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Chanson

  • La chanson de la rémouleuse

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)

    Jadis, en la paix des familles,
    Ma meule chantait sa chanson ;
    J’aiguisais la langue des filles
    Tout en leur doigtant le chausson.

    Mais un jour, un beau militaire
    Me culbutant sur le chemin,
    Je m’avérai fort salutaire
    Aux armements du mâle humain.

          Laissez, messieurs, la rémouleuse
          Travailler sous le cotillon,
          Vous affilant, l’âme rieuse,
          Flamberge, vit ou dardillon !

    Ce que j’en ai fourbi d’épées !
    Pure et fendue comme un laser,
    J’émorfilais aux priapées,
    Car c’est à ça que le con sert.

    À mon art chacun rendait grâces
    D’avoir à vif poli son jonc
    Sans laisser guère qu’une trace
    De foutre au bord de mon gorgeon.

          Laissez, messieurs, la rémouleuse
          Travailler sous le cotillon,
          Vous affilant, l’âme rieuse,
          Flamberge, vit ou dardillon !

    Je fis montre de tant de vice
    Qu’un soir, dans ma chambre à coucher,
    L’affreux bourreau du Saint Office
    Me tendit son pal ébréché.

    Ce méchant pieu triangulaire
    Que je décapai à loisir,
    Tous mes outils capitulèrent
    Sous la ferveur de son désir.

          Laissez, messieurs, la rémouleuse
          Travailler sous le cotillon,
          Vous affilant, l’âme rieuse,
          Flamberge, vit ou dardillon !

    Ma meule a soif, ma mouille s’use !
    Ma moule a faim, il va sans dire.
    Voici bien des ans que je fuse
    Sur chaque gland pour l’attendrir.

    Sans jus, comment rester lascive ?
    Mes bons amis, soyez futés :
    Venez lécher, verser salive
    Pour que je puisse raffûter !

          Laissez, messieurs, la rémouleuse
          Travailler sous le cotillon,
          Vous affilant, l’âme rieuse,
          Flamberge, vit ou dardillon !


    Sur l’air de « La chanson du rémouleur »
    https://fr.m.wikisource.org/wiki/Chansons_rouges/Chanson_du_Rémouleur


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  • Le poing du pognon

    Catégories : Chanson

    C’est brutal oui mais démocratique
    Y a plus qu’des vaincus
    Dès le berceau c’est systématique
    Le fric est vécu
    Dans nos culs

          Fisting pour les hommes wohohoho !
          Fisting pour les femmes
          Fisting for the men
          Fisting for the girls

    Pour le monde entier un seul régime
    On t’farcit l’oignon
    Et tu t’balades avec dans l’intime
    Le poing du pognon
    Bien profond
    Wohoho !

          Fisting pour les hommes wohohoho !
          Fisting pour les femmes
          Fisting for the men
          Fisting for the girls

          Fisting pour les jeunes wohohoho !
          Fisting pour les vieux
          Fisting pour les blancs
          Fisting pour les blacks

          Fisting pour bébé wohohoho !
          Fisting pour mémé
          Fisting pour les résignés
          Fisting pour les insurgés

          Fisting pour les richards wohohoho !
          Fisting pour les clochards
          Fisting pour les Zoulous
          Fisting pour les Inuits

          Fisting pour les gourous wohohoho !
          Fisting pour les marabouts
          Fisting pour les flics
          Fisting tout public

          Fisting pour les poètes wohohoho !
          Fisting pour les coquettes
          Fisting pour les cochonnes
          Fisting pour les madones
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Lipstick polychrome » (Daniel Balavoine)
    https://www.youtube.com/watch?v=KcyVeKC0Eb8

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  • La zizette

    Catégories : Chanson

    Petite figue de nana que le braquemard rasa
    Petit bijou de gouine, ô baba nu sous la nuisette
    Aucun besoin de blabla, cherchons pas le pourquoi
    Rien qu’à l’idée de lécher là-bas, moi je fais risette
    Wohoho !

          Ta chaleur et tes jus, tout me va
          Ouvre-toi, fais pas ta coquette
          Baise avec moi !
          Je te boufferai sur la moquette
          Il n’existe pas d’autre loi
          Que la zizette
          Je te veux si tu veux de moi

    Voilà que tu, l’œil hagard, t’es collée contre moi
    Tout excitée des ardents regards que je te projette
    J’ai ta fêlure dans la peau, des fourmis dans les doigts
    Ta zizette là, c’est comme un drapeau, comme une épuisette
    Wohoho !

          Ta couleur, ta moiteur, tout me va
          Y compris tes relents de bête
          Baise avec moi !
          Tu vois bien, le désir nous guette
          Et comme d’hab on ne résiste pas
          À la zizette
          Je te veux si tu veux de moi

    (Solo de trompette bouchée…)

          Ta chaleur et tes jus, tout me va
          Ô moniche, ô ma sanisette
          Baise avec moi !
          Tapons-nous une super minette
          Sans un mec pour nous briser les noix
          Ah ! la zizette
          Je te veux si tu veux de moi

          Ta couleur, ta moiteur, tout me va
          (ad lib.)


    Sur l’air de « L’Aziza » (Daniel Balavoine)
    https://www.youtube.com/watch?v=lHjJlSq3BhA
     

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  • Ta pine !

    Catégories : Chanson

    (Envoyez les violons...)

    J’avais écarté
    Bien les cuisses
    Pour que tu puisses
    M’empapaouter

    Bref on allait
    Se mettre à table
    Quand ton portable
    Chanta son couplet

          Et j’ai crié, crié-é
          Ta pine ! pour qu’elle revienne
          Et j’ai mouillé, mouillé-é
          Oh ! mouillé comme une chienne

    Quand vers minuit
    T’as rejoint le plume
    Ton beau volume
    S’était enfui

    Je t’ai grignoté
    Sans trop y croire
    Mais tes génitoires
    Restaient prostrées

          Et j’ai crié, crié-é
          Ta pine ! pour qu’elle revienne
          Et j’ai prié, prié-é
          Vénus comme les païennes

    Mes prévenances
    Et mes doigts de fée
    Faisaient leur effet
    J’avais l’espérance

    Que bien dirigé
    Tu reprennes forme
    Redeviennes énorme
    Mais t’as éjaculé

          Et j’ai crié, crié-é
          Ta pine ! pour qu’elle revienne
          Et j’ai branlé, branlé-é
          Ma choune en vraie vaurienne

          Et j’ai crié, crié-é
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Aline » (Christophe)
    https://www.youtube.com/watch?v=-E_Hyn53acA
     

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  • Une vie de patachon

    Catégories : Chanson

          Vice, ô mon vice, lorsque tu dévisses
          Ma chatte avec ton tire-bouchon
          Vice, ô mon vice, j’en ai l’orifice
          Qui bave comme un vieux cruchon

    Agrippé à mes hanches un peu rondes
    Tu faufiles ton andouille carmin
    Et de l’air le plus vicieux du monde
    Tu m’empales en un tournemain
    Un tour de…

          Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
          Ma chatte avec ton tire-bouchon
          Vice, ô mon vice, j’en ai les varices
          Qui me remontent jusqu’aux nichons

    Tu vois, depuis le premier jour qu’on s’aime
    Frappée par ton énorme moyeu
    Oubliant jusqu’à ton nom de baptême
    Je t’ai dit les yeux dans les yeux
    Serre-moi la…

          Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
          Ma chatte avec ton tire-bouchon
          Vice, ô mon vice, j’en ai les écrevisses
          Comme des rubis en cabochon

    Je me demande pourquoi tu te retires
    Après deux heures à peine c’est pas sympa
    J’ai besoin plutôt qu’on me re-tire
    Ton amour je ne m’en lasse pas
    Mais tu t’en…

          Fiches, ô mon vice, je t’en prie, de grâce
          Prends-moi encore le bourrichon
          Pour moi, mon vice, quoi que tu me fasses
          C’est une vie de patachon
          C’est une vie de patachon
          Je te kiffe plus que le chichon
          Reviens, reviens, mon gros cochon
          C’est une vie de patachon
          C’est une vie de patachon
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Biche, oh ma biche » (Frank Alamo)
    https://www.youtube.com/watch?v=skJr2fQtnNc

     

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  • Rééducation sentimentale

    Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)

    Ce soir à la brune
    J’irai sans rancune
    Piner grand-maman
    Cette fleur sauvage
    Qui malgré son âge
    Mouille abondamment

          Je mettrai la liesse
          En ses vieilles fesses
          Et dans ses cheveux
          Des flocons de jute
          Car elle était pute
          En mil neuf cent deux

    C’est au crépuscule
    Que souvent j’encule
    Cette aïeule à cash
    Espérant en douce
    Qu’à trop de secousses
    Son cœur usé lâche

          Crevant pour la thune
          Sa rondelle brune
          Je songe à demain
          Mémé dans sa tombe
          Je ferai la bombe
          Du soir au matin

    Demain à l’aurore
    Je foutrai encore
    Son con tendrement
    Baiserai sa bouche
    Pour qu’elle me couche
    Sur son testament

          Dès lors riche à bloc
          Oubliant la vioque
          J’irai m’abreuver
          À ces minaudantes
          Juste adolescentes
          Qui me font rêver


    Sur l’air de « Éducation sentimentale » (Maxime Leforestier)
    Paroles de Jean-Pierre Kernoa

    https://www.youtube.com/watch?v=e3yTu7AFxnI

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  • Ça va comme ça !

    Catégories : Chanson

    Toi le vit que je n’ai jamais eu
    Combien de moules et de culs
    Nous aurions pu fourrer ensemble
    Sitôt atteinte la puberté
    On aurait gaiement culbuté
    Toutes ces filles qui me ressemblent

    J’aurais appris les doigts dans le nez
    L’art tout viril et raffiné
    D’agrandir les trous des moukères
    Sûr qu’aussi on se serait fichu
    Parfois dans un beau moustachu
    Surveillant pas bien ses arrières

          Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
          Je veux la paire à mon derrière !
          Être une fille, ça va comme ça !

    Toi le vit que je n’ai jamais eu
    Si tu savais ce que j’ai pu
    Me ramoner en solitaire
    Si tu ne m’avais pas fait défaut
    J’aurais été bien moins nympho
    Juste un don Juan très ordinaire

    Si la vie s’était comportée mieux
    Elle m’aurait procuré un nœud
    En lieu de puits qui fait des flaques
    J’aurais connu dans cet univers
    De phallocrates et de pervers
    Le bon côté de la matraque

          Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
          Je veux la paire à mon derrière !
          Être une fille, ça va comme ça !

    Toi le vit que je n’aurai jamais
    Je suis moins seule d’avoir fait
    Quelques emplettes hier en ligne
    Je t’ai remplacé, tu me pardonnes
    Par un dildo en silicone
    Dont je régale mes copines


    Sur l’air de « Mon frère » (Maxime Leforestier)
    https://www.youtube.com/watch?v=dB5DXulZozU

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  • Les guiboles à Denise

    Catégories : Chanson

    Laisse les guiboles à Denise
    Va pas p’loter l’cul d’Élise
    Sans ça je fais mes valises
    Dès d’main matin

    Reste loin des autres filles
    Même si elles ont les yeux qui brillent
    La plus belle, la plus gentille
    C’est moi, crétin

          Je t’ai bien vu les mater tout à l’heure
          Ta queue frétillait déjà
          Si tu veux me mettre de sale humeur
          Wo-oh ! continue comme ça

    Laisse les guiboles à Denise
    Pas touche aux nichons d’Maryse
    Sinon j’te jure j’pique une crise
    À la maison

    Ne t’approche pas d’mes copines
    T’avise pas d’leur faire des mines
    Ou alors gare à ta pine
    Et tes roustons

          On aurait jamais dû v’nir à cette fête
          Chaque fois on dirait qu’tu mutes
          Tu baves et transpires comme une bête
          Un clebs en rut

    Laisse les guiboles à Denise
    (ad lib.)


    Sur l’air de « Les gondoles à Venise » (Sheila et Ringo)
    https://www.youtube.com/watch?v=jQyjEaoUPvg

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  • J’ai plaqué Rémi

    Catégories : Chanson

    Donne-moi ta chatte et prends la mienne
    Mets tes lèvres là, fais-moi des mimis
    La nuit est à nous, vive les lesbiennes
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

    Laissons de côté tous nos problèmes
    Je suis pas venu pour faire un rami
    J’veux te voir à poil et lécher ta crème
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

    Donne-moi ta chatte et prends la mienne
    Fous-y tous les doigts, sois ma bonne amie
    À bas les machos à la mode ancienne
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

          Je vais sur mes soixante
          J’ai des rides partout
          Et d’la peau d’orange

          T’es guère plus reluisante
          Mais qu’est-ce que ça fout ?
          Viens qu’on se mélange !

    Donne-moi ta chatte et prends la mienne
    Viens me la sucer, vois comme elle frémit
    Mon cul t’appartient quoi qu’il advienne
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

    Fini les turlutes et le jus d’quéquette
    Fini l’enculade et les infamies
    Arrosons la chose en faisant minette
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

    Donne-moi ta chatte et prends la mienne
    Broutons l’une l’autre nos anatomies
    Avant qu’Aurélien ton mari revienne
    Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi

    Donne-moi ta chatte et prends la mienne
    (ad lib.)


    Sur l’air de « L’école est finie » (Sheila)
    https://www.youtube.com/watch?v=sxr7Zpguz5w

     

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  • La dernière fente

    Catégories : Chanson

    Plante le vit, plante
    Comme si tu devais jaillir demain
    Dure au moins jusqu’à minuit, minuit trente
    Plante, oui, plante

    Bourre-moi, laboure
    Comme un voyou, comme un fou, comme un chien
    Comme si c’était ta dernière fente
    Plante, oui, plante

          Tu peux m’le mettre où tu veux
          Tu peux gicler quand tu veux
          Mais pense à ma chagatte
          Il faut qu’tu l’éclates
          Et la mettes à sang à feu
          Alors vas-y !

    Plante le vit, plante
    Comme si tu devais jaillir demain
    Fais-moi reluire à pousser des gueulantes
    Plante, oui, plante

    Pine, ma praline
    Sans oublier mon plaisir, nom d’un chien !
    J’ai l’goût des raz-d’marée, des déferlantes
    Plante, oui, plante

          Et tu verras qu’à la maison
          Je s’rai moins chiante et moins poison
          J’veux perdre la tête
          Crier par la f’nêtre
          Qu’mon chéri me baise à fond
          Alors vas-y !

    Plante le vit, plante
    Comme si tu devais jaillir demain
    Jusqu’au petit matin joue-la plus lente
    Plante, oui, plante


    Sur l’air de « Chante la vie » (Michel Fugain et son gros bazar)
    https://www.youtube.com/watch?v=508UYWk-y6A

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  • Petit écureuil

    Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)

          Petit écureuil
          Viens sur mes genoux
          Que je voie ton œil
          Quand tu entres en nous

          Petit écureuil
          Toi qui fais le fou
          Je le sens ton œil
          Lorsque tu nous fous

    Je sens le panache
    Du gland polisson
    Qui fait cache-cache
    Dans nos calissons

          Petit écureuil etc.

    Je vois ton prépuce
    Qui frotte partout
    Et tes sauts de puce
    Nous piquent beaucoup

          Petit écureuil etc.

    Je sens tes noisettes
    Qui pour nous défier
    Mordent à la touchette
    Nos cons tuméfiés

          Petit écureuil etc.

    Plus haut dans les cimes
    Tu nous fais grimper
    Quand ravie ta lime
    Vient nous ramoner

          Petit écureuil
          Toi qui fais le fou
          Je le sens ton œil
          Lorsque tu nous fous

          Petit écureuil
          Ne fait plus le fou
          Il a fermé l’œil
          Et pleuré en nous

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  • À la pêche aux moules

    Catégories : Chanson

    À la pêche aux moules moules moules
    Je n’veux plus y aller maman
    L’évent de la fille fille fille
    Voulait plus m’lâcher maman
    L’évent de la fille fille fille
    Voulait plus m’lâcher maman

    L’évent de la fille fille fille
    Oh tu verrais ça maman
    Ça t’aspire la quille quille quille
    Et la gobe entièrement
    Ça t’aspire la quille quille quille
    Et la gobe entièrement

    À la pêche aux moules moules moules
    Je n’veux plus y aller maman
    L’évent de la fille fille fille
    C’est un carnassier maman
    L’évent de la fille fille fille
    Au fond ça m’fait chier maman

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  • Dame Câline

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Pentasyllabes (5)

    Vivait une dame Câline
    À la motte de beurre frais
    Se branlant souvent la praline
    Sans cesser pourtant d’engouffrer
    Ce qui l’enivrait
    Les vits vrais de vrais
    L’exquis salami
    De ses bons amis

    Elle épousa monsieur Crampette
    Dont le nœud coiffé d’un beau gland
    Mince et long comme une pipette
    Dégouttait ce fromage blanc
    Ce gloubiboulga
    Cet alcool de gars
    Ce savoureux miel
    Acide essentiel

    Leur fille, une belle gougnotte
    D’âme libre et de cul poupin
    Avait au fond de la culotte
    Un volcan pas pour les copains
    Elle aimait Elvire
    Aude et Déjanire
    Leur tendre abricot
    Au goût tabasco

    Le fluet prince Débandade
    Mollement lui faisait la cour
    Et reluquait en embuscade
    La gouine aux violentes amours
    Son petit oiseau
    Faisait quelques sauts
    Puis se rendormait
    Oisif à jamais

    Fou de rage il envoie sa troupe
    De soudards et de cornichons
    À l’assaut de toutes ces croupes
    Rebondies et ces beaux nichons
    Qu’elles soient violées
    Et roulées-boulées
    À coups de boutoirs
    Au sein du boudoir

    Mais voici que la fée Lesbosse
    Déboulant de l’aéroport
    Saute sur les reitres féroces
    Et illico les change en porcs
    On fit du boudin
    De tous ces gredins
    Et le prince aigri
    S’enfuit en Hongrie

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  • J’ai descendu dans ton jardin

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)

    J’ai descendu dans ton jardin (bis)
    Laper ta rosée du matin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Tirant sur ton slip en satin (bis)
    J’y glissai mon nez libertin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Là juste sous ton poil blondin (bis)
    S’ouvrait un antre incarnadin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Il était si doux, le gredin (bis)
    Qu’un frisson m’ébranla les reins
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Sitôt que j’y goûtai un brin (bis)
    Tu soupiras dans les lointains
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    L’air se remplissait de parfums (bis)
    Aiguisant peu à peu ma faim
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Ah ! je voudrais être un lutin (bis)
    Pour entrer toute en ton connin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Sous mes frôlements, mes patins (bis)
    Tes chairs rendaient des jus divins
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Je m’abreuvai tant et si bien (bis)
    Que tu mordis le traversin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

    Toujours lorsque je suis à jeun (bis)
    J’aime à boulotter ton vagin
          Joli berlingot mesdames
          Joli berlingot tout chaud

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  • J’ai descendu dans mon jardin

    Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)

    J’ai descendu dans mon jardin (bis)
    Pour m’y branler tôt ce matin
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Pour m’y branler tôt ce matin (bis)
    J’avais pas fait trois va-et-vient
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    J’avais pas fait trois va-et-vient (bis)
    Qu’une voix sort de ce mandrin
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Qu’une voix sort de ce mandrin (bis)
    Et me dit trois mots en latin
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Et me dit trois mots en latin (bis)
    Que les hommes bandent moyen
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Que les hommes bandent moyen (bis)
    Et les garçons à peine au point
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Et les garçons à peine au point (bis)
    Laissant les dames en grand besoin
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Laissant les dames en grand besoin (bis)
    Par bonheur il y a des engins
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Par bonheur il y a des engins (bis)
    Tels que moi dans les magasins
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

    Tels que moi dans les magasins (bis)
    Toujours prêts à te faire du bien
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau
          Gentil gode mi-gros mesdames
          Gentil gode mi-gros nouveau

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  • J’ai encore rêvé d’elle

    Catégories : Chanson

    J’ai encore rêvé d’elle
    C’est bête, ça m’a mise en émoi
    Elle n’est pas vraiment grêle
    Tant mieux, elle est faite pour moi
    Dure et boulotte
    Juste pour ma motte

    Je l’ai rêvée si fort
    Que mes draps puent la mouille
    Elle entrait dans mon corps
    Arrimée jusqu’aux couilles

          Si je pouvais me l’appuyer ah pour de vrai
          Si je savais où la trouver
          Donnez-moi l’espoir
          Prêtez-moi un soir
          Une nuit, juste pour elle et moi
          Et demain matin elle jutera

    J’ai encore rêvé d’elle (Je rêve aussi…)
    Me suis branlée six fois (J’ai bien grossi…)
    Elle n’est pas vraiment grêle (Qu’est-ce que tu crois ?)
    Elle est faite pour moi (Quel trou étroit !)
    Raide et piaffante
    Juste pour ma fente

          Si elle pouvait me ramoner au pied levé (Ouvre les cuisses, j’y arrive pas !)
          Si je savais où la trouver (Me sens-tu là ?)
          Donnez-moi l’espoir (Je suis en toi !)
          Prêtez-moi un soir (Prends ça !)
          Une nuit, juste cette pine et moi
          Et demain…

          Enfin je vais me l’envoyer à en meugler (J’attendais qu’ça, moi, tu comprends ?)
          C’est sûr, je vais me faire tringler (Écarte en grand !)
          Donnez-moi un soir (Gobe mon gland !)
          Laissez-moi y croire
          Ce beau zob, juste là en moi
          Et demain… n’existe pas


    Sur l’air de « J’ai encore rêvé d’elle » (Il était une fois)
    https://www.youtube.com/watch?v=jGRaXdT2-58

    Il suffisait de changer quelques mots pour faire de ce tube ultraromantique des années 70 une chanson cochonne. J’ai pas pu résister…

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  • Les gourmandes

    Catégories : Chanson

    Les gourmandes baisent sans gémir
    Empalées sur des manches décents
    Les gourmandes baisent sans gémir
    Les gourmandes, ça n’est pas gémissant

          Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont quinze ans
          Et qu’à quinze ans il faut se faire sauter
          Pour dévorer la vie à pleines dents
          Et puis surtout pour se décapsuler

    C’est ce que leur ont dit leurs parents
    Et le curé qui entre parenthèse
    Se fait sucer souvent au couvent
    Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent

          Les gourmandes, les gourmandes
          Les gou, les gou, les gourmandes

    Les gourmandes baisent sans mollir
    Embrochées sur des manches puissants
    Les gourmandes baisent sans mollir
    Les gourmandes, ça n’est pas mollissant

          Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont trente ans
          Et qu’à trente ans il est bon de montrer
          Que tout va bien, qu’on a toujours le temps
          Quand il s’agit de rouler dans le pré

    Elles font la fierté de leurs parents
    Et du curé qui est devenu obèse
    Mais fout toutes les nonnes au couvent
    Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent

          Les gourmandes, les gourmandes
          Les gou, les gou, les gourmandes

    Les gourmandes baisent sans fléchir
    Perforées par des manches glissants
    Les gourmandes baisent sans fléchir
    Les gourmandes, ça n’est pas fléchissant

          Si elles baisent, c’est qu’elles ont septante ans
          Qu’à septante ans il est bon de montrer
          Que leur baveux demeure impénitent
          Et aime encore à se faire éventrer

    Toutes vêtues de cuir comme leurs parents
    Comme le curé qui porte une prothèse
    XXL pour fourrer au couvent
    Elles aiment ça, et c’est pour ça qu’elles baisent

          Les gourmandes, les gourmandes
          Les gou, les gou, les gourmandes

    Les gourmandes baisent sans reluire
    Taraudées de moins en moins souvent
    Les gourmandes baisent sans reluire
    Vu qu’leur cul n’est plus trop reluisant

          Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont cent ans
          Et qu’à cent ans il est bon de montrer
          Qu’on a le con encore un poil tentant
          Le plus vieux con de toute la contrée

    Avant de rejoindre leurs parents
    Et le curé au ciel de la foutaise
    Elles font un dernier saut au couvent
    Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent

          Les gourmandes, les gourmandes
          Les gou, les gou, les gourmandes
          Les gourmandes, les gourmandes
          Les gou, les gou, les gourmandes
          (ad lib.)


    Sur l’air de « Les Flamandes » (Jacques Brel)
    https://www.youtube.com/watch?v=hoLShUNwPw4

     

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  • Pucelle

    Catégories : Chanson

    C’était au temps où pucelle je rêvais
    C’était au temps de mon premier duvet
    C’était au temps où pucelle je glandais
    C’était au temps où pucelle j’ruisselais

    Jambes à l’équerre on voyait ma cyprine
    Qui dévalait en torrent mes collines
    Jambes à l’équerre on voyait quelques puces
    Se balader sur mon mont de Vénus

          Mes envies bestiales
          De croupion qu’on empale
          F’saient rire Marie-Claire
          F’saient rire Bérengère

          Au plan pur’ment scolaire
          J’étais genre la dernière
          J’me tripotais, je foutais rien
          Prise par mes élans vénériens, oaah !

    C’était au temps où pucelle je traînais
    C’était au temps où m’frisottait l’duvet
    C’était au temps où pucelle je mouillais
    C’était au temps où pucelle j’me branlais

    Déjà j’bavais sur les grosses poitrines
    De Joséphine et Simone mes voisines
    Déjà j’bavais sur le troublant prépuce
    Et les couillons de mon cousin Marius

          Mes envies bestiales
          De croupion qu’on empale
          F’saient rire Marie-Claire
          F’saient rire Bérengère

          Un soir au presbytère
          À l’insu du bon père
          Elles m’avaient sucée toutes les deux
          Juste sous la photo d’Jean Paul II, oaah !

    C’était au temps où pucelle j’écoutais
    Pousser mes seins et les poils d’mon duvet
    C’était au temps où pucelle je r’gardais
    S’enculer des lesbiennes à la télé

    Moi et les filles on jouait les libertines
    En se lançant des œillades assassines
    Moi et filles avec un vieux gibus
    On essayait d’bricoler un phallus

          Et mes envies bestiales
          De croupion qu’on empale
          F’saient rire Marie-Claire
          F’saient rire Bérengère

          On attendait l’grand frère
          Qui nous chauff’rait l’derrière
          J’l’imaginais comme Jean-Pascal
          Avec en plus une bite de ch’val, oaah !

    C’était au temps où pucelle je rêvais
    C’était au temps de mon premier duvet
    C’était au temps où pucelle je glandais
    C’était au temps où pucelle j’ruisselais


    Sur l’air de « Bruxelles » (Jacques Brel)
    https://www.youtube.com/watch?v=mhOYSwVE3bs

     

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  • Quelque chose d’un mec aussi

    Catégories : Chanson, Décasyllabes (10)

    On a toutes quelque chose en nous d’un mec aussi
    Cette volonté de fourrer jour et nuit
    Ce désir fou d’enfiler à l’envi
    Ce rêve en nous mais sans sa queue à lui

    Ainsi vivent les mecs ici
    Le corps en fièvre et s’astiquant le vit
    Dans des Sylvie, des Berthe à l’infini
    Ce rêve en nous c’est du gâteau pour lui
    Quelque chose d’un mec aussi

    Comme une étoile s’enfonçant dans la nuit
    Il jute dans celle qui l’aime à la folie
    Puis file vers un autre vagin séduit
    Sans un seul amour, sans une seule amie
    C’est ça la vie des mecs aussi

    Traîner devant la télé sans souci
    Pour la vaisselle on verra vendredi
    Demandez-lui pas de passer l’aspi
    C’est pas son job, c’est pas son truc à lui
    Le ménage, les gosses et tout ce qui s’ensuit

    Quelque chose d’un mec aussi
    Cette force qui nous pousse à faire pipi
    Toujours plus haut en faisant plein de bruit
    Quand ça dégouline c’est tellement joli
    Quelque chose en nous d’un mec aussi

    Le week-end avec tous ses amis
    Il voit des matchs et s’envoie des demis
    Apporte encore des cacahuètes chérie
    Y a pas à dire elle a un beau châssis
    Mais quelque chose d’un mec aussi

    Puis il règle son compte à la Russie
    Au café du coin, c’est net et précis
    Envoyez les porte-avions, les fusils
    Missiles par-là, démocratie par-ci
    Tu verras qu’ils nous diront merci

    Y a des fois je vous jure où vers minuit
    Quand le gars dans mon lit s’est endormi
    J’ai comme un sentiment, comme une envie
    Ce rêve en nous d’avoir sa queue à lui
    Quelque chose d’un mec aussi
    Y a quelque chose en nous d’un mec aussi
    Oh ! quelque chose d’un mec aussi
    (ad lib.)

    Sur l’air de « Quelque chose de Tennessee » (Johnny Halliday)
    https://www.youtube.com/watch?v=8Sc4Pb7d1Nk

     

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  • Retiens ta jute

    Catégories : Chanson

    Retiens ta jute
    Garde au chaud la pommade féconde
    Retiens ta jute
    Que je me régale une seconde
    Prends-moi plus fort
    Perce mon corps
    Fais-moi sauter comme un cabri
    Que ton labour
    Aller-retour
    Me trombine à pousser des cri-i-is

    Retiens ta jute
    Ta biroute est si dure et si belle
    Retiens ta jute
    Je vais bientôt monter en chandelle
    Que ce gigot
    Rende dingo
    Mon insatiable berlingot
    J’veux la culbute
    Tous azimuts
    Retiens ta jute

          Quand tu t’oublies trop tôt dans mon bel orifice
          Je reste sur ma faim, me doigte en tapinois
          Fous-moi et si demain j’ai mal aux écrevisses
          Je serai la dernière à te casser les noix

    Retiens ta jute
    T’as tout l’temps pour me remplir la bonde
    Retiens ta jute
    Gicle pas ou je dis à tout l’monde
    Que t’as lâché
    Ta p’tite bordée
    Avant que j’aie grimpé au lustre
    Et que c’est pas
    La première fois
    C’t histoire-là dure depuis des lu-u-ustres oh oh

    Retiens ta jute
    Pas question cette fois que tu débandes
    Retiens ta jute
    Que je danse enfin la sarabande
    Troue mon conduit
    Toute la nuit
    Si besoin je remets de l’enduit
    J’veux la culbute
    Sans parachute
    Retiens ta jute
    Oh j’veux la culbute
    Sans parachute
    Retiens ta jute


    Sur l’air de « Retiens la nuit » (Johnny Halliday)
    https://www.youtube.com/watch?v=0paUMNed8t4

     

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