Mon hidalgo aï caramba
Ce soir je me le carre en bas
Puis mañana étant dimanche
Mon don qui jutait de la manche
Me reviendra en la boca
Pour décharger son tapioca
Viva la vida espagnole
Caudillo de la pignole
Grand picador con la mano
Qu’il a munie de maints anneaux
Je crie olé quand il me pogne
Et on m’ouït jouir en Catalogne
Ce macho prénommé Sancho
À telle enseigne a le sang chaud
Que chez lui l’envie pire est née
De me franchir les Pyrénées
Plantant dans le noir andalou
De mon œillet son bout jaloux
Quant à ses jolies castagnettes
Veloutées je les sens qui fouettent
Mi corazón un brin gitan
Rien à dire ah c’est excitant
Lorsqu’un bel hidalgo vous nique
Fort del fuego des Hispaniques
Olé !
Catégories : Octosyllabes (8)
Commentaires
Il s'est bien vidé les "cojonès", le brave Sancho ?
Affirmatif, comme disait Gainsbarre.
Il dort sur ses deux oreilles depuis que j'ai obtenu sa queue.
"Caudillo" rappelle immanquablement Franco et je vomis cette pourriture. C'est comme si vous composiez un poème sur l'Allemagne avec les mots "führer", "blitzkrieg" ou "gestapo".
En revanche, j'aime bien les "cojones" qui fouettent votre "corazon" entre-cuissard.
Merci ! Je vous expédie franco de porc mes baisers les plus suaves.
http://poesieerotique.hautetfort.com/apps/search?s=führer
http://poesieerotique.hautetfort.com/apps/search?s=gestapo
Pas de "blitzkrieg" pour le moment...