Saturday night viveurs (22/08/2024)
(Chanson gaie au rythme enlevé)
Ah ! c’est le weekend et le soleil descend
Y a vraiment rien d’tel pour me remuer les sangs
Je sens que mon string est déjà tout humide
Dieu que ça m’démange il m’faudra du solide !
Heu-reu-se-ment…
C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
Tout’ la s’maine j’m’en lèche les babines
C’est l’sam’di soir après l’turbin
J’ai même pas l’temps de prendre un bain
C’est l’sam’di soir qu’il m’fout la zone
En me r’tournant comme une calzone
C’est l’sam’di soir qu’sa pine enfin me turlupine
Mais l’heure tourne et je ne le vois pas venir
Quelque chose a dû je crois le retenir
La chatoune en pleurs j’téléphone aux urgences
Pour expliquer à la fille des ambulances
Qu’nor-ma-le-ment…
C’est l’sam’di soir qu’il me turbine
Un costaud avec une Alpine
C’est l’sam’di soir qu’il m’démolit
Le cul en m’clouant sur le lit
C’est l’sam’di soir qu’il me la broute
Puis me r’baise un coup pour la route
C’est l’sam’di soir que j’suis sa meuf et sa lapine
Ô nuit solitaire ! mais dès le lendemain
J’apprends tout d’la panne qu’il a eue en chemin
Et pour excuser ces heures d’incertitude
Il m’dit on va changer nos p’tites habitudes
Do-ré-na-vant…
L’dimanche matin j’te turlupine
Ah ! pas question que tu t’débines
L’dimanche matin j’te la remplis
Et y aura plus jamais d’oublis
L’dimanche matin j’te déshabille
Pis j’fourbis jusqu’à c’que ça brille
L’dimanche matin désormais j’cherche après Titine
L’dimanche matin il m’plante l’épine
Tout’ la s’maine j’rêve à sa grosse pine
L’dimanche matin il m’jette un sort
Qui fait que j’m’ouvre tel un ressort
L’dimanche matin il me débloque
La chatte à coups d’électrochocs
L’dimanche matin il m’joue l’enlèv’ment des Sabines
L’dimanche matin il me turbine
(ad lib.)
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