Dans l’église scandalisée
Je me touchais, l’âme rusée,
Lorsque du chœur montaient les chants ;
Quoiqu’ayant pas le cœur méchant,
Je rêvais toute à des fusées.
Dans l’église où le doux encens
Éveillait mon ventre indécent,
Simulant de vagues prières,
Je retombais dans mes ornières
Et me faisais rougir le sang.
Levez, ô temples, vos barrières
Aux folles férues du derrière !
Laissez-les s’éjouir au combat
Contre le brûlant ici-bas !
(Combien, plus tard, se marièrent...)
Dans l’église où errent mes pas,
M’aimant le pivot du compas,
J’ose de mes doigts d’eau bénite
Geindre plus fort que sous la bite,
Et si l’on vient... n’arrêter pas !
Mes ornières
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Commentaires
les doux interdits precieux condiments du plaisir
Indispensable, c'est vrai ! Je me demande pourquoi, au fond... Est-ce que ça veut dire qu'on n'est pas encore libéré(e)s ?