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Alexandrins (12 pieds) - Page 4

  • L'âme au bord du cul

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Chanson, Octosyllabes (8)

          Pour Anne Archet
    À chanter entre copines...
     
    (Prologue : lent et méditatif)
    Un soir d'ennui dans ce couvent si respectable
    La pieuse femme ayant la haute main sur tout
    Ôta soudain sa bure et son string à troutrous
    Pour sauter nue au beau milieu de notre table
     
    (Vif et joyeux)
    L'abbesse a voulu qu'on la baise
    J'ai dit Le Seigneur nous verra
    Elle a fait Tant pis, foutez-moi !
    Depuis trop longtemps ça me pèse

    L'abbesse avoua Mes jolies nonnes
    J'ai prié durant quarante ans
    Sans que jamais, ni par devant
    Ni par derrière, on ne m'enconne
    Ni par derrière, on ne m'enconne

          (Refrain : en contrechants SVP)
          Alléluia, Seigneur Jésus !
          Nous avons l'âme au bord du cul

    Il faut ce soir, à quatre pattes
    Me témoigner, mes bonnes sœurs
    L'étendue de votre ferveur
    À coups de langue sur la chatte

    Je veux aussi, c'est nécessaire
    De profonds cierges dans le cul
    Qui me feront jaillir le jus
    Et sortir l'âme à la lumière
    Et sortir l'âme à la lumière

          Alléluia, Seigneur Jésus !
          Nous avons l'âme au bord du cul

    À vous je m'offre en sacrifice
    Ainsi que fit le Fils de Dieu
    Voyez comme il sourit radieux
    Sitôt qu'on cultive le vice

    Puis elle hurla Ah ! mes salopes
    Martyrisez mes doux tétons !
    Je vais passer le mur du con
    Et gicler — que quelqu'une écope !
    Et gicler — que quelqu'une écope !

          Alléluia, Seigneur Jésus !
          Nous avons l'âme au bord du cul

    L'abbesse a voulu qu'on la nique
    C'est naturel, nous lui devons
    Obéissance et dévotion
    Quoique nous manquions de pratique

    L'abbesse a voulu qu'on la baise
    Puisqu'il le faut, jouons le jeu
    Je suis amour, mais disons-le
    C'était pas prévu à la base
    C'était pas prévu à la base

          Alléluia, Seigneur Jésus !
          Nous avons l'âme au bord du cul
          Alléluia, Seigneur Jésus !
          Nous avons l'âme au bord du cul
          Ô gué !
     
     
    Sans Anne, je n’aurais sans doute jamais osé écrire (et encore moins mettre en ligne) le dixième de toutes ces joyeuses cochonneries. Bises à elle.
    https://poesie.sale/
    https://archet.net/
    http://www.poesie-erotique.net/index.php/1518-archet-anne
     

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  • Sucre d'orge

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Je prenais ton vit dans ma bouche et le buvais
    Tel qu’il se lovait là, au creux de crins louvets
     
    Quand ma langue en douceur te régalait la hampe
    En y vagabondant, moite bête qui rampe
    Toi, tu t’abandonnais, tout frissonnant, les yeux
    Mi-clos, le gosier sec, les doigts dans mes cheveux
     
    Décalottant ton bout, j’y crachais une tonne
    D’incandescente écume, et voici : l’heure sonne
    Où tu deviens un ver tortillant sur le lit
    Ahanant : « Je t’en prie… » et « Mmmm… » et « Oui… oh oui ! »
     
    Et puis lâchant d’un jet ton plaisir dans ma gorge
    Tu étais mon bonbon, mon joli sucre d’orge
    Je prenais ton vit dans ma bouche et le buvais
    Le jour naissait, léger comme un vol de duvet…
     

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  • Amours contrariées

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Dissyllabe (2)

    Fille de l'air et de la langue, ô, défendue
                                                                 Fendue
    Ainsi qu'une autre, au demeurant, charmant décor
                                                                                 Des corps
    Même le vent voulait la voir, même les pierres
                                                                          L'épièrent
    Même les dieux : elle était cible à ses dépens
                                                                      Des Pan
     

    Tous, hagards, haletant, paupière enamourée
                                                                      Mouraient
    Pour une caresse, un regard, pour un bécot
                                                                    D'Echo
    Tous lui parlaient d'amour, tous la valorisaient
                                                                        Risée
    Du seul Narcisse qui prisait bien peu le con
                                                                     Le con !

     

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  • La toison, dehors !

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Ma brousse prolifère — ah ! défrichons gaiement,
    Soyons lisse ainsi qu'une joue de politique ;
    Mon mont se mirera aux lorgnons de l'amant
    Et lui fera de l'œil et raidira la trique.
     
    La vulve prépubère est in en ce moment ;
    Monsieur se sent jeunir, car mon con communique
    Au plan subliminal avec son inconscient :
    Il croit voir une enfant là où la vieille nique.
     
    Mais prudence ! mesure ! Usons à bon escient
    De ce truc, sans couper la branche, en la sciant,
    Où nous aimons percher en postures lubriques.
     
    La chose veut qu'on la rafraîchisse, s'entend,
    Qu'on en dégage les plages roses, la crique
    Au frai tout frétillant d'anguilles électriques.
     

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  • Quand ça veut pas… (poème subliminal)

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Sur Hercule j'avais pensé faire un sonnet ;
    Vous savez, l'impétueux amant qu'eut la farouche
    Omphale, la Lydienne — un sujet qui me touche
    Et fait battre mon cœur, mais ça n'a rien donné.

    Hélas ! — gros hic — en culture antique je flanche ;
    Quoique bonne en culasses et questions pour les mecs,
    Onc ne vis mes élans culminer chez les Grecs,
    Et me voilà face à l'affreuse page blanche.

    Certes il est évident qu'ululer long et fort
    N'y changera rien, la rime fuit, j'en arrive
    A ce point, même, à présent, qu'ulcérée à mort,

    J'ai des douleurs au bide — ah ! Muse, tu me prives !
    Bah ! foin de ce que diront les gens (culot mer-
    Veilleux !), sur ce héros pas moyen que j'écrive.

     

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  • Soifs

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Au droit de son pertuis, je guettais que les jus
    Vinssent en ruisselets se perdre dans ma gueule ;
    Sans être pourtant des plus proprettes que j'eues,
    Mona fleurait bon la luxure et le tilleul.

    Avec d'autres j'ai joué, j'ai cherché l'épissure,
    Rabouté mille joints, bouté aux feux de joie,
    Pour terminer toujours à genoux, en lieu sûr,
    Buvant le blond mucus dédaigné des bourgeois.

    Fontaine, ô ! de ton eau ne fus moi-même avare,
    Attendu que plus d'une amante ou que d'un homme
    Sut trouver le robinet de mon samovar
    Et se refaire un plein de soufre et d'ammonium.

     

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  • Zone

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    J'ai brouté des gazons où vivait une faune
    De harengs en cavale assez peu délicats
    Causeuses défoncées meubles en formica
    Les couteaux s'étranglaient dans les cris de la zone
    Et partout rôdait âpre une vapeur d'ozone
    Sous les horizons gris et luisant de mica

     

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  • Le cul, ça ne ment pas

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

    Avec amour et sentiment, avec tendresse
    Il suce un doigt, puis le faufile entre mes fesses
          Cherchant la trouble vérité
          Des élixirs qu'il a jutés
    Avec ardeur, tout droit dedans, avec adresse

     

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  • L’orgueil puni (pièce morale)

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Daphné, sublime dinde, ô fille du Pénée,
    Toi qui fermas au dard du radieux Apollon
    Ce grâce auquel humains et dieux nous affolons —
    Ton dédain malvenu, combien j'en suis peinée !

    Il te pria d'amour, tu Lui tournas le cul ;
    Fallait-il que tu sois ingrate et péronnelle
    Pour exclure que la Lumière universelle
    Entre et fasse briller ton petit con têtu !

    Te voici arbrisseau, c'est bien fait pour ta pomme ;
    Tu trônes au front des fats et des généraux ;
    Il aurait mieux valu que l'Ardent te dégomme.

    Que s'abîme le Temps aux gouffres sidéraux,
    Oncques ne connaîtras le petit bout de l'homme,
    Ni les autres menus bonheurs collatéraux.

     

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  • Sorcier

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Tes yeux sont la tempête et jusqu'au fond me percent


    Il suffit par hasard qu'ils effleurent ma peau
    Pour qu'éclate en silence une secrète averse


    Que serait-ce si je t'aimais ? Tu n'es pas beau
    Tu as le front étroit et les lèvres qui gercent
    Ne viens pas me toucher ou je crie aussitôt !


    Un seul geste et je fuis, oh ! je dresse la herse
    Me replie apeurée au sein de mon château
    Quel est ce charme affreux que sur moi tu exerces
    Qui lève l'océan, fait bouillonner les flots ?


    Certainement tu peux, lointain comme la Perse
    Voir sous mes vêtements, fendre le calicot
    Et cela sans bouger — Des vents fous me traversent
    Tremblant sous ton regard, je tire les rideaux
    Tes yeux sont la tempête et jusqu'au fond me percent

     

     

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  • Plaies et gosses

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Sonnet

    Ecartant la soie ocre, elle me la fit voir —
    Blessure à jamais vive ! Enchanteuse écrouelle
    Toujours masquée ! En pleurs, moi je voulus savoir :
    « Quel est ton mal, ô reine, ô Amfortas femelle ?

    — Appelle-moi Pandore ! Car j'ai, dans l'univers,
    Semé ces diables fiers, cette imbécile engeance
    Qui dévore tout, comme une invasion de vers,
    Et rit — effroyable — et sur les cadavres danse. »

    Tel ce roi qui se croyait un saint et, honteux,
    Baisait la plaie de l'humble — à genoux, je pris place
    Pour boire à un prodige aussi calamiteux.

    Ah ! menstruez, mes sœurs, afin qu'opprobre passe !
    Il y a sous la lune assez de mal. Ce feu
    Liquide me ravit... mais je reste fumasse.

     

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  • Sensuelle supplique

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Puisque je meurs, amis, je voudrais emporter
    Don de celles et ceux qui m'ont su rendre folle
    Un rien, un souvenir, peut-être une bricole
    Mais que je chérirai durant l'éternité

    Toi, Lise, offre-moi donc ces mains si délicieuses
    Sous lesquelles je suis morte cent fois déjà
    Si je me découvrais un con dans l'au-delà
    Jusqu'à la fin des temps je me rendrais heureuse

    Alberto, prête-moi de ta peau le velours
    Son musc fort et sauvage où je me suis roulée
    Des jours entiers — tu pesais, sublime coulée
    De soleil, sur mes seins — ô, prodigieux et lourd !

    Ma Josiane, je veux ta rose et fraîche fente
    Comment partir loin sans se munir de ce puits
    Dont l'eau douce peut murmurer toute la nuit
    Et vous enivre, mais vous rend toute-puissante ?

    Vassilissa, tes seins pointus sont sans pareils
    Je les tèterai pour toujours à pleine bouche
    Telle une enfant têtue, assoiffée et farouche
    Chérie, il me les faut pour mon dernier sommeil

    D'Yves, je prends ce bout de langue sans faiblesse
    Qui souvent suçota la mienne avec ardeur
    Caressa tous mes plis d'une humide chaleur
    Et s'aventura même au profond de mes fesses

    D'Ahmed, la bite, oh ! oui, la pine, évidemment
    Laissez-la-moi, si vous m'aimez, chacun, chacune !
    Elle est des rares pour qui je hurle à la lune
    Et qui, en même temps, m'emplit de sentiment

    Si vous m'accordez ces présents, je meurs tranquille
    Sûre de ne pas m'ennuyer en mon caveau
    Avec un tel trésor d'amour entre les os
    Je me moque à jamais de la mort imbécile

     

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  • Echec à la carogne

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Jocelyn Witz

    Lorsque j'avais quinze ans pour moi la grande affaire
    Etait que l'on me foute avant que soit foutu
    Cet appétissant petit lot de bonne chère
    Qui gésirait bientôt froid et tout décousu
    Sous quelques fausses fleurs au fond d'un cimetière

    O pathétique enfant au regard brisé net
    Par l'horizon bouché je courais à la bouche
    Et au nœud des garçons le soir de cinq à sept
    Mangez-moi buvez-moi je me vautre et je couche
    Et me faites monter droit au ciel comme un jet

    Pour goûter au plus fort chacun de mes vertiges
    Je m'inventais des jeux des défis insensés
    Dévorer seule deux ou trois ou quatre tiges
    Pour moi seule les voir se tendre et puis danser
    Avant que soient perdus tous ces trésors vous dis-je

    Valsait le soutien-gorge et jaillissaient mes seins
    Sur les glands déjà durs coulissaient les prépuces
    Mon con prenait le chaud gémissant à dessein
    Je feignais la catin pour être baisée plus
    Et bourdonnait de mes amants le fol essaim

    La carogne bien sûr se foutait de ma gueule
    Au bout elle m'attend comme elle attend chacun
    Pour nous réduire en poudre avec ses dents de meule
    Mais je garde bon pied et le clin d'œil coquin
    Qui me fait aux rideaux ne grimper jamais seule

    Un poème qui tombe à pic, puisque cette chienne putride, figurez-vous, est la vedette de ma nouvelle « La Mort s'en va-t'en guerre », qui figure au sommaire du tout dernier numéro de Fantasy Art & Studies, paru ces jours-ci. Il s'agit d'une version drolatique du célèbre conte « La Mort marraine » (ou « La Mort comme parrain », selon les versions).
    Pour, au choix, acheter la revue ou la lire gratuitement en ligne, cliquer .

     

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  • Mon paradis sans flics

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Je suis nue, il est nu, tout peut recommencer
    Loin des jardins chelous et des vieux pas commodes
    Interdit ce fruit-là ? Mon cul sur la commode
    Et pas la moindre boîte où mourir de danser

    Je suis nue, il est nu, ô chaleurs animales
    Déjà les bonobos ayant pigé le truc
    Se pompaient à tout-va pour en tirer le suc
    Je suis nue et déjà mon chéri se sent mâle

    Je suis nue, il est nu, la nature en fait loi
    Décrétons le cul nu in et obligatoire
    On votera au vu des seins, des génitoires
    Mon royaume pour un clito de bon aloi (*)

    Je suis nue, il est nu, recréons la bestiole
    A deux dos dont au poil s'emmanchent les machins
    Bien plus haut que les piafs, mieux que les haschischins
    On planera à coup d'obscènes cabrioles

    Je suis nue, il est nu — au cul les curetons
    Les empêcheurs de jouir, les larves, les lémures
    Antipornos gavés de tisane au bromure
    Accros de la cravate et du collet montant !

    Je suis nue, il est nu, des yeux on se dévore
    Puis des mains, de la bouche et du corps tout entier
    Pas besoin de visa, de fric ou de papiers
    On se fond l'un dans l'autre et on regarde éclore
    Le paradis sans flics où nul ne nous fait chier

    (*) Marine, si tu m'entends...

     

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  • Z

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Quatrain

    Beau cavalier toi qui surgis hors de l'ennui
    Viens au galop me labourer toutes les nuits
    Signer ton nom à la pointe de ton épée
    De fer et de brûlant velours enveloppée

     

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  • Y

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8), Quatrain

    A la croisée olé-olé des amoureux
           Je n'ai jamais su lequel prendre
           J'ai un faible pour les triangles
    Et les membres écartelés des jours heureux

     

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  • W

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Quatrain

    O double V de nos fourches entrelacées !
    Je la chevauche et danse autour de son bouton...
    Qui sait pourquoi lorsqu'elle et moi nous nous foutons
    Il faut pour jouir que je la sente encor glacée ?

     

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  • S

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Quatrain

    Serpent python boa sensuel anaconda
    Sans y penser me caressant tu me ficelles
    Ce souffle court sur mes fesses que tu sondas
    Insinue-le là où je sens que ça ruisselle

     

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  • N

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

    Ni dieux ni djinns nous ne naissons que pour niquer
    A la levrette à la barbare au tourniquet
          C'est pourquoi souvent je propose
          Une baise avant toute chose
    A trois ou quatre ça n'est pas contre-indiqué

     

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  • M

    Catégories : Alexandrins (12 pieds)

    Aime une femme ouvre-la muette à l'inconnu
    Qu'un mot de toi qu'un murmure la mette à nu
    Que ton désir de dominer la laisse exsangue
    Aime une femme ô mange-la par le menu
    Avec ton membre avec ta faim avec ta langue

     

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