Le parfum de la dame en rut (17/04/2023)
Ô cons je vous renifle à travers les culottes
À vingt pas dans la rue je capte vos fumets
Restes de mouille chaude où mon âme gougnotte
Se sent la motte en feu et les sens allumés
Je veux des culs daubant des moules qui rougnottent
Bannissez vos déos vos savons parfumés
Ouvrez-moi des compas fleurant bon le coyote
Qui trahissent le foutre et la baise assumés
10:39 | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Bigre ! Quel odorat ! Si votre goût, gente Bella, est aussi développé, les chiens policiers et autres setters peuvent faire coucouch' panier.
Écrit par : Parrain | 17/04/2023
Tiens! les flics pourraient m'embaucher pour pister les criminelles en cavale... :D
Écrit par : Bella | 18/04/2023
Seulement, les criminelles ? Pas les malfrats ?
Écrit par : Parrain | 18/04/2023
Ah! c'est pas les mêmes effluves. Faudrait que je m'entraîne...
Écrit par : Bella | 18/04/2023
Mais tu ne te sens plus ?!
Sourire...
Ce poème sent bon pour ceux qui ont du flair ; plus tu te douches, moins je te touche ! ;)
Écrit par : François Intime | 25/04/2023
Et inversement?
Écrit par : Bella | 26/04/2023