Oui, j’m’arrime à sa lime
Et, sans en foutre une rame,
J’me laisse emm’ner aux cimes
Jusqu’à pousser des brames…
J’ai pas la moindre estime
Pour lui — c’est ça le drame.
Lui, c’est la pine sur pattes,
Le franc tireur d’élite,
Mais, c’bandard acrobate,
Nos rapports le dépitent :
Chaque fois que je l’cravate,
C’est rapport à sa bite.
Que voulez-vous qu’j’y fasse
Si j’ai l’cœur près des fesses
Et l’amour qui s’efface
Plus vite que les promesses ?
La vie, c’est d’la lavasse
Sans sa s’ringue à ivresses.
Il rêvasse qu’on habite
Ensemble et qu’nos savates
Pioncent côte à côte — moi, vite,
Je l’désape et je l’tâte…
C’est rapport à sa bite :
C’est juste ça qui m’éclate.
Rapport à sa bite
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Commentaires
Après ça, on s'étonnera que l'on pisse vouloir réhabiliter la fessée... non mais !!!!
Que l'on puisse.... inutile de jouer avec cette erreur de frappe
Le lapsus t'habite, François!
elle m'coupe les pattes et m'envoie béate lauréate du phallocrate celle-là ^^
C'est bath!