Une fois n’est pas coutume, le poème ci-dessous n’est pas de moi ! L’auteur en est Éric Dejaeger, aphoriste et poète qui court toujours en dépit de ses crimes littéraires innombrables et des multiples enquêtes policières dont il fait l’objet. Récemment, on l’aurait aperçu dans l’Ouest américain...
Je décline toute responsabilité etc.
J’ai vu la tige à mon tonton,
Aussi la touffe à ma tantine,
Deux avunculaires cochons
Aimant exhiber chatte et pine.
Tonton a défoncé mon fion,
Tantine a léché ma kikine*.
J’avoue que j’ai eu vraiment bon
À mes trous de sale gamine.
Demain nous recommencerons.
C’est moi qui laperai Justine
Et puis je sucerai Gaston
Pour m’abreuver de sa bibine.
J’adore la bite et le con !
Je prends par tous les trous, j’opine
Quelle que soit la position.
Dix ans et foutrement coquine !
* kikine ou quiquine (belgicisme) : mot enfantin désignant la vulve.
© Éric Dejaeger
http://courttoujours.hautetfort.com/
Commentaires
Merci, Bella ! C'est un honneur !
Si je vais en prison à cause de toi, oublie les oranges et apporte-moi plutôt un bon vibro multivitesse, OK ?
Pas un ! Deux ! Des Lovenses, non ? En sus, Rico peut dès maintenant remercier Bella en lui offrant les lettres de James Joyce à sa géniale épouse. (Un lien parmi d'autres : https://www.fr.fnac.be/a4017783/James-Joyce-Lettres-a-Nora)
Le bi à tous les deux.
Oh ! oui, des lovenses...
Qu'est-ce qu'elles ont de spécial, les lettres de Joyce à sa femme ? Y a des passages cochons ?
Bises
Bella, le vibro, par la poste : l'aller-retour Ouest américain-France, ça coûte bonbon !
Marco, c'est quoi, Lovenses ?
Parce que tu comptes jamais revenir dans un pays normal ?!
Y a des mecs et des nanas, des nanamecs comme dit le gars Malta, qui me tuent, pire qu'une rafale de mitraillette. Dis donc, Rico, l'Amérique, c'est pas la forêt dense de Papouasie-Nouvelle-Guinée ni le coin le plus reculé du Gobi (le désert pas le poisson), je suis sûr que dans le moindre bled de l'Arizona ou du Montana, ils ont une connexion internet. Là, tu vas sur fnac.be pour commander le livre, puis sur https://fr.lovense.com/ pour choisir un joujou. Mieux, tu demandes à Bella lequel lui ferait plaisir.
Bella, si Rico te propose d'autres textes du même acabit, ce serait sympa de les accepter. Il en a tout plein en réserve ou publiés. Y en a un sur un prêtre pédophile qui fait froid dans le bas du dos. Je l'ai lu y a un sacré bail, je sais plus où ("Microbe", "Le belle-mère dure", "T.-B." ?) et j'aimerais le retrouver.
Un prêtre pédophile, ça devient presque banal par les temps qui courent.
Bise à toi, Marc !
C'est vrai, c'est banal. Faudrait un chouia changer, causer des rabbins, des pasteurs, des bonzes (qui bitent), des instits musulmans... En attendant, si Rico nous redonne son poème, on se régalera en frémissant de dégoût et d'effroi.
Les lettres de Joyce à sa femme sont délicieusement obscènes. Si leur enculé de petit-fils ne les a pas détruites, on lira peut-être un jour celles de Nora l'Admirable. On les imagine sans mal du même genre.
Le bi de bonne journée.
Marcanaille qui va cocouch' panier.
N'oubliez pas l'abbé Pierre, feu ce vieux cochon !
Je vais essayer de retrouver le texte en question, Marco.
C'est fait. Je le mets en ligne sur mon blog. En espérant que ce soit le bon.
Merci, mon bèû, c'est bien celui-ci.
Bis de bonne journée.