Vivante tu m’as si tant épousée
Qu’au dernier soir ô baise-moi encor
En jutant sur ma tombe la rosée
Larme de ton corps
Vivante tu te l’es si bien branlée
Dans mes pétales mes soies mes chaleurs
Que tu reviendras foutre souvent les
Couronnes de fleurs
Vivante tu me couvris de caresses
Toujours suivies du spasme vaginal
Pine une autre ô prends-la couchant ses fesses
Sur ce roc tombal
Vivante tu multipliais les verges
Reste raide et chauds souvenirs croissez
Tu draperas autour de belles vierges
Mon linceul froissé
Larme de ton corps
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