C’était au temps où pucelle je rêvais
C’était au temps de mon premier duvet
C’était au temps où pucelle je glandais
C’était au temps où pucelle j’ruisselais
Jambes à l’équerre on voyait ma cyprine
Qui dévalait en torrent mes collines
Jambes à l’équerre on voyait quelques puces
Se balader sur mon mont de Vénus
Mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
Au plan pur’ment scolaire
J’étais genre la dernière
J’me tripotais, je foutais rien
Prise par mes élans vénériens, oaah !
C’était au temps où pucelle je traînais
C’était au temps où m’frisottait l’duvet
C’était au temps où pucelle je mouillais
C’était au temps où pucelle j’me branlais
Déjà j’bavais sur les grosses poitrines
De Joséphine et Simone mes voisines
Déjà j’bavais sur le troublant prépuce
Et les couillons de mon cousin Marius
Mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
Un soir au presbytère
À l’insu du bon père
Elles m’avaient sucée toutes les deux
Juste sous la photo d’Jean Paul II, oaah !
C’était au temps où pucelle j’écoutais
Pousser mes seins et les poils d’mon duvet
C’était au temps où pucelle je r’gardais
S’enculer des lesbiennes à la télé
Moi et les filles on jouait les libertines
En se lançant des œillades assassines
Moi et filles avec un vieux gibus
On essayait d’bricoler un phallus
Et mes envies bestiales
De croupion qu’on empale
F’saient rire Marie-Claire
F’saient rire Bérengère
On attendait l’grand frère
Qui nous chauff’rait l’derrière
J’l’imaginais comme Jean-Pascal
Avec en plus une bite de ch’val, oaah !
C’était au temps où pucelle je rêvais
C’était au temps de mon premier duvet
C’était au temps où pucelle je glandais
C’était au temps où pucelle j’ruisselais
Sur l’air de « Bruxelles » (Jacques Brel)
https://www.youtube.com/watch?v=mhOYSwVE3bs
Commentaires
L'art de la réécriture des chansons qui font partie de notre patrimoine est parfaitement maîtrisé...
Mais qui s'en étonnera encore ?
Pas ceux qui viennent ici lire le fruit de ton imagination fertile ;)
... et dont tu es sans conteste le plus assidu.
Bises à toi, François !