Battez le con tant qu'elle est chaude,
Barattez-moi cette ribaude
D'où le babeurre écoule à flot !
Visez dans l'axe du tableau !
Courbet l'a peint pour qu'on la pine ;
Piètre cochon qui s'en débine.
Tirez, forcez, chevaux de trait !
De tant d'effort quels fruits naîtraient !
Que cent tarières la taraudent !
Fini les mines, la minaude ;
Son cri devient de l'art abstrait ;
Battez le con tant qu'elle est chaude !
Commentaires
Vous pensez, divine Bella, à une version sodomistique du "Chant des partouzards" ?
Oh ! bien trouvé le "chant des partouzards" :D
En revanche, pas de sodomie ici (pour une fois). On parle de con, le babeurre est fait de mouille, de jus de fille 100%, sans additifs, et ce cher Courbet, à ma connaissance, n'a pas peint de trous de balles.