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Ton pantoum dans mon haïku - Page 42

  • Aftercare

    Catégories : Décasyllabes (10)

    À travers les frissons de l'aftercare
    On voit les meufs s'ouvrir encore un peu
    Avides de se confier aux vieux
    Sadiques qui sans pitié les niquèrent
     
    L'écoute c'est important il vaut mieux
    Tout dire au sortir des moments précaires
    Où l'on s'est retrouvée jambes à l'équerre
    Avec ici et là d'énormes pieux
     
    Et celui qui ravagea la moukère
    À coups de fouet et de gestes odieux
    Jette à présent des sourires mielleux
    De pape en prière ou d'apothicaire
     
    Tant pis pour les apôtres du bon dieu
    Qui à ces mots feront de l'urticaire
    À travers les frissons de l'aftercare
    On voit les meufs s'ouvrir encore un peu

     

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  • Églogue

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Mon ch'val fume comme une usine
    Dans l'avril encore âpre et frais
    Au fond du val, près des forêts
    L'échine du bourg se dessine
     
    On s'sent le cœur démesuré
    Devant tant d'beauté on s'incline
    Même on tremblote d'la babine
    Mais c'est pas l'tout : faut labourer
     
    Au soir je trouv'rai la Fernande
    Après la soupe ou récurer
    Ça, on peut pas lui reprocher
    La chaumière est toujours pimpante
     
    Mais j'en suis plus guère amouré
    Sans être vraiment repoussante
    Quand elle m'ouvre son énorme fente
    Ben c'est pas l'tout... faut la bourrer

     

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  • Échos du paradis

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Le cœur du cul cache l'écho
    D'une condition plus qu'humaine
    Souvenir caressant qu'entraîne
    La tendre claque d'un bécot
     
    Au creux du cul dort un poème
    Un pays radieux d'abricots
    Toujours mûrs sous le calicot
    Abreuvé de belles fontaines
     
    Du fond du cul gicle l'oubli
    D'un monde à l'avenir en loques
    Où le fric est devenu coke
    Et la haine un rite établi
     
    Grâce mâtinée de cris rauques
    Du cœur du cul tu nous souris
    Vallée où l'orchidée fleurit
    Suave soleil d'une autre époque

     

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  • Du bétail

    Catégories : Hexasyllabes (6), Jocelyn Witz

    Je me branle à leur queue
    Sans pudeur et sans phrase
    J'ai pas d'amour pour eux

    Au poil ça s'engrivoise
    Et trique à volonté
    Ça fond sur ma framboise

    C'est du prêt-à-monter
    Du pal en self-service
    Faut pas m'en raconter

    Je me visse et dévisse
    À leur clou émoussé
    Transmis de père en fils

    Y a rien à débourser
    Je baise et je me taille
    Aucun récépissé

    Les mecs c'est du bétail
    Sur leur tumescent nœud
    Chaque nuit je godaille

    Je me branle à leur queue
    M'en remplis la coquille
    J'ai pas d'amour pour eux
    L'amour c'est pour les filles

     

    Clin d’œil à mon second recueil de nouvelles, Future(s) (https://www.nco-editions.fr/boutique/futur-e-s.html), et notamment au dernier des six récits qu’il comporte, lequel décrit un lointain avenir où la gent masculine se voit réellement réduite à du bétail par une civilisation entière de joyeuses gouines.

    Ah ! si seulement j’arrivais à remettre la main sur mon scooter temporel…

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  • Formation continue

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Je vais travailler ma sexo
    Promis je reverrai les bases
    Bûcherai les universaux
    Afin d'être un peu plus en phase

    L'ennui c'est quand il pleut à seaux
    J'ai pas le machin qui s'embrase
    Je vais travailler ma sexo
    Fignoler pourtant mon ouvrage

    On vit des jours paradoxaux
    Faut souvent se mettre à la page
    Cent fois comme dit mon proxo
    Sur le trottoir file et qu'ça gaze !

     

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  • Sextoy (et plus si affinités)

    Catégories : Hendécasyllabes (11)

    Femelle épatante, ô jouet multitâche
    Dont je jouis encor même quand je l'attache
    À peine achevé ton devoir de putain
    Il faudra du drap bien effacer les taches

    Lave la vaisselle, achète un bout de pain
    Pense à ta retraite en gardant néanmoins
    À l'esprit ma lèche ou sinon je me fâche
    Ta langue m'astique aussi bien que tes mains

    Ô moderne esclave à jamais sous emprise
    La commodité de tes multiples prises
    Invite à l'usage immodéré de toi
    Je te baise tant qu'à la fin ça te grise

     

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  • Le dessus du panier

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Amour ! unique latitude
    S'offrant aux pauvres prisonniers
    D'une vie en décrépitude
    Amours douces ou amours rudes
    Je veux le dessus du panier

    Mon cul sonnait, c'était l'étude
    Qu'à quatre mains vous repreniez
    Je ne faisais jamais la prude
    Amours douces ou amours rudes
    Je veux le dessus du panier

     

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  • L'amour grave

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Il m'aime grave, y a pas photo
    Il m'aime au point que des mots crades
    Sortent de sa bouche en cascade
    Chaque fois qu'on va au dodo

    Je voudrais pondre aussi des phrases
    Olé-olé qui font rougir
    Mais rien ne vient, j'ai un soupir
    J'ouvre les cuisses et je m'écrase

    Il me dit : mets ça dans ta chatte
    Branle-toi, lèche à fond mon cul
    Aussitôt je produis du jus
    Toute tremblante sur mes pattes

    Il m'aime grave, y a pas photo
    Il me fait décoller de terre
    Rien qu'avec son vocabulaire
    Chaque fois qu'on va au dodo

     

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  • Cure de jouvence

    Catégories : Hendécasyllabes (11)

    Remets-en un coup, ça vaut tous les botox
    Je gagne un lustre à chaque fois qu'on me pine
    Prends-moi là, le cul sur l'évier en inox
    On rajeunira sans verser un centime

    Force-moi d'accord, mais pas à la détox
    Autant sucer des radis par la racine
    Remets-en un coup, ça vaut tous les botox
    L'éternité gîte en nos joujoux intimes

     

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  • Qui est gros ?

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Le con ? Le cul ? Aucun remords
    Les mots sont là pour qu'on les use
    Je chanterai jusqu'à ma mort
    Les joies du mandrin dans la buse

    Même en dormant, même en foutant
    Sans y penser je les proclame
    C'est pas pour vicier les enfants
    Ni pour me faire de la réclame

    C'est juste qu'on les trouve écrits
    Ces « gros » mots dans le dictionnaire
    Il y a pine, il y a mistigri
    Il y a salope et puis lanlaire

    Si quelqu'un les a inventés
    Ou quelqu'une, c'est pour qu'ils bruissent
    Tout comme un mâle bien monté
    Est fait pour jouir entre mes cuisses

    O baiseuses, baiseurs, baisons
    Par les oreilles ou autre fente
    Qui voudra entendre raison
    Fût-elle obscène et indécente !

     

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  • Amours contrariées

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Dissyllabe (2)

    Fille de l'air et de la langue, ô, défendue
                                                                 Fendue
    Ainsi qu'une autre, au demeurant, charmant décor
                                                                                 Des corps
    Même le vent voulait la voir, même les pierres
                                                                          L'épièrent
    Même les dieux : elle était cible à ses dépens
                                                                      Des Pan
     

    Tous, hagards, haletant, paupière enamourée
                                                                      Mouraient
    Pour une caresse, un regard, pour un bécot
                                                                    D'Echo
    Tous lui parlaient d'amour, tous la valorisaient
                                                                        Risée
    Du seul Narcisse qui prisait bien peu le con
                                                                     Le con !

     

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  • Brevet d'aptitudes

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Un jour un homme une partie
    D'âpre baise ah ! je suis partie
    Via d'inénarrables sentiers
    Aux fleuves où l'on n'a pas pied
    Aux champs d'épines et d'orties

    Le lendemain je remets ça
    Combien mon con en redressa
    De breloques et d'andouillettes
    Clous pour river la chevillette !
    Certains venaient des USA

    Un autre jour et rebelote !
    Ça défilait dans ma culotte
    Pour m'approfondir le vécu
    O moi frêle comme un fétu
    Que le vent ivre et fou ballotte...

    Aux cris de mon paradisier
    Battant des mains vous me disiez
    Apte à tout type de service
    Bonne en somme, et mon orifice
    Ne laissa vit mal rassasié

    Un jour un homme une partie
    D'âpre baise ah ! je suis partie
    Il me fallait jouir de visu
    Mes vieux n'en ont jamais rien su
     

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  • Icare est-ce moi ?

    Catégories : Décasyllabes (10), Quadrisyllabes (4)

    Fondue d'Icare au ciel j'm'y carapate
    Avec ou sans elle en toute saison
    J'm'y carbonise au soleil la raison
          A quatre pattes

    Icare ôté que reste-t-il au fond ?
    Armstrong n'est qu'un cancrelat imbitable
    Qui n'foulera jamais mon délectable
          P'tit carafon

    Dix caravelles ont bien moins de mérite
    Que le tricard qui s'envola tout seul
    Au risque oui de se casser la gueule
          Et les durites

    Oh cela dit carburer pour ce gus
    C'est grand'folie car sa jolie carrière
    Tomba à l'eau le long des golfes clairs
          Et terminus

    Fondue d'Icare au ciel pourtant j'aspire
    J'y caracole et fais mon fly-man-show
    J'm'y carambole et c'est vrai qu'il fait chaud
          Mais j'ai vu pire

     

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  • La toison, dehors !

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Ma brousse prolifère — ah ! défrichons gaiement,
    Soyons lisse ainsi qu'une joue de politique ;
    Mon mont se mirera aux lorgnons de l'amant
    Et lui fera de l'œil et raidira la trique.
     
    La vulve prépubère est in en ce moment ;
    Monsieur se sent jeunir, car mon con communique
    Au plan subliminal avec son inconscient :
    Il croit voir une enfant là où la vieille nique.
     
    Mais prudence ! mesure ! Usons à bon escient
    De ce truc, sans couper la branche, en la sciant,
    Où nous aimons percher en postures lubriques.
     
    La chose veut qu'on la rafraîchisse, s'entend,
    Qu'on en dégage les plages roses, la crique
    Au frai tout frétillant d'anguilles électriques.
     

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  • Les dubitations de Bella

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Je ne croirai au Père Noël
    Que si, lorsque revient la date
    Au lieu des joujoux habituels
    Le vieux m'emporte dans sa hotte
    Et me prend sans ôter ses bottes
    (Ni même son rouge futal)
    Sous un arc-en-ciel boréal
     
    Je ne retournerai aux urnes
    Qu'au prix que Macron (sinon rien)
    Daignant enfin sonder ma turne
    Me repolitise au moyen
    D'arguments forts auxquels le mien
    Sera sensible s'il l'enfourne
    Et que je tâte un peu ses burnes
     
    Les récits de petits hommes verts
    J'en ricane, je suis méfiante
    A moins que l'un d'eux (un pervers)
    Ne m'emmène en soucoupe volante
    M'étudie partout et me plante
    Dix vits nerveux comme des vers
    Dans mes replis de l'univers
     
    Avant de fréquenter la messe
    Je veux que Christ pose sa croix
    Ote son pagne, offre ses fesses
    Aux vœux pieux de tous mes doigts
    Puis (afin d'éprouver ma foi)
    Me foute en hurlant : « Ah, diablesse
    Montons au ciel par voie expresse ! »
     
    Bref, pour croire il me faut palper
    Mettre l'index au fond des prises
    Pour voir si ça me fait grimper
    Au lustre ou si ça m'électrise
    Aboulez les choses promises :
    Les extases, l'éternité !
    — Sans ça je reste à me shooter

     

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  • Un pas vers toi

    Catégories : Hexasyllabes (6), Octosyllabes (8)

    Nuement je suis venue
    Me faire aimer de toi
    Pour un baiser de toi
    J'ai franchi l'avenue
    Si vides sont nos mains
    Si seules nos pensées
    J'ai couru oppressée
          Comme une fille ou un gamin
     
    Nuement je suis venue
    J'ai bouclé ma maison
    Déposé ma raison
    Je me ferai menue
    Je voulais te revoir
    Cet horizon me guide
    C'est peut-être stupide
          Donne-moi juste un peu d'espoir
     
    Nuement je suis venue
    Frapper à ton carreau
    Dormir contre ta peau
    Je me suis défendue
    D'exiger par ce biais
    La moindre certitude
    Nuement je me dénude
          Je suis celle-là qui t'épiais
     
    Nuement je suis venue
    N'avons-nous pas le corps
    Robuste et beau encor ?
    Nuement je suis venue
    Pour te confier le mien
    Décide de la suite
    C'est mon offre gratuite
          Hormis cela je n'ai plus rien
     
    Nuement je suis venue
    Me faire aimer de toi
    Mais tu ne me vois pas
    J'ai franchi l'avenue
    Décroché le verrou
    La demeure est déserte
    En vain ! en vain ouverte
          J'espérais tant ce rendez-vous...

     

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  • Quand ça veut pas… (poème subliminal)

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Sur Hercule j'avais pensé faire un sonnet ;
    Vous savez, l'impétueux amant qu'eut la farouche
    Omphale, la Lydienne — un sujet qui me touche
    Et fait battre mon cœur, mais ça n'a rien donné.

    Hélas ! — gros hic — en culture antique je flanche ;
    Quoique bonne en culasses et questions pour les mecs,
    Onc ne vis mes élans culminer chez les Grecs,
    Et me voilà face à l'affreuse page blanche.

    Certes il est évident qu'ululer long et fort
    N'y changera rien, la rime fuit, j'en arrive
    A ce point, même, à présent, qu'ulcérée à mort,

    J'ai des douleurs au bide — ah ! Muse, tu me prives !
    Bah ! foin de ce que diront les gens (culot mer-
    Veilleux !), sur ce héros pas moyen que j'écrive.

     

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  • Soifs

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Au droit de son pertuis, je guettais que les jus
    Vinssent en ruisselets se perdre dans ma gueule ;
    Sans être pourtant des plus proprettes que j'eues,
    Mona fleurait bon la luxure et le tilleul.

    Avec d'autres j'ai joué, j'ai cherché l'épissure,
    Rabouté mille joints, bouté aux feux de joie,
    Pour terminer toujours à genoux, en lieu sûr,
    Buvant le blond mucus dédaigné des bourgeois.

    Fontaine, ô ! de ton eau ne fus moi-même avare,
    Attendu que plus d'une amante ou que d'un homme
    Sut trouver le robinet de mon samovar
    Et se refaire un plein de soufre et d'ammonium.

     

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  • A cœur de plume

    Catégories : Octosyllabes (8)

          A Ray...

    Je chante le corps et la trique
    Les mains dans le cambouis humain
    L'aurore aux cernes électriques
    Sous un double soleil demain
    Je chante le corps et la trique

    A crocs ardents tes pommes d'or
    J'en dévore de pleins volumes
    Dans mon éternel fructidor
    J'offre aux Martiens à cœur de plume
    A crocs ardents tes pommes d'or

    Machine à vivre, ô nostalgie
    D'un pays d'octobre irréel
    Avec toi je me réfugie
    En des cosmos plus sensuels
    Machine à vivre, ô nostalgie

    Sous un épiderme illustré
    Du récit de mes amours sales
    Comme toi je garde un secret
    Parfois des océans s'étalent
    Sous un épiderme illustré

    Je chante le corps et la trique
    Les mains dans le cambouis humain
    L'aurore aux cernes électriques
    Sous un double soleil demain

     

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  • Chihuahua blues

    Catégories : Chanson, Décasyllabes (10), Pentasyllabes (5)

    Voix chaude à la Nina Simone
    En mode mineur, nonchalamment
    Entre les couplets, quelques mesures d'impro au piano, au sax, etc.

    Il ne la croquait que du bout des lèvres
          La pomme d'api
    Etique intello tout bardé de livres
          Poète maudit
    Il cherchait le mou d'une fille mièvre
          Pour chauffer son lit
    Pas une gloutonne assidûment ivre
          Avide de lui

    Il votait à droite et portait à gauche
          Ça n'est pas courant
    Sans être Adonis, il n'était pas moche
          La plupart du temps
    Ses lunettes rondes, ses gilets bancroches
          Me plaisaient pourtant
    Mais pour l'éplucher, fallait patte blanche
          Et des arguments

    Il m'enseigna tout : l'Art, le Sacrifice
          La Grâce, la Foi
    Je lui montrai où doucement l'on glisse
          Le dard ou le doigt
    Il toléra même un soupçon de vice
          Je vous dis pas quoi
    J'étais le chienchien sautant sur ses cuisses
          Genre un chihuahua

    J'assurais la bouffe et tout le ménage
          Sans faire de bruit
    Car Monsieur voulait pas qu'on le dérange
          Monsieur pense ! écrit !
    Moi, pauvre amoureuse, adorable, un ange
          Pleurant chaque nuit
    Branleuse rêvant de baises sauvages
          Blottie contre lui

    Sans cesse il jactait des Progrès de l'Homme
          Même en me pinant
    Il ne put jamais me brouter en somme
          Le sous-continent
    Il ne la croquait, cette foutue pomme
          Que du bout des dents
    J'ai fini par fuir avec une nonne
          C'était plus marrant
    J'ai fini par fuir avec une nonne
          C'était plus marrant !

     

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