T’as la gnaque quand tu niques
Pinant comme un maniaque
Ça tiraille et ça claque
Quand c’te brut attirail
Au gland supersonique
M’emboutit et m’travaille
T’es toujours sur la brèche
Sec dur à la besogne
T’as la gnaque t’as la pêche
Tip top le beat ad hoc
Et les électrochocs
C’est mon con qui s’les cogne
T’as l’feu au cul tu pines
Comme on pique un cent mètres
J’ai du mal à m’en r’mettre
T’as l’amour véhément
Mais tes fureurs lapines
C’est pile mon élément
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Catégories : Hexasyllabes (6)
-
Comme Zeus à Danaé
Catégories : Octosyllabes (8)Fais-moi un p’tit un p’tit déca
Giclé de ta décapotable
Juste un p’tit jus d’sortir de table
J’suis pas du genre pipi-caca
Mais j’t’ai toujours trouvé potable
Fais-moi comme Zeus à Danaé
Ou comme ces mat’lots d’la marine
À Amsterdam les soirs de bruine
Comme Jéhovah fit à Noé
Engloutis-moi sous tes urines
Fais-moi entre les cuisses un lac
Rien qu’à r’garder pleurer ta bite
Sifflant les sanglots qu’elle débite
Je m’astiqu’rai sur le clic-clac
Tell’ment cette envie-là m’habite
Fais-moi la moule et les nibs d’or
Oh tapisse-moi remplis ma fente
Fais-moi plaisir je s’rai pas chiante
Après j’irai prom’ner Médor
Nue sous l’peignoir encore puante -
Jeux de mains...
Catégories : Alexandrins (12 pieds)D’où vient que sous tes doigts tous mes désirs se dressent,
Que durcissent mes seins d’un espoir douloureux,
Que j’ai le clitoris assoiffé de caresses
Sitôt que ta main fend mes cuisses jusqu’au creux ?
D’où vient que contre toi mon corps tremble, fiévreux ?
Ne devrais-je pas mieux résister à ce charme ?
Ne devrais-je pas fuir l’empire ensorcelant
Par lequel, en dépit de toutes mes alarmes,
Tu fais de moi le jouet de mes propres élans,
L’esclave sans pudeur d’un plaisir trop brûlant ?
Tes yeux aussi ! tes yeux me transpercent de honte,
Tes yeux boivent ma joue rougie, mon souffle court,
Ils savent percevoir quand les orgasmes montent
Au gré des libertés de cette main qui court,
Sillonnant mes chemins secrets, mes fonds de cour.
Ô démon, tu me fais durer, tu m’exténues !
Tu jouis, salaud, de voir trépider de tourment,
Ruisselante d’amour, mon intimité nue !
D’où vient que chaque nuit ma chair entièrement
S’abandonne à tes doigts, ô mon cruel amant ? -
Olé !
Catégories : Octosyllabes (8)Mon hidalgo aï caramba
Ce soir je me le carre en bas
Puis mañana étant dimanche
Mon don qui jutait de la manche
Me reviendra en la boca
Pour décharger son tapioca
Viva la vida espagnole
Caudillo de la pignole
Grand picador con la mano
Qu’il a munie de maints anneaux
Je crie olé quand il me pogne
Et on m’ouït jouir en Catalogne
Ce macho prénommé Sancho
À telle enseigne a le sang chaud
Que chez lui l’envie pire est née
De me franchir les Pyrénées
Plantant dans le noir andalou
De mon œillet son bout jaloux
Quant à ses jolies castagnettes
Veloutées je les sens qui fouettent
Mi corazón un brin gitan
Rien à dire ah c’est excitant
Lorsqu’un bel hidalgo vous nique
Fort del fuego des Hispaniques -
Métamorphoses
Catégories : Octosyllabes (8)Quand il réclame un rendez-vous
Je deviens l’enfant libellule
Patiente fleur au regard doux
Qui lissant sa peau dissimule
Trois fois rien sous la pellicule
Quand il vient me prendre à pas lents
Je deviens chatte et je me frotte
Contre sa poitrine en miaulant
Tandis que sa main me tapote
Un peu les seins beaucoup la motte
Quand il m’entraîne sans douceur
Au siège avant de sa voiture
Je deviens la proie du chasseur
Tremblant un peu d’après nature
Sous ses doigts dans ma chevelure
Quand il m’emporte au fond des bois
Je deviens truie je deviens louve
Je me couche à ses pieds j’aboie
Toute nue je pisse et je trouve
Drôle le plaisir que j’éprouve
Quand enfin sur la mousse il prend
Mon ventre et l’ouvre à le distendre
D’un sexe long et gros et grand
Je redeviens la fille à vendre
Docile au client dur ou tendre -
Sans façon
Catégories : Heptasyllabes (7)Mon con nu mes seins brandis
Reins hanches toujours par paires
Pour ces fruits que j’ai grandis
Au long de mes ans pubères
En moi rien ne délibère
À ton vit qui me fendit
J’offre tout ce que j’ai dit
Prometteuse de suçons
Vois-tu cette humide lippe
Et surtout entends-tu son
Franc désir tu es son type
Nul besoin que tu la chipes
Point ne nous embarrassons
Je t’offre tout sans façon
Mon corps semble avoir muté
Se faisant l’humble appendice
De tes âpres volontés
Fesses ventre bouche ou cuisses
Qu’aucun doute ne s’immisce
Veux-tu chair à culbuter
J’offre tout sans discuter -
Voici le temps des grandes baises
Catégories : Décasyllabes (10), Octosyllabes (8)Foutez, jeunesse, et jouissez sans entrave !
Voici l’âge d’or, la société parfaite ;
Faites l’amour, faites la fête !
Sur le manège tirez la queue des travs !
La liberté qui dort dans vos culottes,
Réveillez-la, qu’elle entre dans la danse !
Versez, ô cornes d’abondance,
Le vin, le miel à pleins glands, pleines mottes !
Tout est gratuit ; vos corps vous appartiennent ;
Fondez, brûlez, chandelles à vous échues !
Ailettes roses d’anges déchus,
Déchirez tout : foi, vertu, vieilles antiennes !
L’histoire, enfin, est arrivée au bout
De son errance ivre, violente, obèse :
Voici le temps des grandes baises ;
Foutez jeunesse ! Ne restez pas debout ! -
La chanson de la rémouleuse
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)Jadis, en la paix des familles,
Ma meule chantait sa chanson ;
J’aiguisais la langue des filles
Tout en leur doigtant le chausson.
Mais un jour, un beau militaire
Me culbutant sur le chemin,
Je m’avérai fort salutaire
Aux armements du mâle humain.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ce que j’en ai fourbi d’épées !
Pure et fendue comme un laser,
J’émorfilais aux priapées,
Car c’est à ça que le con sert.
À mon art chacun rendait grâces
D’avoir à vif poli son jonc
Sans laisser guère qu’une trace
De foutre au bord de mon gorgeon.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Je fis montre de tant de vice
Qu’un soir, dans ma chambre à coucher,
L’affreux bourreau du Saint Office
Me tendit son pal ébréché.
Ce méchant pieu triangulaire
Que je décapai à loisir,
Tous mes outils capitulèrent
Sous la ferveur de son désir.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ma meule a soif, ma mouille s’use !
Ma moule a faim, il va sans dire.
Voici bien des ans que je fuse
Sur chaque gland pour l’attendrir.
Sans jus, comment rester lascive ?
Mes bons amis, soyez futés :
Venez lécher, verser salive
Pour que je puisse raffûter !
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Sur l’air de « La chanson du rémouleur »
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Chansons_rouges/Chanson_du_Rémouleur -
Oh hisse !
Catégories : Hendécasyllabes (11), Octosyllabes (8)Mon vieux loup de mer je serai ton vaisseau
Tu m’arpenteras de la proue à la poupe
Ma fuite obstrueras d’un gros bouchon d’étoupe
Comblant mes désirs abyssaux
Matelot versé je deviens la frégate
Dont tu grimperas alerte les gréements
Et feras claquer la voilure hardiment
Coup de tabac dans ma chagatte
Je veux chalouper un voyage au long cours
Dans le lit de tes cartes océaniques
Bourlinguer sans fin vers l’atoll de la Nique
Un aller simple sans retour
Calons ton grand mât en tous coins de mes cales
Filons dix-huit nœuds en salivant debout
Avec toi mon loup je veux mettre les bouts
Toujours plus loin jamais d’escale
Mais peut-être fou ! me saborderas-tu
Envoyant mouiller aux fosses mes étraves
Me laissant brisée éventrée une épave
Aux bordages tout dévêtus
Bah ! docile à tout près de toi j’envisage
Non le calme plat mais le furieux typhon
Hunes vergues ponts envoyées par le fond
Se moqueront de tes naufrages
Barrant dur et ferme un œil sur mon sextant
Tu me feras faire ô plus d’un tour du monde
Avant de jeter à l’ultime seconde
L’ancre au large de l’Éjakhstan -
Raison nous a quittés
Catégories : Hexasyllabes (6)Recyclons recyclons
Ton regard au zyklon
Pêle-mêle la chambre
Ça gaze et nos corps nus
D’innocents inconnus
Se poilent en plein décembre
Souvenir nous savons
Te passer le savon
Dissolution finale
Famille horreur travail
J’irai au bout du rail
Que mon désir inhale
Recyclons recyclons
Tremblons sous les tromblons
Fusée ta guerre éclaire
Tant d’eaux noires flaquant
Qu’en nos barbelés camps
Rôde la mort et flaire
Tout saute et nous bombons
Prends garde à tes bonbons
Quand tu montes la garde
Dans mes obscurités
Raison nous a quittés
Les enfants nous regardent
Recyclons recyclons
Envoyez les flonflons
Buvons l’air de s’en foutre
À nos deux corps polis
Aux crétins abolis
Au passé passé outre -
Ces grands Martiens
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Pas vraiment douée d’amour humain
J’ai foiré bien trop d’épisodes
Semé mes hommes sur les chemins
Ah ! me casser aux antipodes
Seule sur une île, un jour, demain
Avec un gode
Autour tout vire au terne, au flou
Ces grands Martiens sur leur tripode
Ils me font chier, ça je l’avoue
Adam et Ève ont paumé l’code
Laissez-moi ! j’ai pas besoin d’vous
Juste d’un gode
D’ailleurs l’avenir part à vau-l’eau
Tout casse, tout lasse et passe de mode
Et puis les mecs sont des salauds
Qui se prennent pour le roi Hérode
Ah ! partir loin, sur un îlot
Moi et mon gode
Même je coul’rai le pédalo -
Quelque chose se joue
Catégories : Alexandrins (12 pieds)Dans la foule, Olivia, plonge encor ta main tendre
Entre nos deux corps, comme impatiente de fendre
Et la jupe et le slip et mes fesses, ce cul
Qui ne fait qu’espérer ta caresse et l’attendre !
Olivia, ma peau toute est un désir aigu.
Ne montre nul émoi ! Prends-moi sereine ! Affiche
Un visage de marbre en dénudant mes miches !
Que je sois, Olivia, la seule à réagir,
Et, au moment de foudre où ton index se fiche,
Que tous ces inconnus me regardent rougir.
De crus chuchotis tu me baiseras l’oreille ;
Je ne remuerai pas, me sentirai pareille
À la chienne qui, moite, attend que le viril
Appendice, écartant sa vulve, l’ensoleille
Et la fasse éclater, brûlante comme un grill.
Tes seins contre mon dos, ton souffle sur ma joue,
Ivre d’effluves de ta tignasse acajoue,
On lira dans mes yeux, qui tout à coup s’effraient,
Que quelque chose au fond de mon être se joue…
Mais, Olivia, la foule en sera pour ses frais. -
Mon premier vagin
Catégories : Jocelyn WitzAh ! l’adolescence…
Ses fièvres et ses incertitudes, vous vous souvenez ?
La « voix » de cette histoire s’en souvient aussi et, contrainte et forcée, nous les raconte.
Dorénavant, vous hésiterez peut-être à vous lancer dans une partie de Scrabble.
« Mon premier vagin » en lecture libre
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Les boules
Catégories : Ennéasyllabes (9)Je voudrais tirer là les ficelles
Je voudrais voir ce qui s’y nicha
Et vérifier si tu n’es pas celle
Qui a les boules, jolie geisha
Ça cliquette et sourd de ta minette
Et déjà hier quand tu m’aguichas
Je t’entendis feuler, sois honnête
As-tu les boules en ton petit chat ?
Un creux au bide, l’âme jalouse
Je regrette presque cet achat
Si j’avais su qu’en claquant ce flouze
T’aurais les boules tel un pacha…
Au moins me jette pas, au moins laisse
Celle qui si souvent te lécha
Venir te rebrouter l’entrefesse !
J’ai les boules sans toi ma geisha -
Confidences à chaud
Catégories : Alexandrins (12 pieds)Ma sœur, il est parti ! Ma sœur, oh ! touche ! touche
Ces lèvres dont le feu n’est pas encore éteint !
Sens comme il a froissé, chiffonné mes satins,
Marquant leurs plis au fer amoureux de sa bouche !
Je voudrais que tu voies nos corps s’entrebaisant…
Mais qu’y entendrais-tu, toi qui n’as que dix ans ?
Ma sœur, ah ! j’ai tant joui ! Plus encor qu’avec l’autre
J’ai éprouvé cette épaisseur qui m’empalait,
Et puis, sais-tu ? après je lui ai bu le lait
Jusqu’à la lie — mais chut ! ce secret est le nôtre.
Me foutrait-il soir et matin en l’épousant ?
Bah ! tu l’ignores, toi, du haut de tes douze ans.
Ma sœur, défais mes liens et viens m’oindre les fesses
D’une crème apaisante aux endroits que le stick
Laisse à vif ! Oh ! ma sœur, ces deux affreux loustics
Font de moi leur putain, leur proie, je le confesse,
Mais une proie heureuse — ah ! Dieu, que c’est grisant !
Ça t’étonne, bien sûr ; tu n’as pas quatorze ans.
Ma sœur, où étais-tu ? Vois ! Vois ! Mes jambes tremblent
Et je daube la pisse et la jute à plein nez.
Vingt fois, trente fois ils m’ont fait me retourner,
M’écartelant le cul tour à tour ou ensemble…
Mais tu n’écoutes plus, tu dis : « J’ai pas le temps,
Et puis je sais tout ça. N’ai-je pas dix-sept ans ? » -
Oublie les oiseaux et les roses
Catégories : Octosyllabes (8), SonnetMarceline — ah ! ton con déborde,
Plus exsudant qu’un cheval mort.
D’amour pour toi, j’ai pris le mors ;
Aie donc un peu miséricorde !
Marceline, je ne démords
Pas, mais t’en supplie sans exorde :
Je veux vibrer en supercorde
Dans ta broussaille de blême or.
Oublie les oiseaux et les roses,
Et jouons à broute-minou,
À la main chaude, à je-t’arrose !
Ton Dieu pardonnera si nous
Tenons ta fente bien déclose
Pour y communier à genoux. -
Le mal des filles
Catégories : Octosyllabes (8)J’craque de partout j’ai les coutures
Qui s’défont dès que j’m’aventure
Dans l’orbite d’un type un peu fort
J’me raccommode avec Arthur
Mais ça me d’mande pas mal d’efforts
J’craque pour ce mec oh j’perds de l’huile
Sur mes divans tu parles d’une tuile
Mon grand amour s’rait-i trop grand ?
J’me couche pourtant même si ça m’cuit l’
Ego j’me couche j’ai aucun cran
J’craque et j’m’embrase à la minute
Où qu'i m’fait souffler dans sa flûte
Nos idées sont jamais raccord
Même que des fois i m’traite de pute
Et j’appréhende nos corps-à-corps
J’craque et des trucs en moi s’dessillent
Tout simplement j’ai l’mal des filles
Ça dure depuis je sais pas quand
Les gros calibres et les gorilles
Faut qu’on les trouve toujours craquants -
Je te crois mon bonheur caché
Catégories : Ennéasyllabes (9), Quadrisyllabes (4)Es-tu l’arbre où il me faut grimper,
Le fruit que je dois envelopper,
La liqueur qui chauffera mon ventre,
La présence entre
Les murs de ma maison de poupée ?
Suis-je le sol que tes désirs creusent,
La jument que tu rendras heureuse
En flattant son pelage luisant ?
Au fil des ans
Garderas-tu l’humeur laboureuse ?
Allons-nous mordre ensemble au futur,
Lécher mutuellement nos blessures ?
Jetterons-nous par-delà les mondes
Ces coups de sonde
Qui comblent le vide et nous rassurent ?
Oui, je te crois mon bonheur caché,
Celui que j’ai si longtemps cherché,
Le bois dur dont on dresse les lances,
La noble essence,
Cet arbre enfin où je peux percher… -
Le poing du pognon
Catégories : ChansonC’est brutal oui mais démocratique
Y a plus qu’des vaincus
Dès le berceau c’est systématique
Le fric est vécu
Dans nos culs
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Pour le monde entier un seul régime
On t’farcit l’oignon
Et tu t’balades avec dans l’intime
Le poing du pognon
Bien profond
Wohoho !
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Fisting pour les jeunes wohohoho !
Fisting pour les vieux
Fisting pour les blancs
Fisting pour les blacks
Fisting pour bébé wohohoho !
Fisting pour mémé
Fisting pour les résignés
Fisting pour les insurgés
Fisting pour les richards wohohoho !
Fisting pour les clochards
Fisting pour les Zoulous
Fisting pour les Inuits
Fisting pour les gourous wohohoho !
Fisting pour les marabouts
Fisting pour les flics
Fisting tout public
Fisting pour les poètes wohohoho !
Fisting pour les coquettes
Fisting pour les cochonnes
Fisting pour les madones
(ad lib.)
Sur l’air de « Lipstick polychrome » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=KcyVeKC0Eb8 -
La zizette
Catégories : ChansonPetite figue de nana que le braquemard rasa
Petit bijou de gouine, ô baba nu sous la nuisette
Aucun besoin de blabla, cherchons pas le pourquoi
Rien qu’à l’idée de lécher là-bas, moi je fais risette
Wohoho !
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ouvre-toi, fais pas ta coquette
Baise avec moi !
Je te boufferai sur la moquette
Il n’existe pas d’autre loi
Que la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Voilà que tu, l’œil hagard, t’es collée contre moi
Tout excitée des ardents regards que je te projette
J’ai ta fêlure dans la peau, des fourmis dans les doigts
Ta zizette là, c’est comme un drapeau, comme une épuisette
Wohoho !
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
Y compris tes relents de bête
Baise avec moi !
Tu vois bien, le désir nous guette
Et comme d’hab on ne résiste pas
À la zizette
Je te veux si tu veux de moi
(Solo de trompette bouchée…)
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ô moniche, ô ma sanisette
Baise avec moi !
Tapons-nous une super minette
Sans un mec pour nous briser les noix
Ah ! la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
(ad lib.)
Sur l’air de « L’Aziza » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=lHjJlSq3BhA