La sirène (01/09/2025)

Non mais regardez-moi
La forcenée branleuse
L’ivre auto-amoureuse
Qui salive et se noie
Dans sa mouille écumeuse

Voyez voyez-moi donc
Ce que sa main fricote
Au sein de sa culotte
Ramonant sans pardon
Faisant gicler la flotte

Écoutez-moi crisser
Ces poils sous la luxure
Ça jouit je vous assure
Sans futur ni passé
Ça n’est plus que blessure

Tâtez-moi les tétons
Durs et longs qu’elle opprime
Rhaa ! qu’on l’impute à crime
Et qu’on foute un piston
Dans celle garce en prime

Oui oui regardez-moi
Me répandre en fontaines
Ô pinez la sirène
Qui vous met en émoi
Dans l’espoir qu’on la prenne

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