Sur l'air du « Monnaie blues » de Cabrel
Je lèche son slip et ses couilles
M'ouvre le con avec les doigts
Lui dit t'as vu comme je mouille
Pour toi chéri t'en penses quoi
Je me fais devant lui des choses
Que j'ose pas vous raconter
Je rougis tout entière à cause
De mes propres obscénités
Je lui chuchote des ordures
Qui feraient bander le bon dieu
Je m'échine à la rendre dure
Mais sa nouille ne répond plus
Il est trop vieux
Barreau blues
Wowowo
Barreau blues
Je le gave de cantharide
Et autres remèdes connus
Baguenaude toujours humide
Un plug planté dans mon cul nu
Sous son nez je passe et repasse
Quand il travaille à son bureau
Je prends des poses de radasse
Pour lui susciter le barreau
Vu son goût de la marmelade
Je m'en tartine le merlu
J'essaie tout j'en deviens malade
Mais sa queue ne veut rien savoir
Il m'aime plus
Barreau blues
Wowowo
Barreau blues
J'invite des amies cochonnes
À me filer un coup de main
Rien que pour lui on se trombone
En poussant des cris de putains
Tout en escagassant sa pine
Je suce des braques allemands
Sur son visage se devine
Un faible intérêt par moment
Je me reconnais plus moi-même
Jusqu'où suis-je prête à aller
Pour exciter l'homme que j'aime
Et que son dard se dresse assez
Pour me le caler ?
Oh barreau blues
Wowowo
Barreau blues
(Solo de gratte entrecoupé de Wowowo à fendre l'âme...)
Commentaires
Au solo de gratte entrecoupé de Wowowo, vous pouvez joindre mon rire tonitruandesque. Bon, ça vous aidera pas des masses à faire bander votre compagnon, mais c'est mieux que rien, bien que ça n'ait aucun rapport avec la choucroute ni avec la bouillabaissse...
Je prends ! On ne crache pas sur la rigolade.