Ode à toi ô ouvreuse et découvreuse
De nos trous noirs
Perceuse en force de nos entonnoirs
Bénie entre toutes les enculeuses
En baisant tes genoux j'ai bon espoir
Pour mon derrière
Déesse godée entends ma prière
Viens-t'en me le saillir en grand douloir
Ceinte du cuir de la sous-ventrière
Portant jacquot
Fends et laboure en ahans radicaux
Mon aspirante et humble soufrière
Je n'expose le cul désormais qu'aux
Filles furieuses
Telles que toi ouvreuse et découvreuse
De ce besoin au fond de moi éclos
Commentaires
Enculé par une dame harnachée d'un gode-ceinture, oui, mais sans douleurs.
Ah, t'es pas joueur !