Les gourmandes baisent sans gémir
Empalées sur des manches décents
Les gourmandes baisent sans gémir
Les gourmandes, ça n’est pas gémissant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont quinze ans
Et qu’à quinze ans il faut se faire sauter
Pour dévorer la vie à pleines dents
Et puis surtout pour se décapsuler
C’est ce que leur ont dit leurs parents
Et le curé qui entre parenthèse
Se fait sucer souvent au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans mollir
Embrochées sur des manches puissants
Les gourmandes baisent sans mollir
Les gourmandes, ça n’est pas mollissant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont trente ans
Et qu’à trente ans il est bon de montrer
Que tout va bien, qu’on a toujours le temps
Quand il s’agit de rouler dans le pré
Elles font la fierté de leurs parents
Et du curé qui est devenu obèse
Mais fout toutes les nonnes au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans fléchir
Perforées par des manches glissants
Les gourmandes baisent sans fléchir
Les gourmandes, ça n’est pas fléchissant
Si elles baisent, c’est qu’elles ont septante ans
Qu’à septante ans il est bon de montrer
Que leur baveux demeure impénitent
Et aime encore à se faire éventrer
Toutes vêtues de cuir comme leurs parents
Comme le curé qui porte une prothèse
XXL pour fourrer au couvent
Elles aiment ça, et c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes baisent sans reluire
Taraudées de moins en moins souvent
Les gourmandes baisent sans reluire
Vu qu’leur cul n’est plus trop reluisant
Si elles baisent, c’est parce qu’elles ont cent ans
Et qu’à cent ans il est bon de montrer
Qu’on a le con encore un poil tentant
Le plus vieux con de toute la contrée
Avant de rejoindre leurs parents
Et le curé au ciel de la foutaise
Elles font un dernier saut au couvent
Et c’est pour ça, oui c’est pour ça qu’elles baisent
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
Les gourmandes, les gourmandes
Les gou, les gou, les gourmandes
(ad lib.)
Sur l’air de « Les Flamandes » (Jacques Brel)
https://www.youtube.com/watch?v=hoLShUNwPw4
Commentaires
Voici l'ami Jacques revisité et de la plus jolie des façons... C'est certes grivois, "si peu", mais au delà de l'exercice de réécriture, ok y retrouve une chose essentiel : le plaisir et le sexe se consomment tout au long de la vie :)
Merci Bella...
Exactement ! :)
Bientôt "Le valseur a mis l'temps" ?
Ah ah ! quelle excellente idée. :D