Ma brousse prolifère — ah ! défrichons gaiement,
Soyons lisse ainsi qu'une joue de politique ;
Mon mont se mirera aux lorgnons de l'amant
Et lui fera de l'œil et raidira la trique.
La vulve prépubère est in en ce moment ;
Monsieur se sent jeunir, car mon con communique
Au plan subliminal avec son inconscient :
Il croit voir une enfant là où la vieille nique.
Mais prudence ! mesure ! Usons à bon escient
De ce truc, sans couper la branche, en la sciant,
Où nous aimons percher en postures lubriques.
La chose veut qu'on la rafraîchisse, s'entend,
Qu'on en dégage les plages roses, la crique
Au frai tout frétillant d'anguilles électriques.
Commentaires
Amant, heureux amant, portant lorgnon ou monocle en sautoir !
Ni subliminal ni libidinal, mon goût ne me porte pas vers les prébupères (ni vers les adolescentes). En revanche, je n'ai toujours pas résolu le dilemme cunni-anulingal : touffu ou glabre ?... (Avec votre permission, j'y reviendrai sur un ordinateur moins pourri que celui de mon cher payou médicastre.)
Mes hommages, gente Bella.
Oh ! oui, reviens-y !