Si dans le slip mentule un soir
Lève long gourd un blair de mauve
Semblant fâché toi ne te sauve
Mais fais de ta lèvre un dressoir
Si la gouge insinuée ta joue
Chassant les dents de son palais
Passe l’onguent d’un lent balai
De langue embue et qui surjoue
Le lait de cuisse ô sais-tu ne
Jaillira soierie de ce nœud
Que lorsque les mains sur ta tête
Il s’écriera Vent printanier
Je gicle tout pourquoi le nier
Du plus profond de mes roupettes !
Vent printanier
Catégories : Octosyllabes (8), Sonnet