Mange qui te culbuta
La bite emmiellée de ta mouille
Pleine encore du jus des couilles
Suce-la bien et vide-la
Fourre-toi dans le gosier
Celle qui toujours te contente
Te fait jouir au con qu’elle plante
Ô pompe à t’en égosiller
Car c’est ici que veut jaillir
Le foutre au-delà de tes lèvres
C’est ici que la bête crève
Lorsqu’elle a fini de saillir
Avale ton bienfaiteur
Ce vit si prompt à l’enfilade
Laisse aller-venir sa balade
Sur ta langue puits de moiteur
Bouffe l’amoureux merlin
Qui auparavant t’a foutue
Si bellement ah tu le tues
On croit juter sur du vélin
Oui c’est ici que doit mourir
Toujours le foutre dans ta bouche
Ici que la bête se couche
Qui vous a tous deux fait courir
Où la bête se couche
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Commentaires
Merci pour cette mise en bouche... qui nous rend la poésie si coquine ;)
Du charnel à l'état pur. Merci à toi, fidèle lecteur !