, vous comprenez ?

          Elle jouait du pipeau debout
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Il jouait du piano debout » (France Gall)
    https://www.youtube.com/watch?v=7l7eXx_8DHY

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  • Rempli jour et nuit

    Catégories : Chanson

    Tous mes amants sont bâtis
    En Hercule et bien montés
    Depuis qu’à la ville je suis partie
    Des tas de vits veulent planter
    L’enfant que tu as enfantée

          Si maman si, si maman si
          Si tu voyais mon mistigri
          Rempli jour et nuit, si maman si
          Il s’est fait un paquet d’amis
          Et mon cul aussi

    Les garçons défilent dans mon arrière-train
    Quand je me penche à la fenêtre
    Tiens ! voilà Jean-Jacques, Paul et Mathurin
    Eux aussi monteront peut-être
    Bibliquement me re-connaître

          Si maman si, si maman si
          Si tu voyais mon mistigri
          Rempli jour et nuit, si maman si
          Il s’est fait un paquet d’amis
          Et mon cul aussi

    Mon ventre est confortable, bien au chaud
    Rien ne laisse entrer le vent
    Je reprends du poil de la bête à deux dos
    J’étais bien trop seule avant
    Sans rien derrière ni devant

          Si maman si, si maman si
          Si tu voyais mon mistigri
          Rempli jour et nuit, si maman si
          Il s’est fait un paquet d’amis
          Et mon cul aussi

          Si maman si, si maman si
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Si maman si » (France Gall)
    https://www.youtube.com/watch?v=EYF8n5aRzwM

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  • La vie en ecchymoses

    Catégories : Chanson

    Des yeux qui font baisser les miens
    Un rire cruel sous un pif louche
    Voilà le portrait sans retouche
    Du mec dont je suis le chienchien

          Quand i m’gifle à tour de bras
          Brûlant d’amour je vois
          La vie en ecchymoses

          Plus i m’viole et m’fout des coups
          D’ceinture un peu partout
          Plus je deviens sa chose

          Il est entré dans mon fion
          Avec tant de passion
          Que j’ai craint qu’il explose

          C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
          J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie

          Mon cœur fait des embardées
          Dès qu’j’le vois m’regarder
          Ça va barder...

    Quand i me bat à plus finir
    Ou qu’son gros engin prend sa place
    Au fond d’moi aussi sec j’m’empoisse
    Heureuse, heureuse à en mourir

          Quand i m’gifle à tour de bras
          Brûlant d’amour je vois
          La vie en ecchymoses

          Plus i m’démonte la culasse
          Dans ses plans dégueulasses
          Plus je m’sens en osmose

          Il est entré dans mon fion
          Avec tant de passion
          Que j’ai craint qu’il explose

          C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
          J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie

          Mon p’tit cul tout lézardé
          Se laisse empétarder
          Sans plus tarder


    Sur l’air de « La vie en rose » (Edith Piaf)
    https://www.youtube.com/watch?v=-0KvBnIvTFs

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  • Mon locataire

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Il avait d’immenses yeux verts
    Un sourire joliment pervers
    Et des tas d’amis de passage
    Aux bras musclés pleins de tatouages
    Qu’au début j’ai pas bien compris
    Genre « Du valseur je suis épris »
    « Viens faire un tour dans mon trou d’homme »
    Ou « Aller simple pour Sodome »…

          Je savais pas grand-chose de lui
          On l’visitait souvent la nuit
          Mon locataire

          Je l’entendais faire la putain
          Qu’on enfilait jusqu’au matin
          Pourquoi le taire ?

          Il était mince, il était beau
          Il sentait bon le foutre chaud
          Mon locataire

          Quand j’le croisais dans mon couloir
          La mouille me coulait sans l’vouloir
          Jusque par terre

    Bonheur perdu, bonheur enfui
    À les écouter toutes les nuits
    Se donner ces plaisirs étranges
    J’avais des envies qui m’démangent
    D’être assise au bord de son lit
    Pour voir son p’tit cul démoli
    Mais j’ai jamais osé lui dire
    Des fois faut pas approfondir…

          Je savais pas grand-chose de lui
          On l’visitait souvent la nuit
          Mon locataire

          Je l’entendais faire la putain
          Qu’on enfilait jusqu’au matin
          Pourquoi le taire ?

          Il était mince, il était beau
          Il sentait bon le foutre chaud
          Mon locataire

          Quand je l’croisais dans mon couloir
          La mouille me coulait sans l’vouloir
          Jusque par terre

    Quand il m’a quittée cet hiver
    J’ai lu dans ses yeux grand ouverts
    Qu’il avait du cœur à l’ouvrage
    Il s’était fait faire un tatouage
    « Ici le plus beau trou d’Paris »
    C’était à la suite d’un pari
    Avec ceux qu’il app’lait ses hommes
    Ces types échappés d’un péplum…

          Je savais pas grand-chose de lui
          On l’visitait souvent la nuit
          Mon locataire

          Je l’entendais faire la putain
          Qu’on enfilait jusqu’au matin
          Pourquoi le taire ?

          Il était mince, il était beau
          Il sentait bon le foutre chaud
          Mon locataire

          Chaque fois qu’j’arpente ce vieux couloir
          Ma mouille dégouline sans l’vouloir
          Jusque par terre


    Sur l’air de « Mon légionnaire » (Edith Piaf)
    https://www.youtube.com/watch?v=7ShrxDgnU3E

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  • Fais-moi une place

    Catégories : Chanson

    Fais-moi une place au fond d’ta moule
    Même si Ignace y a mis sa s’moule
    Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais
    Pour te grimper

    Fais-moi une place au creux d’ta bouche
    Que j’te décrasse à la farouche
    Je giclerai du gland tout blanc, gommeux
    Pareil comme eux

          J’veux rester dans l’coup avec tes potes
          Si tu veux j’mettrai même une capote
          Je t’aime

    Fais-moi une place dans ton trou d’balle
    Près d’Stanislas et d’Hannibal
    Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit
    Quand j’t’emboutis

    Fais-moi une place au fond d’ton pieu
    Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu
    J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux
    Sois tranquillou

          J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte
          J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite
          Je t’aime

    Une petite place ici maint’nant
    Entre Jonas et Ferdinand
    J’me lav’rai même un peu la queue des fois
    Si j’ai pas l’choix


    Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=GF_MInbyiVA


    Retrouvez tous ses plus grands succès en un seul volume :

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  • Elle voulait que j’l’appelle soumise

    Catégories : Chanson

    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Vous me voyez, moi, l’humilier, la ligoter à un pilier
    Pour lui arracher sa chemise et la fouetter ?
    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Quelle drôle d’idée !
    Quelle drôle d’idé-é-ée !
    Quelle drôle d’idé-é-ée !

    J’préfère quand elle me sodomise
    Le cul en feu, les reins brisés
    La pine éprise de sa beauté
    Prenant mon pied par l’entremise
    Du silicone de son long pieu
    Moi j’ai encore pas trouvé mieux
    Pas trouvé mieu-eu-eux
    Pas trouvé mieux

          Puis elle s’est sal’ment compromise
          Avec un gonze à l’air vicieux
          Alors là, mouillant ma chemise
          J’l’ai décalqué, ce p’tit monsieur
          Du coup, maint’nant j’ai la mainmise
          Sur deux tordus : elle et le vieux...

    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Le cul en feu, les reins brisés, elle me supplie de l’enfiler
    Désormais j’la déshumanise pour la baiser
    Elle voulait que j’l’appelle soumise
    Quelle bonne idée !
    Quelle bonne idé-é-ée !
    Quelle bonne idé-é-ée !
    (ad lib.)


    Sur l’air de « Elle voulait qu’on l’appelle Venise » (Julien Clerc)
    https://www.youtube.com/watch?v=3-zYIf81--w
     

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