Mon con nu mes seins brandis
Reins hanches toujours par paires
Pour ces fruits que j’ai grandis
Au long de mes ans pubères
En moi rien ne délibère
À ton vit qui me fendit
J’offre tout ce que j’ai dit
Prometteuse de suçons
Vois-tu cette humide lippe
Et surtout entends-tu son
Franc désir tu es son type
Nul besoin que tu la chipes
Point ne nous embarrassons
Je t’offre tout sans façon
Mon corps semble avoir muté
Se faisant l’humble appendice
De tes âpres volontés
Fesses ventre bouche ou cuisses
Qu’aucun doute ne s’immisce
Veux-tu chair à culbuter
J’offre tout sans discuter
Sans façon
Catégories : Heptasyllabes (7)
Commentaires
Rico, il écrit : "Bella, c'est le top ! Surtout son petit bleu pâle." En réponse à Bashung qui demande si "tu tapines Hambourg", je réponds : "J'suis en rut à Baga". Ca n'a aucun sens ? Si, un sens inique. C'est mort. Circulez, y a rien à boire.
Le bi, quand même.
Il a dit ça, Rico ? C'est gentil. J'ai même un bottom qui devient bleu aussi lorsqu'on le fesse assez longtemps.
Un peu qu'il a écrit ça pas . Allez y donc zyeuter son blogue. Sinon, j'suis pas trop fesseur. Ca m'excite pas. Les goûts et les couleurs... En revanche, le martinet, le fouet, les godes mastards qui écartèlent, ah, ça ouais !
En homme moderne, il vous faut des outils. :D
Moderne, moi ! Parrain, Mukélé, Dimitri et Dorothea se fendent la pêche ! Fâché avec la technique que je suis, madame. Ancien légionnaire, je suis capable de dézinguer un zigue d'un coup de coude ou en l'étranglant. Seulement, je préfère le surin. Si vous voyez le regard étonné d'un mecton planté dans le foie, c'est extraordinaire. Je m'en lasse pas.
Y a bien le fist fucking anal, mais rares sont celles qui aiment qu'un bras tout entier les farfouillent. Sans parler qu'il ressort parfois brenneux, et la merde, c'est pas mon truc.
Le bi, baveux, chère Bella.
Et les "godes mastards" que vous évoquiez, alors ? Taillés dans une défense de mammouth ?
Bella, vous cherchez quoi ? Mézigue ou des poux sur la tête d'un chauve ? Répondez pas "les deux" : je me lave deux fois par semaine la chevelure, j'suis donc point chauve. Apparemment, vous connaissez pas les godes mastards ? Ca m'étonne de vous. Mon bras, il est plus long, un mètre environ, que large. Les godes mastards, long d'environ soixante-dix centimètres et pouvant s'élargir jusqu'à plus d'un mètre, sont fabriqués par un vieil artisan du bas-Oubaguin, un pote du temps qu'avec Parrain et Mukélé, on étaient mercenaires. Vous imaginer avoir un truc de ce calibre dans la chagatte ? Quand on l'enlève, un mecton peut utiliser sa tronche à la place de sa pine. Dans le fion, c'est un truc qui éclate les sphincters, dilate le fondement et oblige à porter des couches-culottes jusqu'à la fin de sa vie. Maintenant, si vous rétorquez que vous connaissez plus gros, faut le prouver, faut mettre des photos sur votre site qui en manque. Pour le coup, femme de mauvaise foi, je vous vois venir. Vous vous cherchez les coups de fouet, têtue et maso que vous êtes.