Je baiserai la bouche que tu tiens
Emmitouflée entre tes cuisses pâles
À quoi bon fuir et la prétendre sale
Tu baiseras mon con et moi le tien
Étant cadette ô j’attends et ravale
Ce désir fou qui pourtant me soutient
Qu’ensorcelés tous nos replis pubiens
Mêlent leurs jus à briser leurs pétales
Mais à te voir toujours nue lors du bain
Que nous prenons à deux chaque dimanche
Il se pourrait qu’un de ces jours je flanche
Lors me coulant dans l’eau où nos eaux sourdent
J’écarterai tes jambes mie de pain
Et baiserai ta sublime palourde
Lors du bain
Catégories : Décasyllabes (10), Sonnet
Commentaires
"Ta sublime palourde" : fort belle image.
Coucou, Eric !
Tu es comme moi, tu aimes les fruits de mer ! :D
Comme quoi, les histoires d'eau, ça fait toujours sont effet ! ;)
C'est toujours très humide chez moi. La plomberie doit déconner...