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Ton pantoum dans mon haïku - Page 10

  • Lui

    Catégories : Jocelyn Witz

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    « Lui » est un pronom clitique. Sans rire : https://fr.wiktionary.org/wiki/lui#Français. Et ça tombe bien ! J’ai toujours considéré qu’à l’instar du clito, la seule raison d’être des hommes consistait à nous faire reluire.

    « Lui » est également un pronom tonique, celui de la 3e personne du singulier masculin. Nul hasard, là encore, puisque les personnages masculins de cette nouvelle histoire de cul s’avèrent tous toniques et singuliers au possible.

    Alors, lui, lui ou lui ?

    J’hésite.

    Non, celui que je préfère, c’est quand même... lui !

    https://www.atramenta.net/lire/lui/99709

     

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  • À nos plaisirs lointains

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Souviens-toi de nos face-à-face
    Quand ensemble on s’accroupissait
    Pour mieux se regarder pisser
    Et se déployer la crevasse

    Souviens-toi de nos nudités
    S’étudiant l’une l’autre en nage
    Et des mots jetés au visage
    Pour en goûter la crudité

    Souviens-toi de ces imbéciles
    Dont pas un ne nous attirait
    On croyait qu’on réussirait
    L’amour sans leur foutu missile

    Souviens-toi comme on s’agaçait
    Avec nos doigts ivres la fente
    Tapies là qu’il pleuve ou qu’il vente
    On n’en avait jamais assez

    Ne nie pas je sais que tu penses
    Aussi à ces plaisirs lointains
    Comme moi devenue putain
    Tu te souviens de notre enfance

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  • Larme de ton corps

    Catégories : Décasyllabes (10), Pentasyllabes (5)

    Vivante tu m’as si tant épousée
    Qu’au dernier soir ô baise-moi encor
    En jutant sur ma tombe la rosée
          Larme de ton corps

    Vivante tu te l’es si bien branlée
    Dans mes pétales mes soies mes chaleurs
    Que tu reviendras foutre souvent les
          Couronnes de fleurs

    Vivante tu me couvris de caresses
    Toujours suivies du spasme vaginal
    Pine une autre ô prends-la couchant ses fesses
          Sur ce roc tombal

    Vivante tu multipliais les verges
    Reste raide et chauds souvenirs croissez
    Tu draperas autour de belles vierges
          Mon linceul froissé

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  • L’interface

    Catégories : Octosyllabes (8)

    C’est moi le moyeu, moi le hub,
    Le multiconnecteur femelle
    Où, le soir s’arrimant, s’emmêlent
    Dans la rivalité les teubs.

    Terrain d’entente ou interface,
    Suffit que je m’ouvre pour que,
    Branchant les membres et les queues,
    Leurs querelles je les efface.

    C’est moi le court, moi le fight-club
    Où les plus chauds matchs se disputent ;
    Pas de perdants dans la culbute :
    Chacun se sert, pareil qu’au pub.

    Faites-moi l’amour, pas la guerre
    À moi, le contact, ô, si sub !
    Forcez la douille avec vos teubs !
    Les jaloux sont des gens vulgaires.

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  • Alcools cachés

    Catégories : Pentasyllabes (5)

    Clair foutre des filles
    Sainte eau de plaisir
    Larmes à saisir
    Lorsque les cons brillent
    Lise Anne Juju
    Servez-moi vos jus !

    Fontaines mouillées
    Sève en fleuve lent
    Chaleurs écoulant
    Sitôt chatouillées
    Marianna Sofia
    Versez vos tafias !

    Nue là je salive
    Écume à lécher
    Les alcools cachés
    Les huiles d’Olive
    Paule ou Erika
    Ardentes vodkas !

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  • Tant de désirs

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Si gros, si gros qu’il me fissure !
    J’ai mal, et pourtant je voulais
    Qu’il s’enfonçât tel un boulet,
    Me fulminant les commissures...
    Tant de désirs non refoulés !

    Si long, si long que ça m’empale
    Toute, et je vais mourir ainsi,
    Jouissant de honte, heureuse aussi,
    Le giron rouge et les joues pâles...
    Tant d’envies, de faims — quel souci !

    Si dur, si dur que je regrette
    Presque l’humide et la douceur
    Des lècheries qu’avec ma sœur
    Nous nous donnions aux nuits secrètes...
    Oh ! tant d’amour, tant d’épaisseur !

    Si vite et fort que ça me tue !
    Je me change en viande à l’étal
    Que sabre un hachoir de métal...
    Est-ce raison qu’on s’évertue
    Tant à foutre un gode brutal ?

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  • Entretien avec Théo Kosma (1/3)

    Catégories : Jocelyn Witz

    Sur son blog Plume interdite, je réponds aux questions de Théo Kosma, auteur lui-même et auto-éditeur, relatives essentiellement à l’écriture de textes érotiques.

    Théo n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’on me retrouve en (excellente) compagnie d’une foule d’autres auteurs et autrices œuvrant dans le même champ littéraire, de Chocolat Cannelle à Blanche de Saint-Cyr en passant par Françoise Rey, Zeppo, etc.

    Le site regorge aussi des propres nouvelles coquines de Théo, à lire en ligne ou à télécharger.

    Pour l’entretien c’est ici : https://plume-interdite.com/entretien-avec-jocelyn-witz-1-3/

     

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  • Fécondation

    Catégories : Jocelyn Witz

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    Un poème par jour, des histoires à gogo... sans me vanter, je me prenais pour une nana super féconde.

    Mais alors elle !!

    Ce qui me console, c’est qu’il faut l’aider à pondre. Toute seule elle est perdue.

    Enfin, vous verrez bien en lisant ma nouvelle histoire de SF cochonne en lecture libre :

    https://www.atramenta.net/lire/fecondation/99565

     

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  • Joies domestiques

    Catégories : Heptasyllabes (7), Quadrisyllabes (4)

    À moi mes jolis larbins !
    Massez-moi les seins les cuisses
    Pelotez-moi dans mon bain
          Pour que je jouisse
    Après j’en veux un cochon
    Qui baisera sans aucune
    Inhibition mes manchons
          Blindés de thune

    Sus ! mes obéissants boys !
    À coup de testostérone
    Faites fête humbles sextoys
          À la patronne
    Possédez-moi par devant
    Ou derrière et pas de triche
    Pas d’orgasme en me servant
          C’est moi la riche

    À moi mes velus valets !
    Tâtons des joies domestiques
    Ce soir je vous avale et
          Je vous astique
    Puis vous me foutrez debout
    Et au plus viril athlète
    J’offrirai peut-être un bout
          De ma galette

    Sus ! sus à moi mes laquais !
    Contre mon cul qu’on affouille
    Je veux entendre claquer
          Vos grosses couilles
    Vous êtes ô serviteurs
    Au service de mes baises
    Moi qui n’ai nulle pudeur
          Mais plein de pèze

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  • Au seuil de la porte de jade

    Catégories : Heptasyllabes (7), Octosyllabes (8)

          Ma vulve je l’ai voulue
    Frottée de rose et de jasmin
    Pour qu’embaumant jusqu’à demain
    Elle soit la fleur impollue

    Plante en son cœur ton dard humain

          Ma vulve se fait glissade
    Poli de coquillage aux doigts
    Depuis que j’épile pour toi
    Le seuil de la porte de jade

    Lance-toi dans ce ventre étroit

          Ma vulve je l’aime et brise
    Et perce d’ivoire entêtant
    Lorsque dans l’ombre je t’attends
    Vois-la briller rouge cerise

    Et tranche de feu ce mitan

          Ma vulve aspire et referme
    Quatre lèvres d’humidité
    Pénètre au fond sais m’habiter
    Enracinant tes épidermes

    Plante mâle ô virilité !

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  • Sombre charcute

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Ah mettez-moi les bouchers doubles
    Videz ma carcasse pissant
    D’envies avec vos mains de sang
    Et ces rôtis lourds qui me troublent

    Tant pis si ça dépasse un peu
    Puisque nos appétits commandent
    En duo désossez-moi la viande
    Tranchez les tissus adipeux

    J’ai rêvé de sombre charcute
    Et vous voici râblés mastards
    Fermez boutique il se fait tard
    Pour vous je deviens truie et pute

    Déjà ruisselant sur l’étal
    J’écarte mes chairs qui frémissent
    Plantez longs couteaux vos pénis
    Paire de dieux à l’œil brutal

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  • Tout au bout de la nuit

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Décasyllabes (10)

          Vite ! à présent lève-toi que s’écoule
    Au-dedans de ta cuisse un sperme paresseux
          Dont t’ont bondée avec élan tous ceux
    Qui te baisent pour moi pour mes lèvres de goule

          Vite ! j’ai faim de ce dessert que mon
    Ignoble envie réclame et t’oblige à me rendre
          Sauce blanche mêlée de mouille tendre
    Dont se régaleront mes lèvres de démon

          Vite ! il y a des punitions bien pires
    Que d’être sucée où ton plaisir a crevé
          Écarte un peu et laisse s’abreuver
    Tout au bout de la nuit mes lèvres de vampire

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  • Envies gravosses

    Catégories : Hexasyllabes (6)

    J’ai des envies à vifs
    Dans mon vieux ciboulot
    Jusqu’au ras du goulot
    La chair se fait rosbif

    J’ai des envies viandox
    D’avaler vos roupettes
    Des envies un peu bêtes
    Pas vraiment orthodoxes

    J’ai des envies viscères
    Cent pour cent non vanille
    Vie de mauvaise fille
    S’envoyant les desserts

    J’ai des envies gravosses
    Et vos nœuds mes salauds
    Tant va ma cruche à l’eau
    Qu’à la fin ça sert d’os

    Ouais j’ai des envies vaches
    De mordre aux bas morceaux
    Galantine ou osso
    Buco et blanc qui tache

    J’ai des envies bidoche
    De vits affriolés
    Versant leur riz au lait
    Au violé de mes poches

    J’ai des envies souvent
    D’asperges savoureuses
    Dont l’ocre tête est creuse
    Et crève en m’étouffant

    J’ai des envies tarées
    Des envies pas normales
    Quand bout le bouillon mâle
    Je veux m’en emparer

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  • Une soirée en tête-à-tête

    Catégories : Jocelyn Witz

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    Sacré Bertie !

    Voilà un homme qui n’hésite pas à se mettre en quatre (et même davantage) pour parvenir à ses fins, à savoir attirer dans son lit la ravissante autant que plantureuse Tix, sa collègue en technichiennerie de surface (progrès chiantifique oblige, c’est comme ça qu’on appelle désormais le fait de passer un coup de balai).

    Évidemment, tout va foirer (sans ça, il n’y aurait pas d’histoire).

    Notre don Juan du jour pensait pourtant avoir la Science de son côté. Hélas ! cette salope majuscule n’en fait qu’à sa tête.

    https://www.atramenta.net/lire/une-soiree-en-tete-a-tete/98839

     

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  • Le cœur en laisse

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Je boirai de ton lait si cet enfant m’en laisse,
    Moi qui n’ai, comme lui, aucun autre dessein
    Que de vivre appendue au nourricier coussin,
    Tandis que ta main tendre et chaude me caresse.

    Je boirai de ton lait : mon cœur est assassin,
    Mais c’est ta faute aussi, toi qui le tiens en laisse
    Et soupires au fur que je renifle et presse
    En mordillant, avide, un de tes bouts de sein.

    Je boirais de ton lait, je t’avalerais toute
    Si tu me laissais faire, oh ! je t’aime au point de
    Vouloir téter ce corps jusqu’à l’ultime goutte.

    Je boirais de ton lait, blottie sur tes genoux,
    Chaque jour, comme avant, si nous n’étions que deux...
    Ce bébé prend beaucoup trop de place entre nous.

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  • Rien qui ne t’appartînt

    Catégories : Hexasyllabes (6)

    C’est moi l’humble cocue
    Celle qu’on évacue
    Et remise au placard
    Pour faire bande à part
    Celle qui bâillonnée
    A toutes les données
    Présente aux rendez-vous
    J’entends quand tu les fous

    Tu l’aimes ta cocue
    Ça j’en suis convaincue
    Parfois tu la punis
    D’inachevés cunnis
    Qu’elle doit finir seule
    Pendant que tu l’engueules
    Branleuse truie catin
    Rien qui ne t’appartînt

    Moi la terne cocue
    Aux amours mal vécues
    Aux liens étroits de cuir
    À vous écouter jouir
    J’ai pourtant du bien-être
    Car je sais que mon maître
    Baise à même nos draps
    De plus jolies que moi

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  • Toute petite

    Catégories : Vers libres

    L’instant d’avant j’étais trou-trou dentelle
    à jour de mes déversements
    plus moi que moi
    entière à 100 % sans additif
    la synthèse je l’avais réalisée

    Nue j’étais une sans personne
    pour exiger de voir à l’intérieur
    sans rage dedans
    juste le sentiment de m’éprouver toute
    toute petite
    immensément pleine de moi

    L’instant d’avant j’ignorais qu’il manquait une perle
    au collier de mes jours futurs
    un cœur tranquille ronronnait sous mes poils
    je ne craignais pas de tourner les pages

    Mon sexe se promettait des soifs à peu près sans danger
    qui croyait vivre déjà
    qui s’imaginait mûr dans la glace
    craquant à souhait
    je trônais à la table de mon festin
    occupant tous les sièges
    singeant à la droite du père
    le fils connais pas

    L’instant d’avant j’étais trou-trou dentelle
    et puis tu es entré
    ô raison
    ô couteaux…

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  • Petites filles sans visage

    Catégories : Dissyllabe (2), Octosyllabes (8)

    Où débutaient nos tête-bêche ?
    Je ne sais, mais deux langues fraîches,
    Soudain, faisaient à l’autre chat
                            La lèche,
    Afin que du Ciel il touchât
                            Le chas.

    Souvent, même, dans ces folies,
    Nous allions, minettes polies,
    Tutoyer cet antre épicé
                            Que lient
    Des fils de mouille à l’autre accès
                            Sucé.

    Nous étions, par ailleurs, de sages
    Petites filles sans visage,
    Cachant leur corps toujours à jeun :
                            L’usage
    Voulait qu’on tût que l’on mange un
                            Vagin.

    Ma douceur, qu’es-tu devenue ?
    Vas-tu toujours, la cuisse nue,
    Te régaler d’autres embruns,
                            Menue
    Enfant qui m’ouvris ton écrin
                            Sans crin ?

    Il vrai qu’aujourd’hui je broute
    Les filles qui croisent ma route,
    Mais ça n’est plus aussi joli,
                            Sans doute,
    Que nos tête-bêche abolis
                            Au lit.

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  • Sois sympa

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Si seulement j’étais plus souple
    Je pourrais lorsque je m’accouple
    Et qu’on m’a remplie jusqu’au bord
    Laper le sperme dans mon corps

    Je pourrais en courbant l’échine
    Contempler comment fout la pine
    Et comment s’écartent mes chairs
    Pour avaler ce gros dessert

    Je pourrais pour peu qu’on me foute
    Après coup me replier toute
    Fourrer le langue, entrer le nez
    Dans mon vagin vermillonné

    Je pourrais même étant moins raide
    Me lécher la chatte sans l’aide
    D’aucune ou d’aucun être humain
    Se nettoyer c’est bien le moins

    Je pourrais me rouler en boule
    Et boire au fur qu’elle s’écoule
    L’écume hors de mon berlingot
    Heureuse comme un escargot

    Si seulement j’étais flexible
    Je serais moi-même la cible
    De mes appétits dévorants
    D’eau chaude qui verse à torrents

    Chaque fois que j’essaie j’attrape
    Du mal sans atteindre la trappe
    Alors à défaut sois sympa
    Et broute-moi le trou ci-bas

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  • Quel autre dieu ?

    Catégories : Heptasyllabes (7)

    Hors le con point de salut !
    C’est par ce canal, qu’inondent
    Cent fleuves, qu’on entre au monde —
    À moins que j’aie des hallus.

    Sans vagin ? Ni jolies filles,
    Ni l’ombre du bout d’un mec
    Pour, à l’heure tendre, avec
    L’un d’eux se mettre en cheville.

    Et quel autre dieu prier
    Que cette vulve velue ?
    Ô trinité farfelue,
    Vous pouvez vous rhabiller !

    En la fendasse est la grâce !
    En la chatte, le rachat !
    Qui en emprunte le chas
    Voit l’Éden en face à face.

    Frères et sœurs, je veux qu’on
    Fasse, à genoux, bel hommage
    Au féminin apanage :
    Point de salut hors le con !

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