L’excellent Hubert-Félix Thiéfaine se demandait jadis si c’était de l’amour, de l’art ou du cochon.
Pourquoi pas les trois à la fois ?
https://www.atramenta.net/lire/lexpertise/99878
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L’excellent Hubert-Félix Thiéfaine se demandait jadis si c’était de l’amour, de l’art ou du cochon.
Pourquoi pas les trois à la fois ?
https://www.atramenta.net/lire/lexpertise/99878
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Dix poèmes sur les seins
fleurons de nos corps sages
temples d’ivresse à deux doigts du cœur
oasis de l’infiniment doux
de l’exquisément chaud
du tendre
délicieux poufs
Édens de poche
poches à rêver
rêves de soie et de moiteur
coffres aux trésors
d’où coule le lait de toute poésie...
Dix poèmes sur les seins dont la moitié sont inédits
https://www.atramenta.net/lire/nique-mammaire/99631
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Dans ce troisième et dernier volet, bien entendu, on discute encore et toujours d’écriture, et en particulier d’écriture pornérotique, mais aussi des tabous, de la censure, des barbus, des mutations sociosexologiques, du genre, des trans, des clubs échangistes, de la drague, de Dieu (sans rire), de la vie après la mort (et inversement), des fantasmes cochons, de la liberté, de moi (le moins possible) et ainsi de suite.
Sans me vanter, je crois qu’on a fait le tour de pas mal de problèmes et résolu grosso modo l’ensemble des difficultés qu’affronte actuellement l’Humanité.
Non, ne me remerciez pas... remerciez Théo !
https://plume-interdite.com/entretien-avec-jocelyn-witz-3-3/
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Un psy amer et insatisfait de sa carrière
Une épouse inquiète
Une collègue amoureuse
Un adolescent pétri d’angoisses
Un appareil révolutionnaire
Pas de raton laveur dans cette histoire, non, désolée
(D’ailleurs j’aime pas Prévert)
Pas de cul, non plus
(Merde...)
En revanche, tout un tas de créatures échappées de l’enfer
Un brin d'humour
(Toujours !)
Et une araignée...
https://www.atramenta.net/lire/lhomme-qui-avait-peur-des-femmes/99049
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Tout, tout, TOUT !
Fini de tourner autour du pot. Dans cette 2e partie de l’entretien, je passe à table : vous saurez tout sur...
À se demander s’il me restera des trucs à dire à Théo la semaine prochaine.
Enfin, on verra bien...
https://plume-interdite.com/entretien-avec-jocelyn-witz-2-3/
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« Lui » est un pronom clitique. Sans rire : https://fr.wiktionary.org/wiki/lui#Français. Et ça tombe bien ! J’ai toujours considéré qu’à l’instar du clito, la seule raison d’être des hommes consistait à nous faire reluire.
« Lui » est également un pronom tonique, celui de la 3e personne du singulier masculin. Nul hasard, là encore, puisque les personnages masculins de cette nouvelle histoire de cul s’avèrent tous toniques et singuliers au possible.
Alors, lui, lui ou lui ?
J’hésite.
Non, celui que je préfère, c’est quand même... lui !
https://www.atramenta.net/lire/lui/99709
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Sur son blog Plume interdite, je réponds aux questions de Théo Kosma, auteur lui-même et auto-éditeur, relatives essentiellement à l’écriture de textes érotiques.
Théo n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’on me retrouve en (excellente) compagnie d’une foule d’autres auteurs et autrices œuvrant dans le même champ littéraire, de Chocolat Cannelle à Blanche de Saint-Cyr en passant par Françoise Rey, Zeppo, etc.
Le site regorge aussi des propres nouvelles coquines de Théo, à lire en ligne ou à télécharger.
Pour l’entretien c’est ici : https://plume-interdite.com/entretien-avec-jocelyn-witz-1-3/
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Un poème par jour, des histoires à gogo... sans me vanter, je me prenais pour une nana super féconde.
Mais alors elle !!
Ce qui me console, c’est qu’il faut l’aider à pondre. Toute seule elle est perdue.
Enfin, vous verrez bien en lisant ma nouvelle histoire de SF cochonne en lecture libre :
https://www.atramenta.net/lire/fecondation/99565
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Sacré Bertie !
Voilà un homme qui n’hésite pas à se mettre en quatre (et même davantage) pour parvenir à ses fins, à savoir attirer dans son lit la ravissante autant que plantureuse Tix, sa collègue en technichiennerie de surface (progrès chiantifique oblige, c’est comme ça qu’on appelle désormais le fait de passer un coup de balai).
Évidemment, tout va foirer (sans ça, il n’y aurait pas d’histoire).
Notre don Juan du jour pensait pourtant avoir la Science de son côté. Hélas ! cette salope majuscule n’en fait qu’à sa tête.
https://www.atramenta.net/lire/une-soiree-en-tete-a-tete/98839
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Ç’aurait pu s’appeler « Treize garçons et une déesse ».
Car ils sont treize, en effet. Treize étalons sélectionnés pour leur beauté, leur fougue, leur puissance sexuelle.
Tous fous d’amour pour Madame Yacina.
À ses petons dès le saut du lit.
Obéissants, si vous saviez !
Soumis comme on ne l’est que dans les récits SM (et encore).
Treize garçons ne rêvant que d’elle, ne jurant que par elle.
Prêts vingt-quatre heures sur vingt-quatre à satisfaire illico presto ses moindres (et ses plus cochons) caprices.
Au point — hélas ! — d’en oublier parfois l’indispensable esprit d’équipe.
Bizarre, ça : vous mettez treize types ensemble, il faut toujours qu’il y ait un traître au milieu...
C’est ma nouvelle petite histoire en lecture libre ici :
https://www.atramenta.net/lire/rosee-du-matin/98960
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Sortez les kleenex !!!
... mais non, pas pour essuyer votre machin dégoulinant de foutre,
bande de porcs pervers !
Ou alors une autre fois.
Aujourd’hui je me vautre dans le triste...
... le romantique...
... limite le dépressif.
Veuves, oubliées, méprisées, déchues,
rejetées au profit d’une rivale sans doute infiniment plus salope,
c’est de nanas en souffrance dont à propos desquelles il s’agit.
Dix poèmes (dont quelques inédits),
dix voix de femmes pleurant leur amant perdu...
... ce porc pervers, oui...
... au machin dégoulinant de foutre...
... mais bon...
... les filles c’est comme ça, OK ?
Alors pouët-pouët camembert.
https://www.atramenta.net/lire/femmes-delaissees/99108
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Meuh non, elle est pas morte, Odile ! Les filles, c’est costaud.
Et voici qu’entre (enfin) en scène sa jumelle et antithèse Élodie.
Gare à çui qui voudrait faire du mal (ou même du bien) à sa sœurette !
Baston et orgasmes à gogo ici :
https://www.atramenta.net/lire/projet-srm/99202/5#oeuvre_page
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Elles se ressemblent tellement que je ne saurais vous dire laquelle on voit sur la photo...
Élodie la délurée, la baiseuse impénitente ?
Sa sœur jumelle Odile, plus sage, craintive, réservée... ou qui se croit telle ?
En tout cas, vous les avez rencontrées là : Toute à moi
Mais voici aujourd’hui, en lecture libre et en deux épisodes, une autre de leurs aventures gémello-sadomaso-érotico-poilantes.
Vous verrez comme ces deux nanas connaissent la musique !
https://www.atramenta.net/lire/projet-srm/99202
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On le voit, le poème volcanique écrit avec Velvet Kiss a, une fois de plus, bien inspiré Alain Cabello-Mosnier. Quoi de plus logique puisqu’il se définit lui-même comme un « être profondément sauvage » en quête de sublime et de « pureté des passions »...
Alain est en train de réaliser à partir de mes textes un album complet intitulé « Gouine e-motions ». N'hésitez pas à vous abonner à son canal YouTube afin d'être informés de la mise en ligne des prochains clips : https://www.youtube.com/@Chansons-LGBT
Bises et gratitude infinie pour lui.
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Courte histoire dérivée en quelque sorte du poème d’hier...
Je m’inspire oh je m’inspire
Des récits de sexe pire
Je me souffle vent en poupe
De fictions farcies de croupes
Vite et sans frein je m’incite
À forcer sur l’explicite...
En lecture libre ici :
https://www.atramenta.net/lire/deux-minutes-quarante-de-bonheur/98894
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Vive le progrès !
Même la mort devient une simple formalité administrative, une case à cocher au bas du formulaire en démat’ d’un contrat d’entretien.
Et comme on n’est jamais si bien servi que par soi-même, on aura soin de rendre en personne un dernier hommage à sa propre dépouille. Moment gai et convivial... à condition toutefois de prendre certaines précautions.
C’est ma dernière petite histoire en lecture libre :
https://www.atramenta.net/lire/jirai-cracher-sur-ma-tombe/99422
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Nouveau ! Si vous préférez une version audio, l'histoire est lue ici par Alain le Sténanais :
https://vivranans.info/2025/04/j-irai-cracher-sur-ma-tombe-1.html
J’écume de rage, de solitude, de désespoir, d’ennui
de ne pas retrouver l’envie perdue
l’âme sœur peut-être
ni le jour ni la nuit
puis voilà toi, la môme, la drôle de fille
Tout le temps j’écume
je bulle dans les bals, les bars, les halls de gare
les salles de cours, les séminaires
même des endroits qui n’existent pas peut-être
J’écume la crème des mondes possibles
le gratin du réel
en quête d’une terre un peu moins plate
d’enclaves privées où l’on ne se prive de rien, où l’on s’éclate
sortant la tête pour enfin vivre peut-être
insensée je m’entête à chercher la fête des sens
qui sait ? l’enfance
j’écluse des bières en attendant
Si seulement je pouvais disparaître sous la mousse
moi et mes rêves et mes peut-être
ne plus me réveiller
mais voilà toi, qui brille, virevolte et m’émoustille
Sauvage et fatiguée j’écume
et personne ne m’entend
je signe chaque soir un pacte avec le néant
toute seule je me raconte des histoires d’amour éculées
nettoie sans fin mes écuries
m’enferme dans des placards
rame, rame, rame, brame, trame des scénarios douteux
un gramme par litre et je roule à travers mes délires d’océan
juste dans l’espoir d’apercevoir une plage
d’autres rivages de l’existence
je m’échoue sans cesse en attendant
Puis voilà toi, qui pétille
voilà toi, libellule
drôle de fille qui crève ma bulle d’un coup aile
me bouscule, me stimule
tout part en vrille
et voilà nous…
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L’ultime chapitre vous attend :
https://www.atramenta.net/lire/lecume-de-nos-nuits/99205/3#oeuvre_page
♥ ♥ ♥
Posté jeudi, mis en musique et en images dimanche : mon compère poète Alain a visiblement flashé sur ce texte, et bien entendu je l’en remercie une fois de plus. De surcroît, si pour moi il s’agissait d’un poème parmi le flot que je diffuse quotidiennement, sa réactivité et son travail étonnant ont attiré mon attention et m’ont poussée à revenir un instant sur ces quelques vers. C’est pourquoi j’aimerais ici, contrairement à mes habitudes, vous livrer un certain nombre d’éléments qui ont présidé à son écriture.
Au plan formel, il est formé de quatre strophes identiques composées chacune de quatre octosyllabes et d’un quadrisyllabe final qui constitue le refrain.
Mon point de départ était précisément ce refrain : « Endors-toi donc ». Par conséquent, j’ai cherché des rimes en « don » : gardons, pardon, don, bidon. Au passage, signalons que j’essaie toujours de varier la catégorie lexicale de mes rimes. Rimer deux adjectifs entre eux (ex. : navré, délivré) me semble trop facile. Ici, nous avons un verbe, deux noms et un adjectif.
Pour alterner avec cette rime sourde et masculine en « don », j’ai choisi des rimes féminines tout aussi nasales (cette nasalité crée une sorte de ronflement qui s’accorde bien avec le sujet) mais plus amples et sonores : -ontre, -emble, -ense, -entre. Par ailleurs, partout dans le poème, les sons « ronflants » prédominent : chérie, chair, éternité, notre rencontre, rêve, étreinte, tirer l’or, etc., etc.
Comme souvent, j’ai éliminé au maximum les « e » muets à l’intérieur du vers, ce qui à mon avis améliore la fluidité des poèmes.
Voilà pour la sonorité. Sur le plan du sens, rien de compliqué à saisir. Au contraire, les termes employés sont des mots de tous les jours. De plus, chaque strophe est semée de notions fortes, cardinales, essentielles : vie, éternité, or, substance, amour, ensemble, baisers, désir, etc., qui soulignent de façon diffuse le caractère authentique de cet amour. Baudelaire, entre autres, utilisait beaucoup cette combinaison de notions essentielles et de musicalité.
La chute, avec ce « moi » au lieu du « toi » des refrains précédents, signifie bien sûr la réciprocité de l’amour. Quant à l’antre du vers précédent, il est à la fois un refuge contre tout le reste (ce qui est bidon, le monde extérieur) et le symbole de la passion dévorante unissant ces deux femmes.
♥ ♥ ♥
Frappée, rouée de coups, je l’ai toujours été
Par cette chienne de vie, gavée de cruauté.
Sanglée, la chaîne au cou, peu importe où j’allais
Mettre fin à ma vie, voilà ce qu’il fallait.
Mais elle est apparue, fière et resplendissante
Tel un ange déchu perdu dans la tourmente.
Jamais je n’aurais cru que l’amour existait
Qu’il vous tombe dessus, sans même que l’on soit prêt.
Car si du « je » au « nous », il n’y a qu’un seul pas
Mourront, seuls, à genoux, ceux qui ne le font pas.
—-
Le chapitre 2 est désormais en ligne :
https://www.atramenta.net/lire/lecume-de-nos-nuits/99205/2#oeuvre_page
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