Je suis la vierge pute
Celle aux mille clients
L’ingénue se pliant
Aux lois de la culbute
Sautée sans parachute
Ange ou démon
Bout de limon
Pourvu que l’on préserve
La peau de mon hymen
À tout je dis amen
Couchée soumise serve
Sous vos vits qui m’innervent
Ange ou démon
Pas de sermon
Menue je m’ouvre grande
Pour qui veut fourrager
Ces reins à peine âgés
Dont je porte l’offrande
Que tant de vous pourfendent
Ange ou démon
Chair à canon
Qu’on me branle la butte
Glabre de bleue Vénus
En bouche ou dans l’anus
Vos queues m’électrocutent
Je suis la vierge pute
Anges ? démons ?
Qu’importe : aimons !
Ton pantoum dans mon haïku - Page 5
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Ange ou démon
Catégories : Hexasyllabes (6), Quadrisyllabes (4) -
Le miel et l’ambroisie (4ᵉ et dernier épisode)
Catégories : Jocelyn WitzRésumons-nous :
Le foutre humain est bon.
Le foutre est même excellent pour la santé.
Le foutre sera la vin de messe de la prochaine religion mondiale.
D’ailleurs, le foutre engendre de nouveaux êtres, c’est prouvé scientifiquement.
Mais le foutre (à tout le moins celui de Michel, notre héros) confère de surcroît sagesse, intelligence, savoir suprême, créativité, génie… et en ces temps d’Octobre Rose, quoi de plus utile ?
La fin tant attendue ici.
À moins que vous ne préfériez (re)lire ma petite histoire depuis le début.
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Des hommes à boire
Catégories : Heptasyllabes (7), Poèmes lus ou chantésPas une nuit sans purée
Suc giclant du bout du vit
Ce jus-là me garde en vie
Pour en avoir je tuerais
Pas un jour sans une pipe
Je pourrais pas supporter
Qu’un mec passe à ma portée
Sans que je le braque au slip
Pas un matin sans mon beurre
Ma crème de bukkake
Une journée attaquée
D’un pompier me fait pas peur
Je tourne à sept ou huit jutes
Quotidiennes parfois dix
Les épouses me maudissent
Mais tant pis je leur dis zut
Picolez hommes à boire !
Et consommez du fenouil
Afin qu’abonde à vos nouilles
Le foutre de mes espoirs
Que jamais la pénurie
Ne frappe vos appareils
Ces géni(t)ales bouteilles
Où le bon lolo mûrit
Pas une nuit sans purée
Sans que jaillisse le brut
Dedans ma gueule à turlute
D’appétits démesurésVersion chantée par Fabrice Millot, mon interprète officiel :
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Dernier sabbat
Catégories : Octosyllabes (8)Sept sorcières se sont pendues
À ton cou pour faire avec toi
Les choses viles défendues
Par tous les docteurs de la foi
L’une te prenant la main gauche
Quand vous fûtes déshabillés
La plongea droit dans la débauche
De son ventre déjà mouillé
Une autre à la lèvre vermeille
Caressante te chuchota
Mille obscénités à l’oreille
Dont en sus elle s’excita
Une troisième happant tes couilles
Qu’elle roulait entre ses dents
Avait la gorge qui gargouille
Et gémissait en se tordant
Sept sorcières se sont pendues
À ton vit de puissant démon
Ô délices tant attendues
Ô stupre ô luxure sans nom
La quatrième ouvrit les cuisses
Sur ta bouche et te laissa choir
Ses jus mêlés de jets de pisse
En te tenant haut le crachoir
Une autre encor lécha gourmande
D’entre tes fesses l’œillet nain
Puis devançant toute demande
T’encula du gras de la main
On vit alors les deux dernières
Se battre à qui va s’empaler
Sur ton nœud dur comme une pierre
Plus raide qu’un manche à balai
Sept sorcières se sont pendues
D’amour pour toi bel effronté
Leurs langues aux vierges vendues
Continuent de tout raconter -
Comme avec une femme
Catégories : Hexasyllabes (6)Je mordrai la poussière
De notre été de baise
Rallumant les hiers
Dont dans ma carnassière
Je t’ai ravi les braises
Tu peux foutre le camp
Je garde entre mes joues
Ton regard provocant
Tes seins de miel fringant
Le goût de tes bijoux
Longtemps je rongerai
Nos souvenirs de flamme
Et m’y consumerai
Par friction sans arrêt
Comme avec une femme
Tu peux me laisser choir
Au seuil de ton automne
J’ai planté les mâchoires
Quand tu venais t’asseoir
Et j’ai raflé la donne
Tout au fond des ornières
De feu tracées ensemble
Je traîne nos hiers
À mordre la poussière
Elle au moins te ressemble -
Le ciel pour amant
Catégories : Octosyllabes (8)Ô Everest, K2, Mont Blanc !
Quel grimpeur mâle et sans cervelle
Nia que vous fûtes demoiselles
En dépit de vos amples flancs ?
Quel idiot, quelle aveugle poire,
Dans les charmes tout de nana
De l’orgueilleuse Annapurna
Vit un birbe casqué d’ivoire ?
Parlez-moi de la Jungfrau,
Pucelle à la gorge de givre !
Un jour je me roulerai ivre
Et toute nue, seule là-haut.
Froides, Alpes et Pyrénées,
Frappant les humains de stupeur,
Dressent haut le pic sans pudeur
De leurs mamelles satinées.
Ailleurs, la Kilimandjaro
Offre des rondeurs si lubriques
Qu’à la voir les messieurs d’Afrique
Ont le sang qui monte au barreau.
Il n’est pas la moindre montagne
Qui ne soit femme, évidemment ;
Elles ont le ciel pour amant
Et les étoiles pour compagnes.
Quant au minuscule piolet
Viril que plante un mammifère,
Elles en rient, le laissent faire
Qui s’imagine les violer… -
Périple
Catégories : Décasyllabes (10)Le tour de Raymonde en quatre-vingts jours
Et quatre-vingts nuits de baisers sauvages
Caressant sa chair ample je voyage
Sans quitter le canapé du séjour
Le tour de Raymonde épouse d’un jules
Qui la juge obèse ô le malappris
Digne à peine de lécher le nombril
De ma Vénus ronde un globe une bulle
Le tour de Raymonde en quatre-vingts coups
De langue à son ventre au goût d’Amériques
Nous connaîtrons des spasmes telluriques
Le jour où j’irai me pendre à son cou
Car j’arpenterai tous ses paysages
Dans l’aube infinie du rose abat-jour
Parcourant Raymonde en quatre-vingts jours
Et quatre-vingts nuits de baise sauvage -
Maraboutée
Catégories : Octosyllabes (8)J’aime une fille un peu beaucoup
Elle maligne elle en profite
Et sa langue m’envoûtant vite
Pointe et me baise à tous les coups
J’aime une fille un peu beaucoup
J’aime une fille à la folie
Plus chaude encor que Madonna
Elle me tient, je m’adonne à
Sa loi de miel, moi l’aveulie
J’aime une fille à la folie
J’aime une fille avec passion
Qui me lisse si bien la fente
Que j’en crie, pleurante, impuissante
Le cœur saignant sa reddition
J’aime une fille avec passion
J’aime une fille… oh ! mais sans doute
Est-ce mon giron qui l’attend
Et la désire à chaque instant
Moi je veux fuir, je la redoute
Cette nana me maraboute -
Le miel et l’ambroisie (début de la fin)
Catégories : Jocelyn WitzUn troisième épisode plein de tensions !
de positions qui se durcissent !
de situations qui partent en sucette !
... et ce en dépit des louables efforts de notre héros (et néanmoins narrateur) pour conserver un minimum de dignité et de libre arbitre.
Ah ! que les femmes sont parfois têtues…
... quand ce n’est pas la pure gourmandise qui les habite.
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Tais-toi !
Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)Je ne veux rien savoir de tes autres amantes,
De leur beauté ni de leur nom
Ni des choses qu’avec elles tu fais — ah ! non,
Ne me dis rien : j’aime encor mieux que tu me mentes,
J’aime encor mieux rêver que tu travailles trop,
Trouver un sens à tes absences,
Imaginer ton corps tout seul dans le silence
D’un autre univers ou d’un wagon de métro,
Mais pas en compagnie de ces garces lubriques
Rôdant sempiternellement
Dans la nuit agité de mes vrais sentiments…
Tais-toi ! Qu’importe ce qu’hors d’ici tu fabriques,
Tant que tu reviens me foutre, entre les miroirs,
La chair et le cœur en lumière ;
Tant que tu n’oublies pas que je fus la première,
De tes autres putains je ne veux rien savoir. -
Pour terminer
Catégories : Octosyllabes (8)Viens-t’en dans ma bouche de nacre
Avide du viandu de toi
Que mon palais te soit le toit
L’autel écru qui te consacre
Viens sur mes seins durs affolés
De te pomper l’air et l’humide
Rien de ma gorge n’intimide
Ces laits viens laisse-les couler
Viens sur le khôl de mes paupières
Les clouant du joint de ta glu
Afin qu’après toi jamais plus
Je ne visse cheville entière
Viens-t’en sur mon ventre amoureux
Vise aux gonds des entrées secrètes
Abreuve-les et les cachète
Scellant toute autre issue pour eux
Viens au détroit d’entre mes fesses
Noir fiancé d’épicées sueurs
Rouleau déferlant aux rousseurs
De mes plus coupables ivresses
De ces chairs dont tu fis le plein
Via ton émetteur multibande
Il n’est nul recoin qui n’étende
Un lit pour son fleuve opalin
Viens entre mes mains que j’ai peintes
De tous nos stupres parfumés
Viens où tu veux pour terminer
Pousse ô ta tant espérée pinte -
Les décadents
Catégories : Heptasyllabes (7)Nous régressons toi Tarzan
Moi Cheeta dans un présent
Aux valeurs hollywoodiennes
Peuplé de rats et de hyènes
On dégringole attention
À la désévolution
Nous entrons dans le royaume
Où à tous les coups l’on paume
Il est minuit moins le quart
Au trou du cul de l’Histoire
On plonge avec allégresse
Dans les déchets et la graisse
Nous devenons des babys
Des damnés du haut débit
Se likant les dinosaures
Sans filet s’entredévorent
On crève à la queue leu leu
Et les câbles font des nœuds
Jusque dans la stratosphère
Mais ça c’est pas nos affaires
Nous voilà tout cons tout nus
Le Très-Haut nous a bien eus
Et plus d’une Ève grelotte
Cherchant partout sa culotte
On brade l’homme il est temps
De singer l’orang-outan
Au bout du compte on parie
Sur demain la barbarie
Nous filons vers l’impensé
Faudrait tout recommencer
Suivre et remonter la trace
Des bonobos dans l’impasse
Nous régressons toi Adam
Moi Jane les décadents
Nous fondons sur l’origine
Ô monades androgynes... -
Les couteaux dedans l’appelaient
Catégories : Octosyllabes (8), Terza rimaApproche et regarde-nous jouer,
Lui les couteaux, moi les blessures
Moi les cris, lui les coups de fouet
Vois ce que jamais ne perçurent
Les lents rêves adolescents
Qui t’habitent, ça j’en suis sûre
Vois comme le vit caressant
Mon ventre au pourpre d’ecchymose
Entre et ressort, monte et descend
Vois, contemple là si tu l’oses
L’obélisque qui disparaît
Tout au fond et me laisse éclose
Vois-le pilonnant sans arrêt
Sans répit, sans frein mes entrailles
D’un amour dur et fort et vrai
Vois et pardonne si je braille
Si je te semble trop rugir
Lorsque le plaisir me tenaille
Vois, vois sans cesse et sans rougir
Et sors donc la queue que tu caches
En vain, je te la ferai jouir
Vois combien mes lèvres s’attachent
À vos deux membres si dévoués
Baisant ma pulpe multitâche
Vous me voyez brûlante à souhait
Vous les couteaux, moi la blessure
Ouverte sous vos coups de fouet -
Anus mirabilis
Catégories : Hexasyllabes (6)Je te salue, Sphincter,
Noir seigneur des anneaux,
Curé du presbytère
De nos plaisirs anaux.
Dénoue-le, ton lacet,
Mais sans l’ouvrir trop grand,
Qu’on sente bien passer
L’âpre épaisseur des glands.
Ô toi, source des pets,
Anus mirabilis
Que les porteurs d’épée
Forent avec délices !
Toi, gorge de Sodome
Où (Ultima Thulé !)
Deviennent égaux l’homme
Et la femme enculés !
Est-il sot que ta buse
Ne se limite qu’à
Lâcher, telle une écluse,
D’imbéciles cacas !
Je te salue, Sphincter,
Toi qui, par l’Éternel,
Fut conçu au contraire
Pour qu’on te dépucèle. -
Nus sous la lune
Catégories : Octosyllabes (8)Comme le tigre fend la biche
D’un coup d’ongle tu me refends
Avant toi je n’étais qu’enfant
Je faisais l’amour comme on triche
À des cohortes d’éléphants
Comme le jour perce et embrase
En déchirant les horizons
M’ouvrant jusqu’à la déraison
Tu jaillis tout d’amour sans phrase
Dans mon corps aux mortes saisons
Le mâle a trouvé sa femelle
Tu vois : mon ventre s’agrandit
Et fond tout le sucre candy
Vin fou de nos ardeurs jumelles
Que tu lapes lapes bandit
Comme la mer happant les dunes
Je m’enfle et me tords méchamment
Balayant les vieux sentiments
Nous danserons nus sous la lune
Comme la mante et son amant -
Le miel et l’ambroisie (suite du début)
Catégories : Jocelyn WitzSouvenez-vous : la semaine dernière, en une sorte de happy though temporary end, nous avions laissé notre héros pipophile habité par le sentiment « euphorique » d’avoir remporté « une grande victoire » sur les opiniâtres résistances antifellatoires de son épouse (peu douée, il est vrai, pour taquiner le pinceau…).
Hélas ! les trois chapitres suivants, désormais accessibles via le lien ci-dessous, amèneront Michel à reconnaître qu’il y a victoire et victoire, et qu’on peut parfois se mordre les doigts d’avoir trop bien triomphé…
https://www.atramenta.net/lire/le-miel-et-lambroisie/97977/4#oeuvre_page
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Pétales
Catégories : Hexasyllabes (6)Bien bâtis et brutaux
Nos amants nous décalquent
Nul n’huile ni ne talque
Nos cons ou nos clitos
Jamais de baisers tendres
On sait à quoi s’attendre
À la chienne ou frontal
Nos chéris nous défoncent
Aucune n’y renonce
Besoin fondamental
Elle et moi identiques
Sous le joug de la trique
Après on se rejoint
En pleurs on se raconte
Comme on a trop la honte
Comme on revient de loin
On se montre nos chattes
Tuméfiées écarlates
À renfort de mimis
Bien à l’abri des bites
On promet qu’on les quitte
Dès demain c’est fini
Et puis on recommence
Ça n’a pas d’importance
On devient des sextoys
Joujoux poupées sur pattes
Nos julots nous éclatent
Nous kill et nous destroy
Elle et moi ô pétales
D’envie fondamentale -
En éruption
Catégories : Octosyllabes (8)Ton ventre ouvrait un vrai Vésuve
Qui déversait à pleine cuve
Force laves rougies de sang
Te ruisselant le long des flancs
Deux te foutaient, d’autres derrière
Voulaient refoutre tes cratères
On t’avait pendue par les pieds
Telle la truie chez le tripier
Mains ligotées en camisole
Cheveux répandus sur le sol
Cuisses livrées en grand écart
Tu n’étais plus très belle à voir
Le stick avait laissé des traces
Sur ta peau douce, et tes crevasses
Vomissaient des miellats roussins
Te coulant jusqu’entre les seins
Mais tu kiffais la barbarie
De n’être que pute équarrie
Viande à niquer jusqu’à plus faim
Trou puant de mille parfums
Il suffisait que l’on t’effleure
Le clito pour que tes yeux pleurent
Que tes dents mordent le bâillon
Que ta chair bave en éruption
Ton ventre ouvrait des précipices
Sans fond de cyprine et de pisse
Où donnait lieu chaque orgasme à
Des giclées de brûlant magma
Au bout de cette nuit farouche
Tu pus ramper jusqu’à ta couche
Lorsqu’ils te l’ont enfin permis
Chaud volcan aux multiples bouches
Fille de joie de tes amis -
La seule caresse
Catégories : Hexasyllabes (6)Suck it bébé suck it
Tète ma chatte et mon clit
C’est là la seule caresse
Rien d’autre m’intéresse
Suck it encore plus vite
C’est mon crack c’est mon shit
Je plane quand on me lèche
Carnier percé de flèches
Tu peux ranger ta bite
Les tringleurs je les quitte
Kiffant juste les braves
Prêts à m’emplir de bave
Suck ô suck it and spit
Si les mecs sont en kit
Je prendrai que leur bouche
Pour que mon con les mouche
J’aurais voulu Brad Pitt
Pour me faire un back seat
Et que me lape en chienne
Sa langue hollywoodienne
N’empêche hein tu débites
Tu frôles bébé le hit
T’as l’art t’as l’endurance
Je gicle et fais bombance
Suck it oh oui suck it
Tète ma chatte et mon clit
C’est là la seule caresse
Rien d’autre m’intéresse -
Une odeur de convoitise
Catégories : Heptasyllabes (7)Une odeur de femmes nues
Se répand : je suis venue
Suivie de ma jeune sœur ;
Fais-lui vivre en connaisseur
Les fêtes d’elle inconnues.
Son ventre encore est fermé,
Comme à peine terminé ;
Vois toi-même, je te l’ouvre ;
Fais en sorte qu’elle éprouve
Les joies que l’amour permet.
Te l’avais-je pas promise ?
La voici, rouge, conquise
D’avance à ta mâle ardeur ;
Il flotte une bonne odeur
De fille et de convoitise.
Je lui ai dit tant de toi,
De ta langue, de tes doigts
Et de leur exquise adresse ;
Perce ce blanc corps qu’oppresse
Des désirs lents et sournois.
Caressant sa chevelure
À tresses, je la rassure
Levant haut, quand tu la fends,
Cette cuisse encore enfant
Qui frémit sous la blessure.
Son plaisir est beau à voir ;
Tu lui remplis le nichoir
De ta force satinée ;
Une odeur de femme aimée
Se répand dans le boudoir...