Je les regarde tous en douce
En m’imaginant leur engin
Déjà je geins
De le sentir qui pousse et pousse
Pour me modeler le vagin
Je les regarde au bas du ventre
Voir si y a du monde au balcon
Hors de mes gonds
Je rêve que ça entre et entre
En me recalibrant le con
C’est mon vice ô c’est ma faiblesse
Mater les mecs les supputant
Déjà dedans
Je coule là où le vit blesse
À l’envisager me foutant
Quadrisyllabes (4)
-
Là où le vit blesse
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4) -
Odelette aux branleurs
Catégories : Heptasyllabes (7), Quadrisyllabes (4)L’apéro onanisé
Chauffe sous la chemise et
Secoue le sucre anisé
De vos sucettes
À vos stupres j’applaudis
Transpirant dans mon body
Rêvant aux câlins maudits
Que vous vous faites
Bande de bandants branleurs
Que j’imagine en couleurs
Le Popaul qui perle en pleurs
Et qui en jette
Plus bas votre caleçon
Boit l’averse avec frisson
Puis la chose ô polissons
Redevient blette
Ô garçons que les tourments
Du foutre si fréquemment
Font s’improviser l’amant
De leur menotte
J’égrène mes chants lascifs
Afin que vos beaux rosbifs
Ne restent pas inactifs
Dans les culottes -
Ouvre tes lèvres
Catégories : Heptasyllabes (7), Quadrisyllabes (4)Rhombe tombe avers des lombes
Mouillé du sang des palombes
Ouvre tes lèvres et sens
Combien je tombe
Croissant versant rougissant
Sens unique et indécent
Ouvre et qu’éclate la bombe
Quand j’y descends
Cive lys lit de salive
Pourpre olive O des eaux vives
Ouvre encore ouvre il faut bien
Que je décrive
L’entrée dans l’antre pubien
Grotte où prient nus les Nubiens
Ouvre tes lèvres j’arrive
Raide ô combien -
Aux plans torrides de l’écliptique
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Ce soir, ça mouille en mon décan
Plein de soleils aphrodisiaques ;
Tout le zodiaque
Me fait de l’œil en forniquant.
Sous ta rudesse âpre et têtue,
Je me sens les pieds et poings liés,
Fougueux Bélier,
Dont chaque élan m’ouvre et me tue.
Est-il exact qu’une Crétoise
Jouit avant moi de ton barreau,
Brave Taureau,
Qui bande presque d’une toise ?
Il fallut bien que je gémisse
Tant vos phallus m’ôtaient les mots,
Frères Gémeaux,
En emplissant mes orifices.
Pince mes chairs roses, mes plages
De vice heureux si l’on s’en sert,
Ami Cancer,
Qui me rends humide et volage.
D’or sont ton œil et ta crinière,
Ta peau vaut peut-être un million,
Pourtant, mon Lion,
Ta queue je la vis la première.
Tu peux serrer fort les genoux
Pour te préserver de la verge
Des mâles, Vierge,
Mais là nous sommes entre nous.
Mes équilibres se défont
Quand ton gode force et s’élance,
Jolie Balance,
Épais et raide jusqu’au fond.
Ton dard nous blesse et nous infecte
Comme autrefois quand nous lapions,
Vilain Scorpion,
Le venin d’une pine infecte.
Viens d’une flèche me percer
Là où tant d’hommes s’agitèrent,
Ô Sagittaire,
Toi qui t’es longtemps exercé.
Faux bouc ! Chimérique animal !
Ensemble dépassons la borne,
Mon Capricorne,
Qui marque où commence le mal.
Ma nature ayant peur du vide
Que le ciel m’offrit au berceau,
Gentil Verseau,
Pour toi je mouille et pompe, avide.
Ah ! les nanas sont des chiennasses :
Toutes au ventre nous poissons
Quand les Poissons
Glissent leurs flancs dans notre nasse.
Astres, reluisez sous ma voûte
Et menez-moi au firmament
Infiniment,
Car le destin veut qu’on me foute ! -
Gorgée d’amour
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Je les avalais par la nouille
J’étais celle qui s’agenouille
Plus d’un n’en est pas revenu
J’ai fait des fouilles
Forte de faux airs ingénus
Je les bouffais tout crus tout nus
Et de perspective de fuite
Aucun n’en eut
Je les invitais où j’habite
Afin d’en boulotter la bite
Combien appelèrent au secours
Pas assez vite
Ainsi en leur faisant la cour
Je mettais les pendules à jour
En les avalant par la nouille
Gorgée d’amour -
Réceptacle
Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Rose est ma porcelaine insondable mon urne
Que creuse encore et que repolit tout garçon
Lorsqu’il me force l’aine et s’y vide les burnes
Sans y mettre trop de façons
Étant moi-même assez vilaine
Chaude et rose ma porcelaine
N’aime rien tant que d’être pleine
D’un polisson
Moiteur du graal un vase au fini de faïence
Prêt à lui recueillir le miel blanc des roustons
Ce ventre qu’il invase et pine avec vaillance
Lourd de replis et de festons
Dont d’un coup le revers s’embrase
Puisqu’il brûle le graal ô vase
Lui comme moi les périphrases
Nous détestons
Cette argile qui s’ouvre afin qu’un mâle y chute
S’engloutisse à jamais dis maman quel bon tour
Nous lui avons joué quelle avalée de jute
Vit ce vit sevré sans retour
Tombé des falaises de Douvres
C’est la mer avide qui s’ouvre
Mes super chéris se découvrent
Au pied des tours -
Joies domestiques
Catégories : Heptasyllabes (7), Quadrisyllabes (4)À moi mes jolis larbins !
Massez-moi les seins les cuisses
Pelotez-moi dans mon bain
Pour que je jouisse
Après j’en veux un cochon
Qui baisera sans aucune
Inhibition mes manchons
Blindés de thune
Sus ! mes obéissants boys !
À coup de testostérone
Faites fête humbles sextoys
À la patronne
Possédez-moi par devant
Ou derrière et pas de triche
Pas d’orgasme en me servant
C’est moi la riche
À moi mes velus valets !
Tâtons des joies domestiques
Ce soir je vous avale et
Je vous astique
Puis vous me foutrez debout
Et au plus viril athlète
J’offrirai peut-être un bout
De ma galette
Sus ! sus à moi mes laquais !
Contre mon cul qu’on affouille
Je veux entendre claquer
Vos grosses couilles
Vous êtes ô serviteurs
Au service de mes baises
Moi qui n’ai nulle pudeur
Mais plein de pèze -
Le premier sang
Catégories : Quadrisyllabes (4)Tristes tendrons
Plus n’attendront
Que le vit raide
Vienne à leur aide
Se branleront
La bouche en rond
Dessous le plaid
Pucelles sans
Mâts indécents
Boiront l’eau douce
De leurs secousses
Le premier sang
Quand il descend
Les éclabousse
Pleurez boutons
Chut ! écoutons
Leurs nuits d’ivresse
Au jus de fesse
Jouir à tâtons
Sous le coton
À fond la caisse
Foutus queutards
Il est trop tard
Trop à la bourre
Pour aller courre
L’œil en pétard
Sans vous bâtards
On fait l’amour -
Plus que de pain
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Je vis des vits
Qui me chassent les idées mortes
Je vis des vits
Qui loin de rester au parvis
Me vont, me viennent, m’entrent, sortent
Me foutant des émotions fortes
Ces gentils vits
Je m’ouvre entière
À leur savoureuse invasion
Je m’ouvre entière
Tant la bouche tant la chattière
Qu’aussi l’anus à l’occasion
Comme hier soir quand nous baisions
Je m’ouvre entière
Ô bel ami
Puissiez-vous revenir très vite
Ô dur ami
Me perforer tel un tamis
Du bout raidi de cette bite
Dont la tendresse encor m’habite
Précieux ami
Je vis de baise
Dont j’ai besoin plus que de pain
Je vis de baise
Plus rien au monde ne m’apaise
Comme un mandrin de turlupin
Droit comme le long fût d’un pin
Et qui me baise -
Vilain penchant
Catégories : Quadrisyllabes (4)Ventre fourchu
Souvent j’ai chu
Sur les machins
De mon prochain
Quoique attachant
Vilain penchant
Ventre de faille
Qui me travaille
Vite on s’effeuille
Fruits que l’on cueille
Puits que l’on mouille
Reins que l’on fouille
Ventre fendu
Cherchant son dû
Je me rendais
Où m’attendaient
Les dards bandant
Tenue d’Adam
Ventre à pied d’œuvre
À la manœuvre
J’aimais qu’il s’ouvre
Pour qu’on me couvre
Mordant mes lèvres
Brûlant de fièvre
Ventre fêlé
Je m’envolais
Viole et violon
Sans pantalon
Ô mes élans
Souvent violents
Ventre à encoche
J’allais bancroche
Faisais l’autruche
Vidais ma cruche
Creusais la brèche
Tard à la fraîche
Ventre affamé
J’ai blasphémé
Fait de l’ami
De cœur soumis
Mon aliment
Fatalement
Ventre cabosse
Moite de sauce
Sans sa cuirasse
Ah ! qu’on décrasse
Cette matrice
Dominatrice
Ventre fourbu
D’avoir tant bu
Tant enrobé
D’ardents bébés
Resté rubis
Sous mes habits
Ventre de trempe
Encor je rampe
Je ruse et trompe
Pour qu’on me rompe
Qu’on me défripe
Le fond des tripes
Ventre fichu
Ventre déchu
Ventre déchet
Par trop léché
Mais pas méchant
Vilain penchant -
Putain du diable
Catégories : Quadrisyllabes (4)Laissez-moi faire
J’suis Lucie Fer
Si j’vous travaille
Tout l’attirail
C’est pour parfaire
Vos p’tits enfers
Il faut qu’ça braille
Et qu’ça déraille
Laissez couler
Tout maculé
Le fleuve impur
De vos ordures
Laissez violer
Vos p’tits piolets
J’suis la plus dure
Pour la torture
J’ai l’cœur haineux
Le r’gard vineux
L’âme interlope
Cherchant sa dope
J’mords à vos nœuds
L’corps caverneux
J’y cloue mes clopes
Hurlez ô lopes
Laissez-vous faire
Au papier d’verre
En gueule et sable
L’irrémédiable
D’vos p’tits enfers
Quand Lucie Fer
Putain du diable
Vous saute au râble -
Le retour
Catégories : Monosyllabes, Quadrisyllabes (4)Dieu ! qu’il fait lourd
Même sans robe
Pour ton retour
Entre...
Je suis émue
Tu vois je touche
Mon ventre nu
Entre...
As-tu trouvé
Mon petit slip
Dans l’escalier ?
Entre...
Te mettre à l’aise
Pourvu qu’encore
Mon corps te plaise
Entre...
Mes seins mes doigts
Te les durcissent
Ils sont à toi
Entre...
Quant à mes cuisses
Sais-tu combien
Elles languissent ?
Entre...
Oh ! je m’épile
Matin et soir
Tu tombes pile
Entre...
Étends tes membres
Beau voyageur
Souillant la chambre
Entre...
J’ai préparé
Ceci pour te
Désaltérer
Entre...
Des jours durant
J’ai attendu
En m’effleurant
Entre...
Monte enfin celle
Au sexe ouvert
Presque pucelle
Entre, entre ! -
Puisque nos désirs se ressemblent (remix)
Catégories : Chanson, Jocelyn Witz, Octosyllabes (8), Poèmes illustrés, Poèmes lus ou chantés, Quadrisyllabes (4)Posté jeudi, mis en musique et en images dimanche : mon compère poète Alain a visiblement flashé sur ce texte, et bien entendu je l’en remercie une fois de plus. De surcroît, si pour moi il s’agissait d’un poème parmi le flot que je diffuse quotidiennement, sa réactivité et son travail étonnant ont attiré mon attention et m’ont poussée à revenir un instant sur ces quelques vers. C’est pourquoi j’aimerais ici, contrairement à mes habitudes, vous livrer un certain nombre d’éléments qui ont présidé à son écriture.
Au plan formel, il est formé de quatre strophes identiques composées chacune de quatre octosyllabes et d’un quadrisyllabe final qui constitue le refrain.
Mon point de départ était précisément ce refrain : « Endors-toi donc ». Par conséquent, j’ai cherché des rimes en « don » : gardons, pardon, don, bidon. Au passage, signalons que j’essaie toujours de varier la catégorie lexicale de mes rimes. Rimer deux adjectifs entre eux (ex. : navré, délivré) me semble trop facile. Ici, nous avons un verbe, deux noms et un adjectif.
Pour alterner avec cette rime sourde et masculine en « don », j’ai choisi des rimes féminines tout aussi nasales (cette nasalité crée une sorte de ronflement qui s’accorde bien avec le sujet) mais plus amples et sonores : -ontre, -emble, -ense, -entre. Par ailleurs, partout dans le poème, les sons « ronflants » prédominent : chérie, chair, éternité, notre rencontre, rêve, étreinte, tirer l’or, etc., etc.
Comme souvent, j’ai éliminé au maximum les « e » muets à l’intérieur du vers, ce qui à mon avis améliore la fluidité des poèmes.
Voilà pour la sonorité. Sur le plan du sens, rien de compliqué à saisir. Au contraire, les termes employés sont des mots de tous les jours. De plus, chaque strophe est semée de notions fortes, cardinales, essentielles : vie, éternité, or, substance, amour, ensemble, baisers, désir, etc., qui soulignent de façon diffuse le caractère authentique de cet amour. Baudelaire, entre autres, utilisait beaucoup cette combinaison de notions essentielles et de musicalité.
La chute, avec ce « moi » au lieu du « toi » des refrains précédents, signifie bien sûr la réciprocité de l’amour. Quant à l’antre du vers précédent, il est à la fois un refuge contre tout le reste (ce qui est bidon, le monde extérieur) et le symbole de la passion dévorante unissant ces deux femmes.
♥ ♥ ♥
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Puisque nos désirs se ressemblent
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Endors-toi donc chérie tout contre
Ma chair contente aussi gardons
Éternité contre la montre
Le feu né de notre rencontre
Endors-toi donc
Endors-toi que l’on rêve ensemble
De cent étreintes sans pardon
Baisers tropicaux sous les trembles
Puisque nos désirs se ressemblent
Endors-toi donc
Endors-toi nue femelle intense
Toi qui de nos corps as le don
De tirer l’or et la substance
Le reste n’a pas d’importance
Endors-toi donc
Endors-toi donc ma vie mon centre
Seul notre amour n’est pas bidon
Endors-toi tout contre mon ventre
Et bouche ouverte comme un antre
Endors-moi donc -
Magie du soir
Catégories : Quadrisyllabes (4)La femme-enfant
Toute menue
Ne se défend
Plus d’être nue
Sous mon œil noir
Magie du soir !
Sa joue reflète
Malignement
Le sort qui guette
Mes sentiments
Brûlants d’envie
On se défie !
On se défait
Des hiers tendres
Quand j’étouffais
De trop attendre
Son dernier oui
Déjà je jouis !
Déjà tu mielles
Mon petit faon
Poupée cruelle
Ô femme-enfant
Fétu de braise
Allons aux fraises ! -
À chaque fois que tu t’élances
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Verse en moi les blancs sentiments
Qui nous habitent
Pour qu’à la fin l’eau de ta bite
Fasse ciment
Ivres mes envies se referment
Autour du doigt
Que tu durcis et qui me doit
Plus que le sperme
Je sais nos noms prêts à perler
Dans le silence
À chaque fois que tu t’élances
Pour en parler
Au chaud des lèvres de ta pine
À l’air charmant
De ton respir ces sentiments
Je les devine -
Savoir percer la neige
Catégories : Alexandrins (12 pieds), Quadrisyllabes (4)Son ventre nu soupire à peine un souvenir
Pèse sur elle
Et le ciel recule elle saute à la marelle
Sans en finir
D’un homme à l’autre nul envol plus rien ne vibre
Qu’il a touché
Son corps sommeille et se replie même couché
Dessous les chibres
Là ce sont des femmes pareilles mais jouissant
Du privilège
De savoir exiler l’hier percer la neige
D’un cri puissant
Prêtez-moi cet éclair ce feu mesdemoiselles
Emportez-moi
Sur votre aile humide où s’en est allé le roi
De la marelle -
Le rebond
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Tu me fermais la porte ô proie
Mais il fallait envisager
Qu’un jour je fusse
Pouliche à m’emparer des Troie
Et qu’à la fin ma bouche suce
Le blanc-manger
Je sus prendre ta cuisse au piège
D’un vice neuf du seul élan
De ces mystères
Qui perpétuellement assiègent
Nos cœurs de filles solitaires
Un peu branlants
Il n’est que de t’entendre rire
Pour savoir que tu ne m’en veux
Plus de mon zèle
À t’imposer ce doux délire
En embrassant la demoiselle
Sous nos cheveux
Ta fente fraîche devient chaude
Et tes eaux mortes sentent bon
Quand tu les lances
De mon désir entré en fraude
Tel un shoot avec insolence
C’est le rebond -
Un seul frisson
Catégories : Hexasyllabes (6), Quadrisyllabes (4)Et sa verge surgie
Droite et pourpre bougie
Brûlant d’humanité
Nous habitait
L’une qu’on dépucelle
L’autre déjà ficelle
Goûtant à l’unisson
Un seul frisson
Émanant du baptême
De ton bonheur suprême
À l’angle de mon œil
Depuis le seuil
Son épine opiniâtre
Te donna jusqu’à quatre
Fois le vol rugissant
Buvant le sang
Tant que je fus vorace
À retrouver la trace
Sur le pur abandon
De ton flanc dont
S’émiettait l’avalanche
Mouillée d’averses blanches
Que laissait pour Sappho
Enfuie sa faux
La cheville munie
D’une emprise impunie
Malgré nos désaccords
Rivait mon corps -
Coaching au sauna
Catégories : Jocelyn Witz, Quadrisyllabes (4)Vite un masseur
J’ai mes chaleurs
J’ai mes vapeurs
Dans les bains-douches
J’offre ma bouche
Et mon valseur
Vite un zizi
Morceau choisi
Tout cramoisi
Un long lingam
Dans ce hammam
À jacuzzi
Vite un frôleur
Un enculeur
Sinon malheur
C’est par hygiène
Que je suis chienne
J’ai mes chaleurs
C’est le thème de ma dernière petite histoire cochonne en lecture libre :
https://www.atramenta.net/lire/coaching-au-sauna/98541♥