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Légère

Catégories : Octosyllabes (8)

Petite oh ma tenue te tente
Tu flaires un dessous des dessous
Rêves d’escalade indécente
Et halètes cœur soudain saoul

Légère ah ma tenue te jette
Dans un état sombre et pensif
On dirait que tu fais la tête
Mais ça remue dans ton calcif

      Si j’enlève encor quelque chose
      On verra tes yeux ribouler
      Pendre soudain ta langue rose
      Peut-être une bave couler

Petite oh ma tenue t’excite
Qui ne cache rien d’autre au fond
Qu’un poil de désir explicite
Quelques replis d’amour profond

Légère ah je me sens légère
En minishort nanosoutif
Sachant très bien que j’exagère
Et mets le feu dans ton calcif...

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Commentaires

  • Ca a l'air de boumer un max, dear Bella. C'est tout ce que je te souhaite... et de pas finir en tôle ondulée pour détournement de mineures. Si la pitchounette a plus dix-huit ans, tu l'as quand même pas allumée avant de la laisser en plan ? Ce serait vicieux, pervers.

    Je te tape quand même un bi sonore sur chaque joue.

  • Je t'ai bien eu, Marc ! Il n'y a aucune pitchounette dans ce poème. C'est la tenue qui est petite, légère... :D
    Bises également

  • Putain, que je suis con, con, cou !

    Le minishort, c'est pas mal. Je préfère la plus mini des mini-jupes. Je me souviens de l'adorable Madeleine, celle qui portait des bas de laine, qui, un matin de printemps, arriva en cours avec un débardeur sans rien dessous. Une copine portait le même jour la même tenue. Les belles ne subissaient pas la tyrannie du rasoir qui lisse les pauvres aisselles. J'ai bien cru me taper un infarctus.

    Le bi, dear Bella.

  • La mode des poils reviendra sans doute. Les amateurs (et -trices) sont toujours nombreux. Bises

  • "Con, con, con", qu'il dit Bougnette. Triple con, quoi ! Faut profiter de ce moment furtif de lucidité. Y en aura pas d'autres avant longtemps, s'il y en a un. Qu'il se réjouisse pas, le mectonibus. C'est pas un compliment. Qu'il aille se faire mettre profond, à sec, douloureusement, ce gros enculé de sa race.

    A bientôt, Bella. Vos poèmes sont des régalades que je fais lire aux cagoles avant l'encanaillement. Vous aimez ça, coquine, exciter les gonzes et gonzesses ?

  • Oh ! oui, déclamez-leur mes cochonneries, ça me fait plaisir ! :D
    Mille bises

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