L’eau frissonne en léchant mes hanches
Et pénètre mon ventre étroit
Mon téton durcit, tout s’enclenche
Sous mes yeux qui n’ont jamais froid
L’eau se trouble, suce, enveloppe
De sa lèvre mouillée de sel
Mes replis de jeune salope
Prompte à égarer son missel
Ô entre là, eau, prends-moi toute !
Suis-je pas seule à la maison ?
Me forçant tu verras sans doute
Mon rose hymen à l’horizon
L’eau hésite, flue, reflue, jongle
Avec mes désirs haletants
Tant qu’à la fin, de mes coups d’ongle
Je le perce en serrant les dents
L’eau rougit, s’enfle et précipite
Sa chaude morsure, elle fond
Sur les vierges envies de bite
Que mon cœur nourrissait au fond
La vierge au bain
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Commentaires
C'est ce qu'on appelle "ne pas y aller par quatre chemins"...
Que ne ferions-nous pas quand l'envie nous envahie !!!
La virginité ça va cinq minutes ! :D
Mignon
Je découvre tes poèmes sur ce blog. Cela donne des idées...
Merci Edelweis ! Des idées cochonnes, j'espère.
Bises