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Rechercher : gestapo

  • Déclaration d'humour

    Avec des milliers de tordus j'ai fait l'amour
    Un seul m'échappe pour l'instant : Eric Z...
          Il est laid comme un pou malade
          Ne raconte que des salades
    Mais sous son œil pervers mon sang ne fait qu'un tour

     

    Son obsession pour les nanas me donne chaud
    Branle-bas général dans mon cœur d'artichaut
          Rien qu'en pensant à sa biroute
          Fripée, oh ! mon âme dégoutte
    Car j'ai toujours saucé grave pour les fachos

     

    On se rencontrera près d'un plateau-télé
    J'aurais mis mon body, le rouge olé-olé
          Tant pis s'il a une ou deux taches
          (Voir à racheter des pistaches)
    Nous deux on se comprendra même sans parler

     

    Son corps chétif contre le mien deviendra beau
    Au moins un peu — vivons d'espoir ! — et ce crapaud
          Deviendra l'admirable prince
          Qui dans mes songes m'arquepince
    Et me torgnole en invoquant la Gestapo

     

    Il m'attachera toute nue au radiateur
    Adoptera son regard fou d'hypnotiseur
          Ce mec m'essore la chagatte
          Je veux mourir entre ses pattes
    Griffues et sales d'arachnidé prédateur

          

          

     

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  • Comme en quarante

    Escadrons de l’amour fondez fondez sur moi
          Depuis l’autre bout de l’Europe
    Venez mettre le corps et le cul en émoi
          De Bella la vile salope

    L’an quarante déjà m’avait vue me donner
          À des Teutons tout allégresse
    Foutre avoué est plus qu’à demi pardonné
          M’apprit le commandant SS

    J’éprouvai dans ma chair la Gestapo d’Hitler
          Aux profondes caves humides
    Où l’on vous fout des nuits durant la motte en l’air
          À coups de francfort dans le bide

    Quelques années après putain à Saïgon
          J’accueillis le cœur plein de joie
    Les boys américains napalmant mes lagons
          Et déchirant mes bas de soie

    Je fus en Algérie quand les bouillants Français
          Torturant gaiement l’âme pure
    M’enseignèrent qu’on peut au besoin s’enfoncer
          Un bazooka dans l’échancrure

    De guerre en génocide en proie à tous les fronts
          Je bus subjuguée au missile
    De mille assassins qui jamais n’assouviront
          Ma soif de plaisirs difficiles

    Escadrons de l’amour revenez me violer
          Islamistes Chinois ou Russes
    Ma pauvre chatte attend sa frottée à miauler
          Qu’on vienne lui secouer les puces !


    (Joyeux 11 Novembre !...)


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