(Envoyez les violons...)
J’avais écarté
Bien les cuisses
Pour que tu puisses
M’empapaouter
Bref on allait
Se mettre à table
Quand ton portable
Chanta son couplet
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai mouillé, mouillé-é
Oh ! mouillé comme une chienne
Quand vers minuit
T’as rejoint le plume
Ton beau volume
S’était enfui
Je t’ai grignoté
Sans trop y croire
Mais tes génitoires
Restaient prostrées
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai prié, prié-é
Vénus comme les païennes
Mes prévenances
Et mes doigts de fée
Faisaient leur effet
J’avais l’espérance
Que bien dirigé
Tu reprennes forme
Redeviennes énorme
Mais t’as éjaculé
Et j’ai crié, crié-é
Ta pine ! pour qu’elle revienne
Et j’ai branlé, branlé-é
Ma choune en vraie vaurienne
Et j’ai crié, crié-é
(ad lib.)
Sur l’air de « Aline » (Christophe)
https://www.youtube.com/watch?v=-E_Hyn53acA
Ta pine !
Catégories : Chanson
Commentaires
Ces gens qui laissent le portable ouvert quand il y a tellement mieux à faire mériteraient qu'on leur fourre le bigo dans le fion et qu'ils l'entendent sonner sans pouvoir répondre.
Exquisément cruel !
Ils ne sauraient même pas qui les appelle. :D
Sourire... que dire, que faire de plus, si ce n'est sourire ?!
Bien sûr qu'on les aime ces grands classiques de la chanson française revisités et si au passage le règne de l hyper connexion peut être égratigné, et bien tant mieux !!
Que faire de plus ?!
Mais éclater d'un rire tonitruant, bordel :D