Odelette aux branleurs (10/05/2025)
L’apéro onanisé
Chauffe sous la chemise et
Secoue le sucre anisé
De vos sucettes
À vos stupres j’applaudis
Transpirant dans mon body
Rêvant aux câlins maudits
Que vous vous faites
Bande de bandants branleurs
Que j’imagine en couleurs
Le Popaul qui perle en pleurs
Et qui en jette
Plus bas votre caleçon
Boit l’averse avec frisson
Puis la chose ô polissons
Redevient blette
Ô garçons que les tourments
Du foutre si fréquemment
Font s’improviser l’amant
De leur menotte
J’égrène mes chants lascifs
Afin que vos beaux rosbifs
Ne restent pas inactifs
Dans les culottes
06:02 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Woody Allen disait que la masturbation était une preuve que l'on s'aime soi-même, qui n'a rien à voir avec le narcissisme. C'est toujours bon de s'aimer et, par conséquent, d'aimer les autres. Hommes, femmes, branlez-vous seuls ou, mille fois mieux ! mutuellement. Que le foutre et le jus de chatte jaillissent, alléluia ! souillez les draps, offrez à boire à vos partenaires ! Si vous tenez la forme après la vidange, après un repos bien méritée, passez à des jeux lubriques à deux ou à plusieurs.
Ce qui est beau et bon, c'est de se toucher à deux, bouches embrassées, avant de basculer vers un soixante-neuf follement gourmand. Bouffer chatte et cul, pendant que l'on vous bouffe et branle pine, couille et cul avec dilatation d'icelui.
Autres citations : "Longtemps de je me suis touché de bonheur/de bonne heure ?"
- Branle-toi, le Ciel te branlera." (Ca, ça reste à prouver.)
P. S. J'adore mater des dames qui se titillent mouilleuse et fion à deux mains. Et la jouissance de la femme m'émerveille toujours autant.
Bonne sieste crapuleuse, chère Bella.
Écrit par : Marc Bonetto | 10/05/2025
Woody Allen a mille fois raison, comme toujours. Au-delà du fait de s'aimer soi-même, je crois qu'il s'agit tout simplement de bien connaître son propre corps, de façon à mieux jouir de l'existence en général et du corps des autres en particulier.
"Longtemps je me suis touché de bonheur", c'est génial. :D
C'est de toi ?
Bises
Écrit par : Bella | 10/05/2025
La citation vient d'un livre sur la ponctuation, de Jacques Drillon, mais de qui est-elle ? Un poète, je crois. Je la fais mienne : je fus un bébé branleur, jusqu'à l'âge de six, sept ans, jusqu'à la période de latence, comme on dit en psychanalyse.
Je n'ai jamais vraiment osé poser la question autour de moi et j'ignore si nous sommes nombreux à ne pas connaître le moment de nos premières caresses génitales qui se perdent dans la nuit de la toute première enfance. Il faudrait que je me lance dans une enquête, mais j'ai seulement demandé à des proches un peu trop prudes.
Avez-vous vu "Jeune et jolie", de François Ozon, film plus intéressant qu'il n'y paraît ? Au début, l'héroïne se masturbe dans la pénombre de sa chambre estivale, avec le petit frère qui la regarde, apparemment plus curieux qu'excité. Scène de toute beauté et qui me fit frissonner de volupté. Toujours la fascination pour la jouissance féminine. J'ai vu beaucoup de beautés (de laideurs aussi). Je les cherche encore comme source de joie. Un coin de ciel bleu, un des derniers Rembrandt, la bouille d'un labrador, des canards sur un canal de Bruges, une cantate de Bach, les "Feuillets d'Hypnos", etc., etc., etc., me font jubiler en profondeur, mais ce qu'il y a de plus beau, de plus fascinant, c'est l'entrecuisse d'une femme. Bon, c'est sûr, la libido s'en mêle, mais quelle beauté !
Le bi, gente dame.
P. S. En lisant votre entretien en trois partie, je me suis demandé si vous aviez un chien.
Écrit par : Marc Bonetto | 10/05/2025
Je sais où et quand j'ai découvert le plaisir avec mes doigts : ça ne se perd pas dans la nuit de l'enfance, car j'avais dix ou onze ans déjà. Après je n'ai plus arrêté, c'est trop bon.
Pas vu "Jeune et jolie", non. Pas vu un seul film depuis peut-être dix ans.
C'est quoi cette histoire de chien ? :D
Écrit par : Bella | 11/05/2025