Le désir durera longtemps
Toute l’histoire
Et nous aurons notre content
De délices tu peux me croire
Toujours je te ferai de l’œil
Et bouche humide
Te montrerai mon écureuil
Comme il sanglote et se sent vide
Toujours mes mains s’égareront
Dans ta culotte
À la recherche des marrons
Qu’en toute saison je tripote
Toujours je poserai le blanc
De mes canines
Sur tes mamelons sur ton gland
Afin que son luisant culmine
Toujours j’écouterai tes vœux
Et tes fantasmes
Accomplissant ce que tu veux
Et te donnant de beaux orgasmes
Toujours je serai le trottin
Auquel tu rêves
Dominatrice un peu putain
Pucelle ou princesse de Clèves
Toujours je jouerai sur ta peau
Des symphonies
Où l’on entendra le pipeau
S’égosiller à l’agonie
Toujours je serai sous le drap
La pire louve
Et toujours toujours tu voudras
Malgré tout que je te le prouve
Toujours tu auras beau tirer
Toutes mes cibles
Sans cesse je m’ingénierai
À te livrer les plus sensibles
Toujours je lècherai tes sucs
Même ta pisse
Tu vois je connais tous les trucs
Et m’en sers au moment propice
Oui le désir durera tant
Qu’au bout du compte
Nous aurons vécu nous foutant
Quand les fous et les cons s’affrontent
Quadrisyllabes (4) - Page 5
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Quand les fous s’affrontent
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4) -
Pas de quartier
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Je suis à moi-même une amante
Sans vergogne ni sans pitié
Mes doigts ne font pas de quartier
Ils me tourmentent
Je me viole et m’entends crier
Car seule à seule avec ma fente
J’aime par-dessus tout méchante
La rudoyer
La cingler de coups de ceinture
Comptant quelquefois jusqu’à cent
Je jouis de voir couler le sang
Des écorchures
M’enfoncer des godes puissants
Qui me mettent à la torture
Les retourner dans la blessure
En gémissant
Laisser perler d’ardentes gouttes
Sur mon si délicat clito
Où la cire forme bientôt
Comme une croûte
Mordre de pinces et de crocs
D’acier mes lèvres en déroute
Pendant qu’en même temps me foutent
Deux beaux vibros
Oui je m’adonne à des souffrances
Dont beaucoup semblent s’étonner
Mais nul homme ne m’a donné
Tant de jouissance -
L’Ève éventuelle
Catégories : Heptasyllabes (7), Quadrisyllabes (4)Il se peut que parler d’elle
Suffise pour qu’étincelle
Une lueur dans le noir
De ton regard
Il se peut qu’à voir sourire
Son visage tu transpires
Sa bouche est un hameçon
À sa façon
Il se peut que ses bras bougent
Déroulant des tapis rouges
Égarant tes sentiments
Pour un moment
Nul doute que sa venue
Te donne envie d’être nue
Nichée au creux de ses seins
Comme un coussin
Il se peut que sous la douche
Tu l’aies vue la fine mouche
Et que tu vives depuis
Au bas d’un puits
Je prévois que tu tremblotes
À évoquer sa culotte
Et que tu claques des dents
À voir dedans
Il se peut qu’à son écoute
Tu sentes les eaux qui gouttent
Tel enfin un glacier fond
Là tout au fond ?
Il se peut bien que ses hanches
Te fassent devenir blanche
Qui baladent sous ton nez
La vahiné
Il se peut que son œil d’oie
À supposer qu’il te voie
Jette un miel incandescent
Dans tout ton sang
Souvent il se pourrait même
Que tu te dises je l’aime
Toi qui pourtant ne vécus
Que pour le cul
Il se peut oui c’est possible
Que ton cœur ait pris pour cible
Une mangeuse d’amants
Pauvre maman ! -
Entre eux deux
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Entre le marteau et l’enclume
Plus tu la pilonneras fort
Plus j’aspire la blanche écume
De vos efforts
Entre le marteau et l’enclume
La jalousie m’a mise bas
Dans cet entre-deux qui résume
Nos vieux débats
Fais-lui gicler les étincelles
À cette levrette impucelle
Martèle autant que de besoin
Sous le cuisant de ta mailloche
Qu’elle s’embrase et s’effiloche
Je m’occupe des premiers soins
Entre le marteau et l’enclume
Tant pis si ça semble indécent
Cette attitude je l’assume
À cent pour cent
Entre le marteau et l’enclume
J’attise pour alimenter
Le feu par des baisers de plume
Aux excités
Entre le marteau et l’enclume
À lèche-culs s’entrefoutant
Je lubrifie sans amertume
En y goûtant
Cogne mon furieux pine et pousse
Que votre plaisir m’éclabousse
Je suis là quoi que vous fassiez
Forge et travaille dans la masse
J’aurai sa soupe à la grimace
Et la trempe de ton acier
Entre le marteau et l’enclume
La chaleur est montée d’un cran
Manquerait plus que je m’enrhume
Quand tu la prends
Entre le marteau et l’enclume
En entendant jouir ta putain
Voici : mes sens aussi s’allument
Je m’incruste là où ça fume
Entre le marteau et l’enclume
Jusqu’au matin -
Souvenir lancinant
Catégories : Décasyllabes (10), Quadrisyllabes (4)D’où vient ce goût de sexe errant la nuit
À qui ce con qui se soulève et miaule
Est-ce ton souvenir dans cette piaule
Qui me poursuit
La soie me gonfle et j’implore une bite
Pour me punir de ne pas t’oublier
J’aimais ta gueule âpre de sanglier
Fouissant son gîte
Comment vivre depuis que nos deux corps
Ne se broient plus sur ces tapis de laine
Je ne dors plus sans m’être à perdre haleine
Branlée d’abord
Même parti je reste ton esclave
Quelle loi, quel interdit ai-je enfreint
Pour que ce cri — mon cri — monte sans frein
De tant d’octaves
Dormir enfin pour cesser de gémir
Pour assécher les débords de ma fente
Dormir, mourir — que mes failles s’inventent
D’autres désirs
Mon cul te rêvera avant l’aurore
Mouillant sans honte ô profond comme un puits
D’où vient ce goût de sexe chaque nuit
Qui rôde encore -
Face au néant
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)La mort s'en vient, la mort s'en vient !Fini l'orgie, fini la fêteAdieu le foutre et les levrettesJ'aperçois son museau de chienLa mort s'en vientHier pourtant je me souviensJ'avais douze ans j'étais pucellePas pour longtemps : une étincelleReluit un instant puis s'éteintLa mort s'en vientDès que je sus ce que contientMon cul j'en offris à la rondeIl reste que la terre est rondeQu'au bout de nos pas on revientLa mort s'en vientAux jeux de l'appareil pubienJe devins tôt des plus adroitesMe dessapant sans cesse, moiteOuverte même à des vauriensLa mort s'en vientJe connus de tout : des IndiensDes Wisigoths, des EsquimaudesFace au néant qui partout rôdeMinou me fut un vrai soutienLa mort s'en vientSi elle approche je maintiensQue tout condamné qu'elle étripeA droit à son ultime pipeC'est un usage assez ancienLa mort s'en vientBah ! la garce au calme olympienMe rend amer le jus de triqueLa mort est anti-érotique !Je l'ai jamais gênée ni rienLa mort s'en vientSeigneur Jésus je t'aime bienPrête-moi la vie éternelleJ'irai à toi à tire-d'aileEt tous mes attraits seront tiensLa mort s'en vientOh ! et puis que la mort s'en vienne !Nos présents foutus pour foutusVivons-les plutôt dévêtusEt la pestilentielle chienneL'aura dans l'cul ! -
Le rabbin et la galopine
Catégories : Jocelyn Witz, Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Un soir de cuite un vieux rabbinMarchant droit dans un colombinEn fit une meuf en maillot d'bainDrôle de turbinSans attendre la galopinePond des bambins et des bambinesFleurant l'anus et la pralineSacrée lapineÇa tourne vite à l'eau d'boudinSurtout pour la femme du rabbinQui rejoindra les chérubinsSi tout va bienPour les autres aussi ça dérailleLe rabbin se cherche des ouaillesEn pataugeant dans la mouscailleVaille que vaille -
Charmes lubriques
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Sorcière enfile ton balaiPar où le diableT'apprit naguère à l'enfilerLors des sabbats inoubliablesQu'importe s'il est déjà tardEt si tu doutesSouffle aux tisons de ton regardEnvoûte afin que l'on te fouteTes mains connaissent tous les toursDe passe-passeSataniques dames d'atoursAussi griffues que des rapacesTes seins rêvent d'anciens matinsOù rose nacreIls racolaient un peu putainsCollet occulte aux sueurs âcresTa chatte noire vire au grisDe froide cendreQui rend aussi raide qu'aigriCe familier jadis si tendreGrisés de philtres et brouetsTu te rappellesComme les amants s'ébrouaientEn pénétrant dans ta chapelleTon vieux con se déchire uséPlus que ton âmeCe corps jamais ne sut ruserComme l'amour il n'est que flammeSurvole une dernière foisLa pine humaineEt que ta démoniaque foiDresse ce soir des troncs de chêneC'est une nuit à hurler desCharmes lubriquesUne nuit à jeter les désForcer le sort à coups de triqueTu flambes haut lorsque tu jouisTu es si belleQue Dieu lui-même songe ouiLe jeu en valait la chandelleSorcière enfile ton balaiPar où le diableT'apprit naguère à l'enfilerLors des sabbats inoubliables(+ une nouvelle érotique : https://www.atramenta.net/lire/je-suis-le-buveur-le-vin-et-lechanson/91570) -
L'invitation
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Ma fente est éclose pour toiVieux réflexeElle n'attend plus que tes doigtsOu que ton sexeTon regard déjà lui suffitPour être humideQuoiqu'elle te mette au défiTu l'intimidesVois-tu comme je l'ouvre grandEt toute rose ?Entends-tu le désir flagrantQue ça suppose ?Je peux même me la frotterComme une bêteM'aimer d'un amour effrontéSi tu le souhaitesMais nous préférons quand c'est toiQui la contentesEn fourrant ta pine ou tes doigtsDans cette fente -
Emeth
Catégories : Jocelyn Witz, Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)J'me suis toquée d'un bloc d'argileUn gars solide un vrai totemMême qu'on en parle dans l'ÉvangileDe mon golemLa morale oh bah j'la transgresseÀ moi toute seule j'suis son haremSa belle esclave et sa maîtresseÀ mon golemC'est lui d'abord qui m'a séduiteJ'ai pensé merde carpe diemEt pis tant pis si ça s'ébruiteDans l'HLMJ'suis en amour avec une bêteDe sexe aux doigts plus gros qu'un nemQu'il me les glisse et j'perds la têteEt lui idemEffacez pas son nom magiqueÇa s'rait la fin d'mon vieux golemJ'en gémirais longtemps tragiqueDes requiemsJ'ai dans la peau un type en glaiseUn géant genre le grand sachemAu burlingue haut comme une falaiseC'est mon golemPetit poème illustrant la nouvelle érotico-fantastique "L'amant de Jessica" que je mets en lecture libre ici : https://www.atramenta.net/lire/lamant-de-jessica/91422.Comme j'ai sous le coude un tas d'autres textes du même tonneau, j'avais soumis à mon éditeur (https://www.nco-editions.fr) un projet de recueil, mais ça ne l'intéresse pas : il semblerait que ce genre de littérature soit difficile à placer en librairie. Vous n'aurez donc pas le plaisir de donner des sous pour lire ces histoires cochonnes, que je mettrai petit à petit sous Atramenta. -
Tour d'horizon
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Je dis l'amour pâle et fragileBonheur sans cesse menacéAux cœurs morts ou chargés de bileCadenassésJe dis le sexe au goût d'épicesQui réveille l'homme endormiPar une absurde et peu propiceVie de fourmiJe dis ma bouche est avenanteVenez donc vous y inviterPour savourer à gorgées lentesL'éternitéJe dis mes seins imperturbablesDroits comme papes au sénatMais au beau milieu de la tableUn fruit grenatJe dis mon ventre où d'aucuns entrentEt sortent comme en un moulinDe toute façon c'est vous l'AutreOu c'est nous l'UnJe dis mes fesses ô mes fessesSi leur nom je n'ai jamais suQue comme moi vos chairs épaissesS'assoient dessusJe dis la blondeur de mes cuissesMenant au chaud des culs-de-sacPlaine où dégouline en coulisseL'eau de mes lacsJe dis mon trou du cul farouchePétomane et ensulfuréPlus sale encore que la boucheD'un vieux curéJe dis ma chatoune vermeilleMon chakra ample et jamais secMon con mon fauve ma merveilleMon piège à mecsMon piège à mecs... -
Dispo
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Chacun me prend comme il le souhaiteSans amour sans prise de têteC'est gratuitement qu'on m'achèteChacun me prendChacun me prend lorsque vient l'heureDu désir fou ou que l'effleureQuelque démangeaison mineureChacun me prendChacun me prend par où ses vicesOu son caprice le saisissentTout est là bouche con seins cuissesChacun me prendChacun me prend à dix reprisesOu bien cent si mon cul le griseTant qu'il en ressent la surpriseChacun me prendChacun me prend comme on s'empareD'un siège dans un hall de gareD'un joli coin où l'on s'égareChacun me prendChacun me prend où je me trouveSelon son gré sitôt je m'ouvrePeu importe ce que j'éprouveChacun me prendChacun me prend la main la fenteLe cœur ou ce qui se présentePoint n'est besoin que l'on se menteChacun me prendChacun me prend et moi je passeDe jouir en jouir plaisirs fugacesSachez si vous êtes en chasseChacun me prend -
Après la partie de campagne
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Pauvre connin qui fus tiréPlus qu'à ton tourCe pelage qui attiraitL'œil et te valait chasse à courLe voici poisseux et gluantEt tu gis là vide sans glandÉcartelé transi d'amourLa meute t'a laissé gisantParmi l'humide et frais labourPauvre connin qui fus tiréPlus qu'à ton tourLe réveil est dur on dirait... -
Aux filles furieuses
Catégories : Décasyllabes (10), Quadrisyllabes (4)Ode à toi ô ouvreuse et découvreuseDe nos trous noirsPerceuse en force de nos entonnoirsBénie entre toutes les enculeusesEn baisant tes genoux j'ai bon espoirPour mon derrièreDéesse godée entends ma prièreViens-t'en me le saillir en grand douloirCeinte du cuir de la sous-ventrièrePortant jacquotFends et laboure en ahans radicauxMon aspirante et humble soufrièreJe n'expose le cul désormais qu'auxFilles furieusesTelles que toi ouvreuse et découvreuseDe ce besoin au fond de moi éclos -
Cueillez la fleur
Catégories : Décasyllabes (10), Hexasyllabes (6), Quadrisyllabes (4)Hissez haut les rouleurs de mécaniquesLa blanche humeurAu mat télescopiqueFier étendard aux couleurs de la niqueÀ jamais je suivrai votre panachePauvre de cœurJ'ai le con qui s'attacheIl convient qu'on se le dise et le sacheHardi petits sur ma raison de vivreCueillez la fleurAvant qu'entre le givreEt l'entraîne où vous ne pourrez la suivreMâles béliers n'attendez pas décembreEn douce sœurJe vous ouvre la chambreSecrète à vous d'y étirer vos membresPuisse y fuser le remède alchimiqueVotre liqueurÔ les jus de la triqueHissez-les haut rouleurs de mécaniques -
La mignonne
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Sally aux blancs nichons pointusToujours raides jamais vêtusQu'importe l'heureDe quelle étoile venais-tuCouleur de miels blonds et de beurreTon curieux cœur éparpilléPas plus épais que le papierÀ cigaretteJe dus afin de le plierNous verser les vins qui entêtentChanter ivre les airs anciensPisser debout devenir chienOu éléphantePour qu'à la fin tu fasses tienLe satin fleuri de ma fenteTon plaisir colère ouraganJe l'affrontais en naviguantSouvent à vueNous ne prenions guère de gantsSi vulve en fut jamais pourvueSally tes lèvres au réveilMontraient les dents mais sur le seuilDe toi personneDe quelle étoile ou quel soleilSally venais-tu ma mignonne -
Pour du beurre
Catégories : Décasyllabes (10), Hexasyllabes (6), Quadrisyllabes (4)Sur le mont d'Isabeau coulait le spermeEt nos amoursTant de choses en germeRudes loquets au cœur qui se refermentViennent l'ennui les chaleursMoi je comptais pour du beurreTes seins dans les miens tu restais de glaceSachant qu'au culD'autres mains me remplacentViriles pour te brosser la chagasseViennent l'ennui les chaleursMoi je comptais pour du beurreÀ ta santé à tes amours fuyantesÀ la santéDe ceux qui te la plantentJe resterai ta meilleure clienteViennent l'ennui les chaleursMoi je comptais pour du beurreAprès soudards ivres nigauds en permeLécher sa peauFolle amie à long termeSur le mont d'Isabeau coulait le spermeViennent l'ennui les chaleursMoi je comptais pour du beurre -
Où l’on apprend enfin la vérité sur le sexe des anges
Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Michel avait un coton-tigePour tout enginFais voir ça de plus près, lui dis-jeIl voulut bienJ'aurais juré une chenilleUn trois fois rien qui se tortilleUn clitoris faisant la pigeÀ peine au mienJe l'ai sucé comme un réglisseEn me branlantLa choune avec du dentifriceC'était troublantSi troublant que je suis partieEt aussitôt par empathieMichel répand son jus de cuissesEntre mes dentsCe gonze avait un dérisoirePetit oiseauMais deux ailes luisantes, noiresCollées au dosIl les déploya en silenceS'envola dans l'azur immenseDepuis j'épie comme une poireQuand il fait beau -
Le trip trop mortel, quoi...
Catégories : Quadrisyllabes (4)Y a des acidesBizarroïdesDans le flaconD'Alicia WeadeCurieux liquideDe l'herbicide ?Trinquons, trinquonsÔ langue humide !Elle timideMoi impavideNous nous moquonsDe Mr WeadeFaut qu'on décideSon bulbe videDe pauvre conÀ un suicideY a trop de ridesEt de lipidesChez ce garçon(Regards torrides)Pan ! dans le bideAdieu John WeadeÀ moi le conDe Mrs Weade !Ça la dérideEnsemble avidesNous attaquonsDe nouveaux fluidesY a des acidesBizarroïdesDans son flaconPourtant candide... -
Icare est-ce moi ?
Catégories : Décasyllabes (10), Quadrisyllabes (4)Fondue d'Icare au ciel j'm'y carapate
Avec ou sans elle en toute saison
J'm'y carbonise au soleil la raison
A quatre pattesIcare ôté que reste-t-il au fond ?
Armstrong n'est qu'un cancrelat imbitable
Qui n'foulera jamais mon délectable
P'tit carafonDix caravelles ont bien moins de mérite
Que le tricard qui s'envola tout seul
Au risque oui de se casser la gueule
Et les duritesOh cela dit carburer pour ce gus
C'est grand'folie car sa jolie carrière
Tomba à l'eau le long des golfes clairs
Et terminusFondue d'Icare au ciel pourtant j'aspire
J'y caracole et fais mon fly-man-show
J'm'y carambole et c'est vrai qu'il fait chaud
Mais j'ai vu pire