Des yeux qui font baisser les miens
Un rire cruel sous un pif louche
Voilà le portrait sans retouche
Du mec dont je suis le chienchien
Quand i m’gifle à tour de bras
Brûlant d’amour je vois
La vie en ecchymoses
Plus i m’viole et m’fout des coups
D’ceinture un peu partout
Plus je deviens sa chose
Il est entré dans mon fion
Avec tant de passion
Que j’ai craint qu’il explose
C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie
Mon cœur fait des embardées
Dès qu’j’le vois m’regarder
Ça va barder...
Quand i me bat à plus finir
Ou qu’son gros engin prend sa place
Au fond d’moi aussi sec j’m’empoisse
Heureuse, heureuse à en mourir
Quand i m’gifle à tour de bras
Brûlant d’amour je vois
La vie en ecchymoses
Plus i m’démonte la culasse
Dans ses plans dégueulasses
Plus je m’sens en osmose
Il est entré dans mon fion
Avec tant de passion
Que j’ai craint qu’il explose
C’est mon costaud, mon furieux, mon nervi
J’suis là pour lui, toute à lui pour la vie
Mon p’tit cul tout lézardé
Se laisse empétarder
Sans plus tarder
Sur l’air de « La vie en rose » (Edith Piaf)
https://www.youtube.com/watch?v=-0KvBnIvTFs
Chanson - Page 2
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La vie en ecchymoses
Catégories : Chanson -
Mon locataire
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)Il avait d’immenses yeux verts
Un sourire joliment pervers
Et des tas d’amis de passage
Aux bras musclés pleins de tatouages
Qu’au début j’ai pas bien compris
Genre « Du valseur je suis épris »
« Viens faire un tour dans mon trou d’homme »
Ou « Aller simple pour Sodome »…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Quand j’le croisais dans mon couloir
La mouille me coulait sans l’vouloir
Jusque par terre
Bonheur perdu, bonheur enfui
À les écouter toutes les nuits
Se donner ces plaisirs étranges
J’avais des envies qui m’démangent
D’être assise au bord de son lit
Pour voir son p’tit cul démoli
Mais j’ai jamais osé lui dire
Des fois faut pas approfondir…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Quand je l’croisais dans mon couloir
La mouille me coulait sans l’vouloir
Jusque par terre
Quand il m’a quittée cet hiver
J’ai lu dans ses yeux grand ouverts
Qu’il avait du cœur à l’ouvrage
Il s’était fait faire un tatouage
« Ici le plus beau trou d’Paris »
C’était à la suite d’un pari
Avec ceux qu’il app’lait ses hommes
Ces types échappés d’un péplum…
Je savais pas grand-chose de lui
On l’visitait souvent la nuit
Mon locataire
Je l’entendais faire la putain
Qu’on enfilait jusqu’au matin
Pourquoi le taire ?
Il était mince, il était beau
Il sentait bon le foutre chaud
Mon locataire
Chaque fois qu’j’arpente ce vieux couloir
Ma mouille dégouline sans l’vouloir
Jusque par terre
Sur l’air de « Mon légionnaire » (Edith Piaf)
https://www.youtube.com/watch?v=7ShrxDgnU3E -
Fais-moi une place
Catégories : ChansonFais-moi une place au fond d’ta moule
Même si Ignace y a mis sa s’moule
Je r’deviendrai tout dur, tout long, épais
Pour te grimper
Fais-moi une place au creux d’ta bouche
Que j’te décrasse à la farouche
Je giclerai du gland tout blanc, gommeux
Pareil comme eux
J’veux rester dans l’coup avec tes potes
Si tu veux j’mettrai même une capote
Je t’aime
Fais-moi une place dans ton trou d’balle
Près d’Stanislas et d’Hannibal
Je s’rai jamais tout mou, tout con, tout p’tit
Quand j’t’emboutis
Fais-moi une place au fond d’ton pieu
Ta vie d’chaudasse me fout l’épieu
J’s’rai plus jamais perso, vieux jeu, jaloux
Sois tranquillou
J’veux pas m’en aller j’veux pas qu’on s’quitte
J’veux juste un p’tit trou là pour ma bite
Je t’aime
Une petite place ici maint’nant
Entre Jonas et Ferdinand
J’me lav’rai même un peu la queue des fois
Si j’ai pas l’choix
Sur l’air de « Fais-moi une place » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=GF_MInbyiVA
Retrouvez tous ses plus grands succès en un seul volume : -
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Catégories : ChansonElle voulait que j’l’appelle soumise
Vous me voyez, moi, l’humilier, la ligoter à un pilier
Pour lui arracher sa chemise et la fouetter ?
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle drôle d’idée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
Quelle drôle d’idé-é-ée !
J’préfère quand elle me sodomise
Le cul en feu, les reins brisés
La pine éprise de sa beauté
Prenant mon pied par l’entremise
Du silicone de son long pieu
Moi j’ai encore pas trouvé mieux
Pas trouvé mieu-eu-eux
Pas trouvé mieux
Puis elle s’est sal’ment compromise
Avec un gonze à l’air vicieux
Alors là, mouillant ma chemise
J’l’ai décalqué, ce p’tit monsieur
Du coup, maint’nant j’ai la mainmise
Sur deux tordus : elle et le vieux...
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Le cul en feu, les reins brisés, elle me supplie de l’enfiler
Désormais j’la déshumanise pour la baiser
Elle voulait que j’l’appelle soumise
Quelle bonne idée !
Quelle bonne idé-é-ée !
Quelle bonne idé-é-ée !
(ad lib.)
Sur l’air de « Elle voulait qu’on l’appelle Venise » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=3-zYIf81--w
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Si on foutait
Catégories : ChansonLa grande Édith
Mange ma bite
La p’tite Sylvie
Bouffe mon vit
Marie si belle
Marie dentelle
Marie rondelle
M’plume l’hironde-e-elle
Trois bonnes copines
Qui m’sucent la pine
Trois belles nanas
Rien que pour moi ah ah ah ah ah ah ah ah
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Ah mes divines, si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
Si on foutait là là là là
J’ai les couilles pleines, si on foutait
Mais la grande Édith
Veut qu’j’la crédite
La p’tite Sylvie
M’faxe un devis
Marie si bonne
Marie tamponne
Marie gloutonne
J’me réabo-o-o-onne
Faites un rabais
À m’sieur l’abbé
Soyez pas vaches
J’vous paierai ca-a-a-a-a-a-a-a-ash
Si on foutait
(ad lib.)
Sur l’air de « Si on chantait » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=qAqDPNi1mM4 -
Mets-lui ça
Catégories : ChansonMets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ton bambou tout pointu
Tu vois bien qu’elle attend plus que ça
Mets-lui ça, ça la tue
Mets-lui sa chatte à la harissa
Pine à bride abattue
Plus d’une fois même on la fessa
Après l’avoir foutue
« Arrête, horrible individu !
J’ai la choune à sang ! »
S’écrie-t-elle mais bien entendu
Elle gueule en jouissant
Meuf accro aux fruits défendus
Pute à cent pour cent
Pas d’erreur, pas d’malentendu
C’en est indécent
Mets-lui ça, hier quand tu la forças
Elle s’est avouée vaincue
Reste à la percer vice versa
En empalant son cul
« Arrête ! ah ! j’ai le fion fendu
Par ce jonc puissant ! »
Supplie-t-elle mais bien entendu
Elle hurle en jouissant
Cette fille-là c’est une vraie tordue
Un cul ravissant
Qui veut qu’on l’foute à corps perdu
C’en est renversant
Mets-lui ça, enfonce-lui fissa
Ta biroute in situ
Elle est clean et fine en plus de ça
Elle bosse à l’institut
Ouh ! fous-lui ton pénis
Ouh ! raide et sans retenue
Ouh ! faut qu’on la punisse
Ouh ! comme c’était convenu
Ouh ! fous-lui ton pénis...
(ad lib.)
Sur l’air de « Melissa » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ceUMkmZM09M -
Nathalie fornique
Catégories : Chanson
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Nathalie fornique même avec ma mère
Lui broutant le bout des glandes mammaires
Nathalie fornique et moi j’énumère
Leurs plaintes d’amour et leurs cris ravis
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Miguel et Xavier l’ont baisée souvent
Sans parler des frères et sœurs à Ivan
Nathalie fornique et moi j’désespère
D’être le dernier qui l’aura gravie
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Près des orangers, c’est là que j’l’attends
En me tripotant la queue de temps en temps
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique
Ah ! Nathalie fornique si près d’ici
Que finalement j’en bénéficie
Même du fond d’mon lit
Na-tha-lie for-nique
Na-tha-lie for-nique...
(ad lib.)
Sur l’air de « La Californie » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=Tg5IdVUizMc -
Quand je fous
Catégories : ChansonNe me demandez pas
Où je trempe mon biscuit
Quand on est chaud lapin
On regarde pas bien
On pine et on s’enfuit
Y a trop longtemps déjà
Que j’défourraille mon vit
Tout autour de la planète
J’sais plus très bien
Pourquoi ce va-et-vient
Peu importe qu’on soit
À voile ou à vapeur
Quand on est chaud lapin
On a juste besoin
D’infuser son baigneur
J’aime assez les roberts
Et les callibistrys
Mais si y a des coucougnettes
C’est tout aussi bien
Et ça va plus loin
Quand je fous
Je me fous de tout
J’culbute à tort à travers
J’les rends folles
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’enfile aussi des pervers
Des tafioles
J’les rends folles
Depuis qu’j’ai vu le jour
J’kiffe les moments sexy
Quand on est chaud lapin
C’est peut-être qu’on vient
D’une autre galaxie
À un vieux webdocu
Je préfèr’rai toujours
La rage au cul, la fourrette
La baise à la chien
Qui nous fait du bien
Quand je fous
J’ai plus d’garde-fou
J’culbute à tort à travers
J’carambole
Quand je fous
Je suis comme un fou
J’pass’rais bien tout l’univers
À la casserole
J’carambole
Quand je fous
(ad lib.)
Sur l’air de « Quand je joue » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ykUTBO9Vk-Q
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Ce n’est rien
Catégories : ChansonCe n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Qu’à chaque fois ça pique un peu, et soudain
J’entre bien
Jusqu’au fond, comme dans du beurre, je vais, je viens
J’te débouche et j’nettoie tout sur mon chemin
Dans ton boule et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Mon bélier de chippendale
Et tant pis si ça t’fêle un brin le séant
Ce n’est rien
Tu le sais bien que ça passe, ce n’est rien
Tu sais bien
Que j’fais d’mon mieux pour te graisser l’arrière-train
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
Jolie lope au cœur fidèle
Qui t’éclate l’abat-jour au trou béant
(Passage instrumental romantique à mort, avec des violons...)
J’te préviens
Juste avant, j’t’assouplis l’oignon, et soudain
J’pousse à p’tits coups délicats sur mon gourdin
Qui s’enfonce et c’est très bien
Ce n’est que moi dans ta rondelle
Qui t’encule à tire-d’aile
En emportant du même coup tout un tas d’machins malséants
C’est rien qu’ma queue, ma mortadelle
T’avais tell’ment envie d’elle
J’remettrai du beurre le cas échéant
Sur l’air de « Ce n’est rien » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=ZzQ403SHTPM
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Baise-z’y
Catégories : ChansonJ’ai fait un tronc de mon vit
Là pour te donner envie
Il trique sous tes doigts ravis
À l’enfilade il te convie
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y !
Baise-z’y, baise !
La-la la la-la baise !
La-la la la-la baise, baise, baise !
Oh baise !
Car de l’Ukraine à la Russie
Sache que mon vit on l’apprécie
En plus il a encore grossi
Depuis que ta bouche officie
Alors...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Bandant jusqu’en Scandinavie
C’est l’Yggdrasil, l’arbre de vie
Comme tu vois madame est servie
Viens...
Baise-z’y etc.
Les soirs de peine où tu t’ennuies
Il te console et s’introduit
C’est un putain d’oiseau de nuit
Qui s’y plante aussitôt reluit
Toi...
Baise-z’y etc.
J’ai fait un tronc de mon vit
Sois pas farouche et le gravis
Puis quand tu seras assouvie
Pousse un hourra, crie des bravi
Ah...
Baise-z’y etc.
(ad lib.)
Sur l’air de « Danse s’y » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=l-RlvSkpz4E
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Phalles je vous aime
Catégories : ChansonQuelquefois si nouilles
Quand on les papouille
Léchant les couilles
Alors ils mouillent
Quelquefois si durs
Dans mon vide-ordure
Que l’échaudure
Longtemps me dure
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Je n’en connais pas de graciles
Je n’en connais que d’homophiles
Qui m’annihilent
Quand ils m’enfilent
Quelquefois si drôles
Quand ils ont la gaule
Droit comme un saule
Sacré Popaul !
Quelquefois si seuls
Empalant nos gueules
Qui en reveulent
Oui mais si seuls
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Renculez-moi dans tous les sens
Et que gicle là où je pense
Votre semence
Ma récompense
Phalles je vous aime
Phalles je vous aime
Si parfois mon cul se déchire
Ça ne fait rien, je vous désire
Dans ma tir’lire
De pire en pire
Ô phalles…
Sur l’air de « Femmes je vous aime » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=-h8l9MFY-FQ
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Le tapineur
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)Dans une ville où je passais
Un gars zarbi, une gueule cassée
Pour se payer sa fricassée
Dans les ruelles suçait, suçait
Il s’était fait faire un futal
Ouvert aux parties génitales
Mais d’une seule jambe, c’est fatal
On l’appelait Marie-Chantal
C’était un échassier bizarre
Le zob à l’air sous son peignoir
Sur une jambe et jusqu’au soir
Il racolait sur les trottoirs...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Quand le crépuscule arrivait
Il quittait sa sombre cave et
Faisait bander les dépravés
Autour de la gare TGV
Une belle femme aux cheveux blancs
Vint un jour lui palper le gland
Son regard était si troublant
Qu’il s’écria « Oups !... » en giclant
C’était un échassier bizarre
Le zob à l’air sous son peignoir
Sur une jambe et jusqu’au soir
Il racolait sur le trottoir...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Dans une ville où je passais
Il trottait sur sa patte unique
Vivant des revenus de la nique
Et son valseur valsait, valsait...
Il tapinait
Il tapinait
Sur une jambe il tapinait
Il tapinait
(ad lib.)
Sur l’air de « Le patineur » (Julien Clerc)
https://www.youtube.com/watch?v=XTepMDlRYeM -
La chanson de la rémouleuse
Catégories : Chanson, Octosyllabes (8)Jadis, en la paix des familles,
Ma meule chantait sa chanson ;
J’aiguisais la langue des filles
Tout en leur doigtant le chausson.
Mais un jour, un beau militaire
Me culbutant sur le chemin,
Je m’avérai fort salutaire
Aux armements du mâle humain.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ce que j’en ai fourbi d’épées !
Pure et fendue comme un laser,
J’émorfilais aux priapées,
Car c’est à ça que le con sert.
À mon art chacun rendait grâces
D’avoir à vif poli son jonc
Sans laisser guère qu’une trace
De foutre au bord de mon gorgeon.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Je fis montre de tant de vice
Qu’un soir, dans ma chambre à coucher,
L’affreux bourreau du Saint Office
Me tendit son pal ébréché.
Ce méchant pieu triangulaire
Que je décapai à loisir,
Tous mes outils capitulèrent
Sous la ferveur de son désir.
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Ma meule a soif, ma mouille s’use !
Ma moule a faim, il va sans dire.
Voici bien des ans que je fuse
Sur chaque gland pour l’attendrir.
Sans jus, comment rester lascive ?
Mes bons amis, soyez futés :
Venez lécher, verser salive
Pour que je puisse raffûter !
Laissez, messieurs, la rémouleuse
Travailler sous le cotillon,
Vous affilant, l’âme rieuse,
Flamberge, vit ou dardillon !
Sur l’air de « La chanson du rémouleur »
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Chansons_rouges/Chanson_du_Rémouleur -
Le poing du pognon
Catégories : ChansonC’est brutal oui mais démocratique
Y a plus qu’des vaincus
Dès le berceau c’est systématique
Le fric est vécu
Dans nos culs
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Pour le monde entier un seul régime
On t’farcit l’oignon
Et tu t’balades avec dans l’intime
Le poing du pognon
Bien profond
Wohoho !
Fisting pour les hommes wohohoho !
Fisting pour les femmes
Fisting for the men
Fisting for the girls
Fisting pour les jeunes wohohoho !
Fisting pour les vieux
Fisting pour les blancs
Fisting pour les blacks
Fisting pour bébé wohohoho !
Fisting pour mémé
Fisting pour les résignés
Fisting pour les insurgés
Fisting pour les richards wohohoho !
Fisting pour les clochards
Fisting pour les Zoulous
Fisting pour les Inuits
Fisting pour les gourous wohohoho !
Fisting pour les marabouts
Fisting pour les flics
Fisting tout public
Fisting pour les poètes wohohoho !
Fisting pour les coquettes
Fisting pour les cochonnes
Fisting pour les madones
(ad lib.)
Sur l’air de « Lipstick polychrome » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=KcyVeKC0Eb8 -
La zizette
Catégories : ChansonPetite figue de nana que le braquemard rasa
Petit bijou de gouine, ô baba nu sous la nuisette
Aucun besoin de blabla, cherchons pas le pourquoi
Rien qu’à l’idée de lécher là-bas, moi je fais risette
Wohoho !
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ouvre-toi, fais pas ta coquette
Baise avec moi !
Je te boufferai sur la moquette
Il n’existe pas d’autre loi
Que la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Voilà que tu, l’œil hagard, t’es collée contre moi
Tout excitée des ardents regards que je te projette
J’ai ta fêlure dans la peau, des fourmis dans les doigts
Ta zizette là, c’est comme un drapeau, comme une épuisette
Wohoho !
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
Y compris tes relents de bête
Baise avec moi !
Tu vois bien, le désir nous guette
Et comme d’hab on ne résiste pas
À la zizette
Je te veux si tu veux de moi
(Solo de trompette bouchée…)
Ta chaleur et tes jus, tout me va
Ô moniche, ô ma sanisette
Baise avec moi !
Tapons-nous une super minette
Sans un mec pour nous briser les noix
Ah ! la zizette
Je te veux si tu veux de moi
Ta couleur, ta moiteur, tout me va
(ad lib.)
Sur l’air de « L’Aziza » (Daniel Balavoine)
https://www.youtube.com/watch?v=lHjJlSq3BhA
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Ta pine !
Catégories : Chanson(Envoyez les violons...)
J’avais écarté
Bien les cuisses
Pour que tu puisses
M’empapaouter
Bref on allait
Se mettre à table
Quand ton portable
Chanta son couplet
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai mouillé, mouillé-é
Oh ! mouillé comme une chienne
Quand vers minuit
T’as rejoint le plume
Ton beau volume
S’était enfui
Je t’ai grignoté
Sans trop y croire
Mais tes génitoires
Restaient prostrées
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai prié, prié-é
Vénus comme les païennes
Mes prévenances
Et mes doigts de fée
Faisaient leur effet
J’avais l’espérance
Que bien dirigé
Tu reprennes forme
Redeviennes énorme
Mais t’as éjaculé
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai branlé, branlé-é
Ma choune en vraie vaurienne
Et j’ai crié, crié-é
(ad lib.)
Sur l’air de « Aline » (Christophe)
https://www.youtube.com/watch?v=-E_Hyn53acA
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Une vie de patachon
Catégories : ChansonVice, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai l’orifice
Qui bave comme un vieux cruchon
Agrippé à mes hanches un peu rondes
Tu faufiles ton andouille carmin
Et de l’air le plus vicieux du monde
Tu m’empales en un tournemain
Un tour de…
Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai les varices
Qui me remontent jusqu’aux nichons
Tu vois, depuis le premier jour qu’on s’aime
Frappée par ton énorme moyeu
Oubliant jusqu’à ton nom de baptême
Je t’ai dit les yeux dans les yeux
Serre-moi la…
Vis, ô mon vice, lorsque tu dévisses
Ma chatte avec ton tire-bouchon
Vice, ô mon vice, j’en ai les écrevisses
Comme des rubis en cabochon
Je me demande pourquoi tu te retires
Après deux heures à peine c’est pas sympa
J’ai besoin plutôt qu’on me re-tire
Ton amour je ne m’en lasse pas
Mais tu t’en…
Fiches, ô mon vice, je t’en prie, de grâce
Prends-moi encore le bourrichon
Pour moi, mon vice, quoi que tu me fasses
C’est une vie de patachon
C’est une vie de patachon
Je te kiffe plus que le chichon
Reviens, reviens, mon gros cochon
C’est une vie de patachon
C’est une vie de patachon
(ad lib.)
Sur l’air de « Biche, oh ma biche » (Frank Alamo)
https://www.youtube.com/watch?v=skJr2fQtnNc -
Rééducation sentimentale
Catégories : Chanson, Pentasyllabes (5)Ce soir à la brune
J’irai sans rancune
Piner grand-maman
Cette fleur sauvage
Qui malgré son âge
Mouille abondamment
Je mettrai la liesse
En ses vieilles fesses
Et dans ses cheveux
Des flocons de jute
Car elle était pute
En mil neuf cent deux
C’est au crépuscule
Que souvent j’encule
Cette aïeule à cash
Espérant en douce
Qu’à trop de secousses
Son cœur usé lâche
Crevant pour la thune
Sa rondelle brune
Je songe à demain
Mémé dans sa tombe
Je ferai la bombe
Du soir au matin
Demain à l’aurore
Je foutrai encore
Son con tendrement
Baiserai sa bouche
Pour qu’elle me couche
Sur son testament
Dès lors riche à bloc
Oubliant la vioque
J’irai m’abreuver
À ces minaudantes
Juste adolescentes
Qui me font rêver
Sur l’air de « Éducation sentimentale » (Maxime Leforestier)
Paroles de Jean-Pierre Kernoa
https://www.youtube.com/watch?v=e3yTu7AFxnI -
Ça va comme ça !
Catégories : ChansonToi le vit que je n’ai jamais eu
Combien de moules et de culs
Nous aurions pu fourrer ensemble
Sitôt atteinte la puberté
On aurait gaiement culbuté
Toutes ces filles qui me ressemblent
J’aurais appris les doigts dans le nez
L’art tout viril et raffiné
D’agrandir les trous des moukères
Sûr qu’aussi on se serait fichu
Parfois dans un beau moustachu
Surveillant pas bien ses arrières
Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
Je veux la paire à mon derrière !
Être une fille, ça va comme ça !
Toi le vit que je n’ai jamais eu
Si tu savais ce que j’ai pu
Me ramoner en solitaire
Si tu ne m’avais pas fait défaut
J’aurais été bien moins nympho
Juste un don Juan très ordinaire
Si la vie s’était comportée mieux
Elle m’aurait procuré un nœud
En lieu de puits qui fait des flaques
J’aurais connu dans cet univers
De phallocrates et de pervers
Le bon côté de la matraque
Mais tu n’es pas là, y a que la fente !
Je veux la paire à mon derrière !
Être une fille, ça va comme ça !
Toi le vit que je n’aurai jamais
Je suis moins seule d’avoir fait
Quelques emplettes hier en ligne
Je t’ai remplacé, tu me pardonnes
Par un dildo en silicone
Dont je régale mes copines
Sur l’air de « Mon frère » (Maxime Leforestier)
https://www.youtube.com/watch?v=dB5DXulZozU -
Les guiboles à Denise
Catégories : ChansonLaisse les guiboles à Denise
Va pas p’loter l’cul d’Élise
Sans ça je fais mes valises
Dès d’main matin
Reste loin des autres filles
Même si elles ont les yeux qui brillent
La plus belle, la plus gentille
C’est moi, crétin
Je t’ai bien vu les mater tout à l’heure
Ta queue frétillait déjà
Si tu veux me mettre de sale humeur
Wo-oh ! continue comme ça
Laisse les guiboles à Denise
Pas touche aux nichons d’Maryse
Sinon j’te jure j’pique une crise
À la maison
Ne t’approche pas d’mes copines
T’avise pas d’leur faire des mines
Ou alors gare à ta pine
Et tes roustons
On aurait jamais dû v’nir à cette fête
Chaque fois on dirait qu’tu mutes
Tu baves et transpires comme une bête
Un clebs en rut
Laisse les guiboles à Denise
(ad lib.)
Sur l’air de « Les gondoles à Venise » (Sheila et Ringo)
https://www.youtube.com/watch?v=jQyjEaoUPvg
