Oh la tête l’ami me tourne
Quand tu me troues l’anus ainsi
Indubitablement précis
Pour ce vit je jette ma gourme
Oh la tête l’ami me tourne
Quand tu me troues l’anus ainsi
On mouille à mort d’être enculée
Par un malotru tel que toi
Quand ta bite entre et me rudoie
Je me sens désarticulée
On mouille à mort d’être enculée
Par un malotru tel que toi
Pour ajouter à l’impuissance
Qui me fait mordre les coussins
Tu m’as menottée à dessein
Tout en me perçant en cadence
Pour ajouter à l’impuissance
Qui me fait mordre les coussins
Je ne me débats et ne braille
Que pour la forme tu le sais
Je jouis de te sentir pousser
Jusqu’au tréfonds de mes entrailles
Je ne me débats et ne braille
Que pour la forme tu le sais
Je vais même serrer les fesses
Afin d’accroître ma douleur
Je suis une louve en chaleur
Sans vergogne je le confesse
Je vais même serrer les fesses
Afin d’accroître ma douleur
Ne t’arrête pas pine pine
Brûle-moi les muscles anaux
Que se disloque mon anneau
J’aime les amours assassines
Ne t’arrête pas pine pine
Brûle-moi les muscles anaux
Ton coup tiré tu vas me dire
Je regrette et tu lècheras
Le sperme chaud perlant par là
Comment pourrais-je te maudire
Ton coup tiré tu vas me dire
Je regrette et tu lécheras
Un malotru
Catégories : Octosyllabes (8)
Commentaires
Un malotru très mâle au trou...
Ah ah! j'étais sûre que quelqu'un allait la faire, celle-là ;)
Je confesse (sic !) une coupable passion pour ce plaisir que d'aucun appelèrent jadis "l'amour contre-nature"…
Mais comme disait le Divin Marquis "rien ne peut trahir une fille de ce côté-là, quelque rudes ou multipliées que soient les attaques ; dès que l’abeille en a pompé le suc, le calice de la rose se referme et on n’imaginerait pas qu’il ait jamais pu s’entrouvrir. !"
…et pis c'est tout !
Comme il cause bien, le Marquis! Il faudra quand même que je le lise sérieusement un de ces jours... Merci pour cette confession, Stan. Je t'absous au nom du fist, du pervers et du sein bien pris.
Bella dans toute sa splendeur, avec quelques ingrédients récurrents, un style qui lui est propre...
Par devant, par derrière... l'important est d'aimer faire et de plaire !!!
Un quatrain pour toi :
Par devant ou par derrière,
Par en haut ou par en bas,
L'important consiste à faire
De l'amour le branle-bas!
Oh, un grand merci... voici un quatrain que met de l'entrain !!
;)
Cet "amour contre-nature", les écolos le vouent-ils aux gémonies ? Et Sandrine Rousseau, avec son mâle déconstruit, s'adonne-t-elle aux joies de la sodomie passive ? Je la vois plutôt harnachée d'un gode-ceinture, mais j'imagine lubriquement qu'elle se fait démonter la rosette et en redemande.
Juste un fantasme, charmante Bella, et votre cher malotru est un damné hypocrite : non, rien de rien, non, il ne regrette rien, prêt à recommencer pour votre plus grand bonheur à tous les deux.
Cher Parrain, j'ignore tout de cette salope de Sandrine Rousseau, mais entre déconstruire le mâle et lui démonter l'oignon à grands coups de strap-on, il n'y a en effet qu'un pas.
Vive la sodomie, qu'elle soit active ou passive! Il serait trop triste de n'utiliser nos trous de balle qu'à mouler des étrons, tel le vulgaire cabot sur son trottoir.
La gerçure fondamentale
(Les conseils du bon docteur Bonetto)
Un cul gercé est un cul insuffisamment hydraté. Comme pour les autres muqueuses, nous préconisons une crème lénitive à pénétration lente, seule à même d'imbiber l'épiderme, l'hypoderme, l'infraderme et autres dermes. Le massage, tendre et vigoureux, se prolongera longtemps après la fermeture des administrations et commerces de proximité.
Ne nous leurrons pas, une gerçure se complique parfois de fissures doublées d'hémorroïdes. Un traitement vigoureux s'impose alors : le récurage, voire le pilonnage, par clystère pénien, digital ou godemiché. Pour la plus grande gloire de dieu et du patient, il sera de bon aloi d'entonner « Viva la sodomià ! » sur l'air de « Viva la libertà ! » (Cf. Mozart, Don Giovanni, Finale de l'acte I.)
Dottore Marco, procto-musicologue.
:D :D
Merci docteur!