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Ton pantoum dans mon haïku

  • Alléluia !

    Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Ah ! l’heureux jour que celui-là
    Quand surgi de la grise église
    Alléluia ! Alléluia !
    Dans l’ombre que les vitraux brisent
          Son vit m’a prise

    J’avais le cœur froid le corps las
    Mais voilà qu’il paraît la verge
    Alléluia ! Alléluia !
    Longue et plus raide qu’une asperge
          Ou qu’un gros cierge

    Sans crier gare il m’encula
    Décrassant mes langueurs têtues
    Alléluia ! Alléluia !
    Et je criais sous les statues
          Pine et me tue !

    Quoique craignant que le prélat
    Vînt attiré par le vacarme
    Alléluia ! Alléluia !
    Je me voyais léchant des Carmes
          La figue parme

    Si bien et tant il m’enfila
    Que prosternée selon l’usage
    Alléluia ! Alléluia !
    Sans chercher à voir son visage
          Je restai sage

    Puis depuis ce jour béni-là
    Soudain dévote ô régulière
    Alléluia ! Alléluia !
    J’offre nu pendant la prière
          Mon pieux derrière

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  • Je cause

    Catégories : Hexasyllabes (6)

    Sans me rentrer dedans
    Tu dois piner mes cuisses
    Limer pour que tu jouisses
    Même en serrant les dents
    J’ai les fentes trop prises
    De joujoux qui les grisent

    En vain broute à mes seins
    Le refus qui m’habite
    Pour te snober la bite
    J’ai comblé mes bassins
    De vibreurs sans faiblesse
    Dont je veux qu’ils te blessent

    L’ego tout ébranlé
    De ne pouvoir me mettre
    Sans la moindre fenêtre
    Va ! cherche où te branler
    Quant à te sucer n’ose
    Pas y songer : je cause

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  • À la baguette

    Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Que la verge là me fustige
    Me traçant de nouveaux sillons
    D’un rouge ardent de vermillon
          Et de vertige

    Qu’on me batte et me fouette à sang
    Qu’on zèbre partout la candide
    Des lèvres aux larmes humides
          Se déversant

    J’attends nue près de la margelle
    Que vienne un jonc pour me mater
    Serrant le vice à la beauté
          Qu’on me flagelle

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  • Après l’averse

    Catégories : Heptasyllabes (7), Pentasyllabes (5)

          Seule à l’internat
    La nuit s’étire et je cède
          À mon cinéma
    Après les averses tièdes
          Tombées des nanas

          J’épie les pisseuses
    Occupées à fendre l’air
          D’un jet d’eau crémeuse
    Qui leur fait vibrer les chairs
          Et me rend rêveuse

          Car je guigne au trou
    Des gogues les accroupies
          Se vidant l’écrou
    Dont le ventre blanc s’oublie
          À l’odeur de brou

          Je leur vois la gousse
    Entre les doigts écarteurs
          Et l’urine rousse
    Roucoulant tel un chanteur
          Lueurs et secousses

          Ou bien c’est venu
    Jaillissant des épidermes
          À jet continu
    Puis la belle se referme
          Un moite con nu

          Oui je le confesse
    J’épie les pisseuses là
          Qui s’essuient les fesses
    Et je me caresse la
          Chatte après l’averse

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  • Les dessous d’une rose

    Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Rose tes soies je les effleure
    Seule dans l’allée où tu croîs
    Parfois même une rosée pleure
          Au plus étroit

    Rose on t’écarte les pétales
    Et aussitôt dans le matin
    Un bouquet de senteurs s’étale
          Qui vous atteint

    Rose ton bouton m’exaspère
    Qui renferme tant d’appétits
    Chauve et dodu comme un bon père
          En plus petit

    Rose ta fine chair éclose
    Drague des bourdons qu’on voit saouls
    En ressortant tout trempés rose
          De tes dessous

    Rose oh mais où sont tes épines
    Je ne vois qu’un cœur allumé
    Que déjà des gueules mutines
          Viennent humer

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  • Dimanche et fêtes

    Catégories : Heptasyllabes (7)

    Découvert l’habit ôté
    Se branlant au presbytère
    Le prêtre décalotté
    Nous embarqua pour Cythère
    Voyage assez culotté

    Moi qui n’y comprenais goutte
    Il m’a prise au débotté
    Sans la moindre sœur écoute
    Pour gémir à mes côtés
    Il disait s’il te dégoûte
    Mon pis tant pis viens beauté
    Couche ici ce pucelage
    Que j’aurai tôt fait sauter
    En t’ouvrant l’ardente plage
    Où tant d’enfants ont fauté

    Découvert sans sa jupette
    Ce curé si mal coté
    Aux ouailles insatisfaites
    Se permit des privautés
    Je revins dimanche et fêtes

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  • (re)Nativité

    Catégories : Décasyllabes (10), Octosyllabes (8)

    Poussez toujours, ne cessez pas l’effort
          D’élargir lentement la brèche
    Afin d’ancrer le Jésus dans la crèche
          Infâme l’espérant : mon for

    Intérieur, serpente retournée
          Muscle ravi vous enserrant
    Bracelet brun de maréchal-ferrant
          Raide à la première fournée

    Forez ma chair, elle se love autour
          Vous épouse à mesure qu’entre
    Cet éperon vôtre au fond de mon ventre
          Qu’il déchire, oh ! tel un vautour

    Affamé, je sens qu’enfin ça pénètre
          Poussez, ne rompez pas l’effort
    De m’enculer en devenant plus fort
          Le bon Jésus semble renaître

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  • Un paillasson à escalopes

    Catégories : Octosyllabes (8), Quadrisyllabes (4)

    Tords ton cul merde remue toutes
    Tes agaceries sur ma gueule
    Sois pas si coincée si bégueule
          Jolie louloute

    Branle ta chatte à en miauler
    Sur l’autre moitié de ton couple
    Dont la langue déploie de souples
          Satins violets

    Décrasse et crève à fond salope
    Ton foutu fruit de la passion
    Ce soir je suis un paillasson
          À escalopes

    Danse du ventre ô je t’atteins
    À l’orgasme en suçant ta grotte
    Remue du cul envoie la flotte
          Et sois putain

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  • À l’assaut !

    Catégories : Décasyllabes (10)

    Sus à mon mont fringants pioupious chargez
    Ce soir il faut me dépasser la cotte
    Chaque assaillant perçant ce qu’il dégote
    Parmi l’enceinte et les butins que j’ai

    Sus à ma chair à canon gros d’entrailles
    Sus à la faille ô vous l’apercevez
    Rêvant là-bas qu’elle se voit crever
    L’ennemie jouit sitôt qu’on la mitraille

    Sus à ce sein troufions grognards poilus
    Que sans répit vous lui fassiez sa fête
    Je sens souffler le vent de ma défaite
    Ce soir j’abdique au soldat un con nu

    Sus brave troupe en la boue de mes croupes
    Pour sur ce corps hisser haut l’étendard
    De la victoire au long membre bandard
    Qu’en moi vos forces armées se regroupent

    Francs tirailleurs enragés engagés
    Pas de quartier fusillez les rebelles
    À mon commandement sus à la belle
    Et dans son mont visez et déchargez

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  • Du tréfonds des espaces

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Ne m’oublie pas prince d’Euphor
    Souvent je pense à toi très fort
    Revoyant tes cornes dorées
    Et ta bite en fer adorée

    Goldorak ô robot géant
    Je t’ouvre mes genoux béant
    Fuse du tréfonds des espaces
    Cornofulgurer ma crevasse

    Mon trou noir et ma bouche à air
    Refends-les d’un rétrolaser
    Joyeux en empoignant mes vastes
    Tétons d’une main enthousiaste

    Goldorak ô vaisseau dément
    C’est toi que je veux pour amant
    Lacérant mes chairs à l’arrache
    À grand renfort d’haltérohache

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  • Ventre affamé n’a plus d’oreilles

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Mon bas du ventre s’acoquine
    À tes laines rousse copine
    Ça tricote à cuisses perdues
    Quoiqu’on n’ait jamais vu d’épine
    À la chair du fruit des fendues

    Nos bouches d’amour s’entretiennent
    La mienne bavant sur la tienne
    Lui conte haleines suspendues
    La sanglante légende indienne
    De l’arbre et du fruit des fendues

    Ventre affamé n’a plus d’oreilles
    Quand nos hauts-de-cuisse appareillent
    Sourds à la plainte inentendue
    Sourdant d’autres bouches vermeilles
    Ailleurs loin du fruit des fendues

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  • Alerte aux vamps pires !

    Catégories : Jocelyn Witz

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    Mon poème d’hier vous présentait le comte E. Jacula, non-mort bon vivant de sinistre réputation (mais forte bandaison).

    Voici l’histoire de ses faims, de ses femmes, de ses frasques, de ses fiascos et de sa fin tragique.

    https://www.atramenta.net/lire/alerte-aux-vamps-pires/100039

     

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  • Le comte et le con (conte)

    Catégories : Décasyllabes (10), Fable, Octosyllabes (8)

    Dans son caveau, le comte E. Jacula,
    Mort depuis peu et qui mal se résigne
    Aux vertueux hivers de l’au-delà,
          Tend l’oreille qui quête un signe.

    Hurle la bise à rendre fous les loups
    Rôdant partout aux abords des masures,
    « Libres !... » gronde E., dont le cerveau jaloux
          A perdu du temps la mesure.

    La crypte soudain résonne des pas
    Précipités d’une chose ou d’un être
    Qui tremble et geint et lui parle tout bas :
           « Pouvez-vous m’entendre, ô mon maître ?

    » Je suis Ninon, fille de ces croquants
    Qu’un jour vous reçûtes à votre table,
    Privilège eu, du reste, en le troquant
          Contre ma vertu discutable.

    » Sachez qu’au grand jamais je n’oublierai
    Combien vous étiez ferme comme un cierge,
    Et que mon con, souvent, tout déchiré,
          Pleure en songeant à votre verge. »

    Plus puissants que la mort, de tels propos
    Font que le feu, bien qu’il y voie que dalle,
    Bande à crever dans son lieu de repos
          En soulevant la lourde dalle,

    Et le voici qui enlace Ninon,
    Lui veut planter son versoir à semence...
    Mais elle tombe à genoux et crie : « Non !
          Seigneur, le péril est immense,

    » Car vous épient au tournant du décor
    Tous ces bouseux que le curé harangue.
    Ils brûleront votre si roide corps,
          Puis ils m’arracheront la langue !

    — Bah ! fait le comte en ricanant, moqueur,
    Est-ce assez pour qu’un Jacula frissonne ?
    Baisant ces rats, je leur serai vainqueur,
          Mais, pour l’heure, ma polissonne... »

    Et de son long pieu fend la bouche en cœur.

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  • Ma légionnaire

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

    Toi qui buvais, gueulant des chants de corps de garde,
          Quelque alcool fort à pleins barils,
    Il fallut qu’en ce bar tes dehors si virils
          Je les perce et mieux les regarde.

    Mal féminin, s’il faut écouter les ragots,
          Ta carrure rude et hommasse
    Me plut assez pour que nos conques nues s’aimassent,
          Quoiqu’on t’appelât virago.

    Ton baryton, tes muscles de déménageuse,
          Loin d’être à mes yeux un défaut,
    M’attirèrent, soudaine émule de Sappho,
          Vers ton épaule avantageuse.

    Qu’importait des messieurs l’imbécile dédain ?
          Tu restais femme tout entière ;
    De leurs labels machos nous nous faisions litière,
          Couchées boudin contre boudin.

    Tu t’en allas où tes 46 fillette
          Et ta moustache t’emmenaient,
    Ô légionnaire en perm aux baisers forcenés,
          Androgyne sans andouillette !

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  • L’effet raie

    Catégories : Heptasyllabes (7)

    Il était une fois raie
    Un amour si vrai si blanc
    Que je cours ma vie foirée
    Après ce rond le ciblant

    Pardonne si j’ose raie
    T’avouer mon vœu le plus cher
    À savoir ta roseraie
    Respirer à pleine chair

    Te mordre à belles dents raie
    Ô rêve exquisément fou
    Faire de toi ma denrée
    Et le restant je m’en fous

    Tout me met en émoi raie
    De tes globes jusqu’à ta
    Truffe pétante et moirée
    J’en tremble oh c’est la cata

    Quel effet tu me fais raie
    Luisant sur mes horizons
    Ainsi qu’une voie ferrée
    Qui conduit à la maison

    Ce trou par où tu chies raie
    M’attire tant que j’en geins
    L’âme toute déchirée
    Et de la mouille au vagin

    Certes parfois ça pue raie
    Lorsque tu démoules chaud
    Ta brune et molle purée
    Mais quant à moi peu me chaut

    Un jour j’aurai ce cul raie
    N’écoutant que mes désirs
    Je viendrai pour la curée
    Te tarauder à loisir

    J’ai tout ce qu’il me faut raie
    Pour te sentir à l’étroit
    Par l’un de mes doigts forée
    Ou deux ou peut-être trois

    Merde je suis un cas raie
    Nul doute je l’ai déduit
    Moi qui me verrais carrée
    Jusqu’au fond de ton conduit

    Étant encore ado raie
    J’ai prié pour que le dieu
    Tapi là mon adorée
    M’adresse un ou deux clins d’yeux

    Je chantais des ave raie
    Pleine d’un espoir bouillant
    Leur portée est avérée
    Si l’on en croit les croyants

    J’en deviendrais gaga raie
    Si tu me laissais venir
    Et d’une langue égarée
    Te conter notre avenir

    Je suis tombée si bas raie
    Que ma seule volonté
    Est de filer mal barrée
    Le train au vice éhonté

    Mon cœur est un salaud raie
    On dirait qu’il veut ma peau
    Me laissant seule à l’orée
    De tes fesses sans repos

    J’ai tout envisagé raie
    Pour te séduire et t’avoir
    Combines exagérées
    Mais tu assoies ton pouvoir

    Qu’as-tu fait de ma vie raie
    Je n’ai plus ni mec ni toit
    De mon job on m’a virée
    Je n’y parlais que de toi

    Non ne te ferme pas raie
    M’ouvre ton anus amer
    À défaut désemparée
    Je me noierai dans la mer

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  • À pleines culottes

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Je voudrais dévorer vos raies
    Déesses fortes et girondes
    Plus qu’aux gros joyaux de Golconde
    Je rêve nue désemparée
    Et moite à vos mollesses rondes
    D’un blanc de falaise de craie

    Ah ! vous lécher le sot-l’y-laisse
    Monts de chair où la vie tremblote
    Jus et viande à pleines culottes
    Planètes nées pour la caresse
    Vos saines sueurs vos riches flottes
    M’engraisseront belles ogresses

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  • Partie carrée

    Catégories : Hexasyllabes (6)

    Nos quatre seins s’ébattent
    Ô chaude échauffourée
    Des tétons à la raie
    On en a plein les pattes
    Dans nos parties carrées

    À branler nos mamelles
    Mutuellement ça miaule
    Ça jouit à tour de rôle
    Nos commandes manuelles
    Font soupirer la piaule

    Les doudounes pressées
    De reluire en durcissent
    Pourpres au bout saucisses
    Tendues tant caressées
    Sucées tel un réglisse

    L’une est à quatre pattes
    L’autre couchée sous elle
    À se tordre de zèle
    Oh nos lolos s’éclatent
    Poitrines dotées d’ailes

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  • Serve du fruit

    Catégories : Octosyllabes (8)

    Rappelle-toi femme allaitant
    Nos serments d’amour mutuelle
    Nos conjugaisons je tu elle
    Nos furieux élans militants

    Rappelle-toi l’hier encore
    Mon corps près du tien qui s’étend
    Ouverts nos ventres palpitant
    Qui prenaient feu jusqu’à l’aurore

    Rappelle-toi qu’en commettant
    Cet inutile tu rallies
    La vie que nous avions haïe
    Avec ardeur à dix-sept ans

    Rappelle-toi dis sois sincère
    Fuyons à deux tant qu’il est temps
    Il pue le vécu qui t’attend
    Serve du fruit de tes viscères

    Femme engrossée femme allaitant
    Si ta bouche se fait cruelle
    Et nie notre amour mutuelle
    J’irais me jeter dans l’étang

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  • Une vie de chien

    Catégories : Jocelyn Witz

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    Quelle chiennerie que l’existence !

    Ça me rend dingo.

    Surtout depuis qu’ils ont plus ma marque de croquettes préférée au magasin, celles au bœuf et à la betterave rouge, vitamines A, D, E, sans farines animales ni colorants mais 0,2 % d’oméga 3 quand même, pourquoi ils la font plus ?

    J’ai beau pas être une truffe, je me fais toujours avoir jusqu’à l’os.

    Quand j’y pense, j’ai envie de mordre quelqu’un...

    https://www.atramenta.net/lire/une-vie-de-chien/99945

     

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  • À consommer sur place

    Catégories : Alexandrins (12 pieds), Octosyllabes (8)

          À ma belle auberge espagnole
    Tu trouveras le bon vivre et le cul ouvert
          On remet souvent le couvert
    Picolant comme un trou plus d’un se la pignole

          À mon bel hôtel de passion
    On entre faire un saut dès qu’on la sent tendue
          Salle des pines pas perdues
    Se mélangent les gens et les générations

          Ô palace ô pension salace
    Tu prendras une suite et la taulière avec
          Range donc ton traveller’s check
    Tous les cons sont compris à consommer sur place

          Le bon vivre et le cul ouvert
    T’attendent la soubrette et ses nymphes menues
          Te souhaiteront la bienvenue
    Après l’amour souvent on remet le couvert

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