Petite figue de nana que le braquemard rasa
Petit bijou de gouine, ô baba nu sous la nuisette
Aucun besoin de blabla, cherchons pas le pourquoi
Rien qu’à l’idée de lécher là-bas, moi je fais risette
Wohoho !
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ouvre-toi, fais pas ta coquette
Baise avec moi !
Je te boufferai sur la moquette
Il n’existe pas d’autre loi
Que la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Voilà que tu, l’œil hagard, t’es collée contre moi
Tout excitée des ardents regards que je te projette
J’ai ta fêlure dans la peau, des fourmis dans les doigts
Ta zizette là, c’est comme un drapeau, comme une épuisette
Wohoho !
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
Y compris tes relents de bête
Baise avec moi !
Tu vois bien, le désir nous guette
Et comme d’hab on ne résiste pas
À la zizette
Je te veux si tu veux de moi
(Solo de trompette bouchée…)
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ô moniche, ô ma sanisette
Baise avec moi !
Tapons-nous une super minette
Sans un mec pour nous briser les noix
Ah ! la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
(ad lib.)
Sur l’air de « L’Aziza » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=lHjJlSq3BhA
Chanson - Page 2
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La zizette
Catégories : Chanson -
Ta pine !
Catégories : Chanson(Envoyez les violons...)
J’avais écarté
Bien les cuisses
Pour que tu puisses
M’empapaouter
Bref on allait
Se mettre à table
Quand ton portable
Chanta son couplet
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai mouillé, mouillé-é
Oh ! mouillé comme une chienne
Quand vers minuit
T’as rejoint le plume
Ton beau volume
S’était enfui
Je t’ai grignoté
Sans trop y croire
Mais tes génitoires
Restaient prostrées
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai prié, prié-é
Vénus comme les païennes
Mes prévenances
Et mes doigts de fée
Faisaient leur effet
J’avais l’espérance
Que bien dirigé
Tu reprennes forme
Redeviennes énorme
Mais t’as éjaculé
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai branlé, branlé-é
Ma choune en vraie vaurienne
Et j’ai crié, crié-é
(ad lib.)
Sur l’air de « Aline » (Christophe)
https://www.youtube.com/watch?v=-E_Hyn53acA
-
Une vie de patachon
Catégories : ChansonVice, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai l’orifice
Qui bave comme un vieux cruchon
Agrippé à mes hanches un peu rondes
Tu faufiles ton andouille carmin
Et de l’air le plus vicieux du monde
Tu m’empales en un tournemain
Un tour de…
Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai les varices
Qui me remontent jusqu’aux nichons
Tu vois, depuis le premier jour qu’on s’aime
Frappée par ton énorme moyeu
Oubliant jusqu’à ton nom de baptême
Je t’ai dit les yeux dans les yeux
Serre-moi la…
Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai les écrevisses
Comme des rubis en cabochon
Je me demande pourquoi tu te retires
Après deux heures à peine c’est pas sympa
J’ai besoin plutôt qu’on me re-tire
Ton amour je ne m’en lasse pas
Mais tu t’en…
Fiches, ô mon vice, je t’en prie, de grâce
Prends-moi encore le bourrichon
Pour moi, mon vice, quoi que tu me fasses
C’est une vie de patachon
C’est une vie de patachon
Je te kiffe plus que le chichon
Reviens, reviens, mon gros cochon
C’est une vie de patachon
C’est une vie de patachon
(ad lib.)
Sur l’air de « Biche, oh ma biche » (Frank Alamo)
https://www.youtube.com/watch?v=skJr2fQtnNc -
Rééducation sentimentale
Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)Ce soir à la brune
J’irai sans rancune
Piner grand-maman
Cette fleur sauvage
Qui malgré son âge
Mouille abondamment
Je mettrai la liesse
En ses vieilles fesses
Et dans ses cheveux
Des flocons de jute
Car elle était pute
En mil neuf cent deux
C’est au crépuscule
Que souvent j’encule
Cette aïeule à cash
Espérant en douce
Qu’à trop de secousses
Son cœur usé lâche
Crevant pour la thune
Sa rondelle brune
Je songe à demain
Mémé dans sa tombe
Je ferai la bombe
Du soir au matin
Demain à l’aurore
Je foutrai encore
Son con tendrement
Baiserai sa bouche
Pour qu’elle me couche
Sur son testament
Dès lors riche à bloc
Oubliant la vioque
J’irai m’abreuver
À ces minaudantes
Juste adolescentes
Qui me font rêver
Sur l’air de « Éducation sentimentale » (Maxime Leforestier)
Paroles de Jean-Pierre Kernoa
https://www.youtube.com/watch?v=e3yTu7AFxnI -
Ça va comme ça !
Catégories : ChansonToi le vit que je n’ai jamais eu
Combien de moules et de culs
Nous aurions pu fourrer ensemble
Sitôt atteinte la puberté
On aurait gaiement culbuté
Toutes ces filles qui me ressemblent
J’aurais appris les doigts dans le nez
L’art tout viril et raffiné
D’agrandir les trous des moukères
Sûr qu’aussi on se serait fichu
Parfois dans un beau moustachu
Surveillant pas bien ses arrières
Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
Je veux la paire à mon derrière !
Être une fille, ça va comme ça !
Toi le vit que je n’ai jamais eu
Si tu savais ce que j’ai pu
Me ramoner en solitaire
Si tu ne m’avais pas fait défaut
J’aurais été bien moins nympho
Juste un don Juan très ordinaire
Si la vie s’était comportée mieux
Elle m’aurait procuré un nœud
En lieu de puits qui fait des flaques
J’aurais connu dans cet univers
De phallocrates et de pervers
Le bon côté de la matraque
Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
Je veux la paire à mon derrière !
Être une fille, ça va comme ça !
Toi le vit que je n’aurai jamais
Je suis moins seule d’avoir fait
Quelques emplettes hier en ligne
Je t’ai remplacé, tu me pardonnes
Par un dildo en silicone
Dont je régale mes copines
Sur l’air de « Mon frère » (Maxime Leforestier)
https://www.youtube.com/watch?v=dB5DXulZozU -
Les guiboles à Denise
Catégories : ChansonLaisse les guiboles à Denise
Va pas p’loter l’cul d’Élise
Sans ça je fais mes valises
Dès d’main matin
Reste loin des autres filles
Même si elles ont les yeux qui brillent
La plus belle, la plus gentille
C’est moi, crétin
Je t’ai bien vu les mater tout à l’heure
Ta queue frétillait déjà
Si tu veux me mettre de sale humeur
Wo-oh ! continue comme ça
Laisse les guiboles à Denise
Pas touche aux nichons d’Maryse
Sinon j’te jure j’pique une crise
À la maison
Ne t’approche pas d’mes copines
T’avise pas d’leur faire des mines
Ou alors gare à ta pine
Et tes roustons
On aurait jamais dû v’nir à cette fête
Chaque fois on dirait qu’tu mutes
Tu baves et transpires comme une bête
Un clebs en rut
Laisse les guiboles à Denise
(ad lib.)
Sur l’air de « Les gondoles à Venise » (Sheila et Ringo)
https://www.youtube.com/watch?v=jQyjEaoUPvg -
J’ai plaqué Rémi
Catégories : ChansonDonne-moi ta chatte et prends la mienne
Mets tes lèvres là, fais-moi des mimis
La nuit est à nous, vive les lesbiennes
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Laissons de côté tous nos problèmes
Je suis pas venu pour faire un rami
J’veux te voir à poil et lécher ta crème
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Donne-moi ta chatte et prends la mienne
Fous-y tous les doigts, sois ma bonne amie
À bas les machos à la mode ancienne
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Je vais sur mes soixante
J’ai des rides partout
Et d’la peau d’orange
T’es guère plus reluisante
Mais qu’est-ce que ça fout ?
Viens qu’on se mélange !
Donne-moi ta chatte et prends la mienne
Viens me la sucer, vois comme elle frémit
Mon cul t’appartient quoi qu’il advienne
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Fini les turlutes et le jus d’quéquette
Fini l’enculade et les infamies
Arrosons la chose en faisant minette
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Donne-moi ta chatte et prends la mienne
Broutons l’une l’autre nos anatomies
Avant qu’Aurélien ton mari revienne
Mais oui, mais oui, j’ai plaqué Rémi
Donne-moi ta chatte et prends la mienne
(ad lib.)
Sur l’air de « L’école est finie » (Sheila)
https://www.youtube.com/watch?v=sxr7Zpguz5w -
La dernière fente
Catégories : ChansonPlante le vit, plante
Comme si tu devais jaillir demain
Dure au moins jusqu’à minuit, minuit trente
Plante, oui, plante
Bourre-moi, laboure
Comme un voyou, comme un fou, comme un chien
Comme si c’était ta dernière fente
Plante, oui, plante
Tu peux m’le mettre où tu veux
Tu peux gicler quand tu veux
Mais pense à ma chagatte
Il faut qu’tu l’éclates
Et la mettes à sang à feu
Alors vas-y !
Plante le vit, plante
Comme si tu devais jaillir demain
Fais-moi reluire à pousser des gueulantes
Plante, oui, plante
Pine, ma praline
Sans oublier mon plaisir, nom d’un chien !
J’ai l’goût des raz-d’marée, des déferlantes
Plante, oui, plante
Et tu verras qu’à la maison
Je s’rai moins chiante et moins poison
J’veux perdre la tête
Crier par la f’nêtre
Qu’mon chéri me baise à fond
Alors vas-y !
Plante le vit, plante
Comme si tu devais jaillir demain
Jusqu’au petit matin joue-la plus lente
Plante, oui, plante
Sur l’air de « Chante la vie » (Michel Fugain et son gros bazar)
https://www.youtube.com/watch?v=508UYWk-y6A -
Petit écureuil
Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)Petit écureuil
Viens sur mes genoux
Que je voie ton œil
Quand tu entres en nous
Petit écureuil
Toi qui fais le fou
Je le sens ton œil
Lorsque tu nous fous
Je sens le panache
Du gland polisson
Qui fait cache-cache
Dans nos calissons
Petit écureuil etc.
Je vois ton prépuce
Qui frotte partout
Et tes sauts de puce
Nous piquent beaucoup
Petit écureuil etc.
Je sens tes noisettes
Qui pour nous défier
Mordent à la touchette
Nos cons tuméfiés
Petit écureuil etc.
Plus haut dans les cimes
Tu nous fais grimper
Quand ravie ta lime
Vient nous ramoner
Petit écureuil
Toi qui fais le fou
Je le sens ton œil
Lorsque tu nous fous
Petit écureuil
Ne fait plus le fou
Il a fermé l’œil
Et pleuré en nous -
À la pêche aux moules
Catégories : ChansonÀ la pêche aux moules moules moules
Je n’veux plus y aller maman
L’évent de la fille fille fille
Voulait plus m’lâcher maman
L’évent de la fille fille fille
Voulait plus m’lâcher maman
L’évent de la fille fille fille
Oh tu verrais ça maman
Ça t’aspire la quille quille quille
Et la gobe entièrement
Ça t’aspire la quille quille quille
Et la gobe entièrement
À la pêche aux moules moules moules
Je n’veux plus y aller maman
L’évent de la fille fille fille
C’est un carnassier maman
L’évent de la fille fille fille
Au fond ça m’fait chier maman -
Dame Câline
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Pentasyllabes (5)Vivait une dame Câline
À la motte de beurre frais
Se branlant souvent la praline
Sans cesser pourtant d’engouffrer
Ce qui l’enivrait
Les vits vrais de vrais
L’exquis salami
De ses bons amis
Elle épousa monsieur Crampette
Dont le nœud coiffé d’un beau gland
Mince et long comme une pipette
Dégouttait ce fromage blanc
Ce gloubiboulga
Cet alcool de gars
Ce savoureux miel
Acide essentiel
Leur fille, une belle gougnotte
D’âme libre et de cul poupin
Avait au fond de la culotte
Un volcan pas pour les copains
Elle aimait Elvire
Aude et Déjanire
Leur tendre abricot
Au goût tabasco
Le fluet prince Débandade
Mollement lui faisait la cour
Et reluquait en embuscade
La gouine aux violentes amours
Son petit oiseau
Faisait quelques sauts
Puis se rendormait
Oisif à jamais
Fou de rage il envoie sa troupe
De soudards et de cornichons
À l’assaut de toutes ces croupes
Rebondies et ces beaux nichons
Qu’elles soient violées
Et roulées-boulées
À coups de boutoirs
Au sein du boudoir
Mais voici que la fée Lesbosse
Déboulant de l’aéroport
Saute sur les reitres féroces
Et illico les change en porcs
On fit du boudin
De tous ces gredins
Et le prince aigri
S’enfuit en Hongrie -
J’ai descendu dans ton jardin
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)J’ai descendu dans ton jardin (bis)
Laper ta rosée du matin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Tirant sur ton slip en satin (bis)
J’y glissai mon nez libertin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Là juste sous ton poil blondin (bis)
S’ouvrait un antre incarnadin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Il était si doux, le gredin (bis)
Qu’un frisson m’ébranla les reins
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Sitôt que j’y goûtai un brin (bis)
Tu soupiras dans les lointains
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
L’air se remplissait de parfums (bis)
Aiguisant peu à peu ma faim
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Ah ! je voudrais être un lutin (bis)
Pour entrer toute en ton connin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Sous mes frôlements, mes patins (bis)
Tes chairs rendaient des jus divins
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Je m’abreuvai tant et si bien (bis)
Que tu mordis le traversin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud
Toujours lorsque je suis à jeun (bis)
J’aime à boulotter ton vagin
Joli berlingot mesdames
Joli berlingot tout chaud -
J’ai descendu dans mon jardin
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)J’ai descendu dans mon jardin (bis)
Pour m’y branler tôt ce matin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Pour m’y branler tôt ce matin (bis)
J’avais pas fait trois va-et-vient
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
J’avais pas fait trois va-et-vient (bis)
Qu’une voix sort de ce mandrin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Qu’une voix sort de ce mandrin (bis)
Et me dit trois mots en latin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Et me dit trois mots en latin (bis)
Que les hommes bandent moyen
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Que les hommes bandent moyen (bis)
Et les garçons à peine au point
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Et les garçons à peine au point (bis)
Laissant les dames en grand besoin
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Laissant les dames en grand besoin (bis)
Par bonheur il y a des engins
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Par bonheur il y a des engins (bis)
Tels que moi dans les magasins
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Tels que moi dans les magasins (bis)
Toujours prêts à te faire du bien
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau
Gentil gode mi-gros mesdames
Gentil gode mi-gros nouveau -
J’ai encore rêvé d’elle
Catégories : ChansonJ’ai encore rêvé d’elle
C’est bête, ça m’a mise en émoi
Elle n’est pas vraiment grêle
Tant mieux, elle est faite pour moi
Dure et boulotte
Juste pour ma motte
Je l’ai rêvée si fort
Que mes draps puent la mouille
Elle entrait dans mon corps
Arrimée jusqu’aux couilles
Si je pouvais me l’appuyer ah pour de vrai
Si je savais où la trouver
Donnez-moi l’espoir
Prêtez-moi un soir
Une nuit, juste pour elle et moi
Et demain matin elle jutera
J’ai encore rêvé d’elle (Je rêve aussi…)
Me suis branlée six fois (J’ai bien grossi…)
Elle n’est pas vraiment grêle (Qu’est-ce que tu crois ?)
Elle est faite pour moi (Quel trou étroit !)
Raide et piaffante
Juste pour ma fente
Si elle pouvait me ramoner au pied levé (Ouvre les cuisses, j’y arrive pas !)
Si je savais où la trouver (Me sens-tu là ?)
Donnez-moi l’espoir (Je suis en toi !)
Prêtez-moi un soir (Prends ça !)
Une nuit, juste cette pine et moi
Et demain…
Enfin je vais me l’envoyer à en meugler (J’attendais qu’ça, moi, tu comprends ?)
C’est sûr, je vais me faire tringler (Écarte en grand !)
Donnez-moi un soir (Gobe mon gland !)
Laissez-moi y croire
Ce beau zob, juste là en moi
Et demain… n’existe pas
Sur l’air de « J’ai encore rêvé d’elle » (Il était une fois)
https://www.youtube.com/watch?v=jGRaXdT2-58
Il suffisait de changer quelques mots pour faire de ce tube ultraromantique des années 70 une chanson cochonne. J’ai pas pu résister… -
Les gourmandes
Catégories : ChansonLes gourmandes baisent sans gémir
Empalées sur des manches décents
Les gourmandes baisent sans gémir
Les gourmandes, ça n’est pas gémissant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont quinze ans
Et qu’à quinze ans il faut se faire sauter
Pour dévorer la vie à pleines dents
Et puis surtout pour se décapsuler
C’est ce que leur ont dit leurs parents
Et le curé qui entre parenthèse
Se fait sucer souvent au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans mollir
Embrochées sur des manches puissants
Les gourmandes baisent sans mollir
Les gourmandes, ça n’est pas mollissant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont trente ans
Et qu’à trente ans il est bon de montrer
Que tout va bien, qu’on a toujours le temps
Quand il s’agit de rouler dans le pré
Elles font la fierté de leurs parents
Et du curé qui est devenu obèse
Mais fout toutes les nonnes au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans fléchir
Perforées par des manches glissants
Les gourmandes baisent sans fléchir
Les gourmandes, ça n’est pas fléchissant
Si elles baisent, c’est qu’elles ont septante ans
Qu’à septante ans il est bon de montrer
Que leur baveux demeure impénitent
Et aime encore à se faire éventrer
Toutes vêtues de cuir comme leurs parents
Comme le curé qui porte une prothèse
XXL pour fourrer au couvent
Elles aiment ça, et c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans reluire
Taraudées de moins en moins souvent
Les gourmandes baisent sans reluire
Vu qu’leur cul n’est plus trop reluisant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont cent ans
Et qu’à cent ans il est bon de montrer
Qu’on a le con encore un poil tentant
Le plus vieux con de toute la contrée
Avant de rejoindre leurs parents
Et le curé au ciel de la foutaise
Elles font un dernier saut au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
(ad lib.)
Sur l’air de « Les Flamandes » (Jacques Brel)
https://www.youtube.com/watch?v=hoLShUNwPw4 -
Pucelle
Catégories : ChansonC’était au temps où pucelle je rêvais
C’était au temps de mon premier duvet
C’était au temps où pucelle je glandais
C’était au temps où pucelle j’ruisselais
Jambes à l’équerre on voyait ma cyprine
Qui dévalait en torrent mes collines
Jambes à l’équerre on voyait quelques puces
Se balader sur mon mont de Vénus
Mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
Au plan pur’ment scolaire
J’étais genre la dernière
J’me tripotais, je foutais rien
Prise par mes élans vénériens, oaah !
C’était au temps où pucelle je traînais
C’était au temps où m’frisottait l’duvet
C’était au temps où pucelle je mouillais
C’était au temps où pucelle j’me branlais
Déjà j’bavais sur les grosses poitrines
De Joséphine et Simone mes voisines
Déjà j’bavais sur le troublant prépuce
Et les couillons de mon cousin Marius
Mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
Un soir au presbytère
À l’insu du bon père
Elles m’avaient sucée toutes les deux
Juste sous la photo d’Jean Paul II, oaah !
C’était au temps où pucelle j’écoutais
Pousser mes seins et les poils d’mon duvet
C’était au temps où pucelle je r’gardais
S’enculer des lesbiennes à la télé
Moi et les filles on jouait les libertines
En se lançant des œillades assassines
Moi et filles avec un vieux gibus
On essayait d’bricoler un phallus
Et mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
On attendait l’grand frère
Qui nous chauff’rait l’derrière
J’l’imaginais comme Jean-Pascal
Avec en plus une bite de ch’val, oaah !
C’était au temps où pucelle je rêvais
C’était au temps de mon premier duvet
C’était au temps où pucelle je glandais
C’était au temps où pucelle j’ruisselais
Sur l’air de « Bruxelles » (Jacques Brel)
https://www.youtube.com/watch?v=mhOYSwVE3bs -
Quelque chose d’un mec aussi
Catégories : Chanson, Décasyllabes (10)On a toutes quelque chose en nous d’un mec aussi
Cette volonté de fourrer jour et nuit
Ce désir fou d’enfiler à l’envi
Ce rêve en nous mais sans sa queue à lui
Ainsi vivent les mecs ici
Le corps en fièvre et s’astiquant le vit
Dans des Sylvie, des Berthe à l’infini
Ce rêve en nous c’est du gâteau pour lui
Quelque chose d’un mec aussi
Comme une étoile s’enfonçant dans la nuit
Il jute dans celle qui l’aime à la folie
Puis file vers un autre vagin séduit
Sans un seul amour, sans une seule amie
C’est ça la vie des mecs aussi
Traîner devant la télé sans souci
Pour la vaisselle on verra vendredi
Demandez-lui pas de passer l’aspi
C’est pas son job, c’est pas son truc à lui
Le ménage, les gosses et tout ce qui s’ensuit
Quelque chose d’un mec aussi
Cette force qui nous pousse à faire pipi
Toujours plus haut en faisant plein de bruit
Quand ça dégouline c’est tellement joli
Quelque chose en nous d’un mec aussi
Le week-end avec tous ses amis
Il voit des matchs et s’envoie des demis
Apporte encore des cacahuètes chérie
Y a pas à dire elle a un beau châssis
Mais quelque chose d’un mec aussi
Puis il règle son compte à la Russie
Au café du coin, c’est net et précis
Envoyez les porte-avions, les fusils
Missiles par-là, démocratie par-ci
Tu verras qu’ils nous diront merci
Y a des fois je vous jure où vers minuit
Quand le gars dans mon lit s’est endormi
J’ai comme un sentiment, comme une envie
Ce rêve en nous d’avoir sa queue à lui
Quelque chose d’un mec aussi
Y a quelque chose en nous d’un mec aussi
Oh ! quelque chose d’un mec aussi
(ad lib.)
Sur l’air de « Quelque chose de Tennessee » (Johnny Halliday)
https://www.youtube.com/watch?v=8Sc4Pb7d1Nk -
Retiens ta jute
Catégories : ChansonRetiens ta jute
Garde au chaud la pommade féconde
Retiens ta jute
Que je me régale une seconde
Prends-moi plus fort
Perce mon corps
Fais-moi sauter comme un cabri
Que ton labour
Aller-retour
Me trombine à pousser des cri-i-is
Retiens ta jute
Ta biroute est si dure et si belle
Retiens ta jute
Je vais bientôt monter en chandelle
Que ce gigot
Rende dingo
Mon insatiable berlingot
J’veux la culbute
Tous azimuts
Retiens ta jute
Quand tu t’oublies trop tôt dans mon bel orifice
Je reste sur ma faim, me doigte en tapinois
Fous-moi et si demain j’ai mal aux écrevisses
Je serai la dernière à te casser les noix
Retiens ta jute
T’as tout l’temps pour me remplir la bonde
Retiens ta jute
Gicle pas ou je dis à tout l’monde
Que t’as lâché
Ta p’tite bordée
Avant que j’aie grimpé au lustre
Et que c’est pas
La première fois
C’t histoire-là dure depuis des lu-u-ustres oh oh
Retiens ta jute
Pas question cette fois que tu débandes
Retiens ta jute
Que je danse enfin la sarabande
Troue mon conduit
Toute la nuit
Si besoin je remets de l’enduit
J’veux la culbute
Sans parachute
Retiens ta jute
Oh j’veux la culbute
Sans parachute
Retiens ta jute
Sur l’air de « Retiens la nuit » (Johnny Halliday)
https://www.youtube.com/watch?v=0paUMNed8t4 -
J'ai planté ma graine
Catégories : Chanson, Décasyllabes (10)J’ai planté ma graine dans l’cul de Jeanjean
Oh ! la belle aubaine, perdrerai-je ma peine ?
J’ai planté ma graine dans l’cul de Jeanjean
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Avec un peu d’veine, y aura un enfant
Dès l’année prochaine, perdrerai-je ma peine ?
Avec un peu d’veine, y aura un enfant
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Jeanjean c’est ma reine, moi j’suis qu’un manant
Mais l’amour m’enchaîne, perdrerai-je ma peine ?
Jeanjean c’est ma reine, moi j’suis qu’un manant
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
S’il vient une Carmen, que d’emmerdements
Vont entrer en scène ! perdrerai-je ma peine ?
S’il vient une Carmen, que d’emmerdements
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Mais not’ capitaine dit T’inquiète, mon grand
Les chiens font pas d’chiennes, perdrerai-je ma peine ?
Mais not’ capitaine dit T’inquiète, mon grand
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
En attendant, zen, hein, pas d’affol’ment
J’couds des trucs en laine, perdrerai-je ma peine ?
En attendant, zen, hein, pas d’affol’ment
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
On l’appell’ra Ben ou p’t-être bien Bertrand
Pourquoi pas Eugène ? perdrerai-je ma peine ?
On l’appell’ra Ben ou p’t-être bien Bertrand
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Il aura mon zen et les yeux d’Jeanjean
Ses doux yeux de daine, perdrerai-je ma peine ?
Il aura mon zen et les yeux d’Jeanjean
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Bien sûr il s’f’ra ken par tout l’régiment
Un fion ça s’entraîne, perdrerai-je ma peine ?
Bien sûr il s’f’ra ken par tout l’régiment
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
S’ra fort comme un chêne et presque aussi grand
Que not’ brave pitaine, perdrerai-je ma peine ?
S’ra fort comme un chêne et presque aussi grand
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Mais c’t affaire-là traîne depuis bien deux ans
Qu’est-ce qu’il fout ? il freine ? perdrerai-je ma peine ?
Mais c’t affaire-là traîne depuis bien deux ans
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
C’est qu’il faut qu’ça prenne, comme il dit Jeanjean
Recharge-moi la benne ! perdrerai-je ma peine ?
C’est qu’il faut qu’ça prenne, comme il dit Jeanjean
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
J’ai planté ma graine dans l’cul de Jeanjean
Oh ! la belle aubaine, perdrerai-je ma peine ?
J’ai planté ma graine dans l’cul de Jeanjean
Perdrerai-je ma peine, perdrerai-je mon temps ?
Sur l’air de « J’ai planté un chêne » (Gilles Vigneault)
https://www.youtube.com/watch?v=We1-cagx7TI
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Vagina dentata
Catégories : ChansonLes hommes de ma vie s’en vont
En gémissant, tout piteux, le dos rond
Je sais qu’ils ont laissé là — oh là là, quel problème !
Un petit peu d’eux-mêmes
J’ai beau les sucer beaucoup
Ils finissent par prendre leurs jambes à leur cou
Je me demande pourquoi elle est tell’ment vorace
Ma fente, ma chagasse
Mon mari est à l’hosto
Pour dire s’il s’en sortira c’est trop tôt
Ça m’angoisse mais faut qu’je baise, elle a l’dessus sur moi
Vagina dentata
Pourtant c’est doux dehors
Doux doux doux dehors
Et fou dedans
Tout bardé de dents
Gaffe aux doigts d’abord !
C’est doux doux doux dehors
Mais si, bout dehors, vous entrez dedans
Jamais vous n’en sortez comme avant
J’ai tant besoin d’être aimée
Que j’drague des types toute la journée
Même si j’les préviens à temps, ils ricanent et m’enfilent
Là où c’est embêtant
Quand ça leur croque le bâton
Moi je m’affole et j’tourne en rond
Je sais que leur vie s’en va à cause de cette hostile
Vagina dentata
Pourtant c’est doux dehors
Doux doux doux dehors
Et fou dedans
Hérissé de dents
Gaffe aux doigts d’abord !
C’est doux doux doux dehors
Sauf que là-d’dans ça mord
Éternellement
Pourtant c’est doux dehors...
(ad lib)
Sur l’air de « Doux dehors, fou dedans » (Véronique Sanson)
https://www.youtube.com/watch?v=ordtF292IXw