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Oublie les oiseaux et les roses

Catégories : Octosyllabes (8), Sonnet

Marceline — ah ! ton con déborde,
Plus exsudant qu’un cheval mort.
D’amour pour toi, j’ai pris le mors ;
Aie donc un peu miséricorde !

Marceline, je ne démords
Pas, mais t’en supplie sans exorde :
Je veux vibrer en supercorde
Dans ta broussaille de blême or.

Oublie les oiseaux et les roses,
Et jouons à broute-minou,
À la main chaude, à je-t’arrose !

Ton Dieu pardonnera si nous
Tenons ta fente bien déclose
Pour y communier à genoux.

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Commentaires

  • C'est gentil, ça. Merci d'être passé, Monsieur Dieu !

  • Marceline préfère peut-être le vit au con et qu'un mâle entreprenant fourre sa tête entre ses cuisses. Si je peux t'arranger le coup, sublime Bella, je me dévouerai à jouer le troisième larron.

  • Hélas ! elle est décédée depuis 165 ans.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marceline_Desbordes-Valmore

  • Teu teu... on laisse Marcelline en dehors de tous ces ébats. Cette poétesse là est de chez nous.
    Meline et moi veillons sur notre patrimoine. Sourire.

  • J'aime beaucoup les poèmes de Marceline. Beaucoup sont d'une grande ferveur amoureuse ou religieuse, presque érotiques au fond.

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