Je sais pas vous mais moi
J'ai souvent des vertiges
Quand un mâle dirige
Vers moi son œil sournois
On dirait qu'il me fouille
M'arrache ce que j'ai
Crache à la place un jet
D'âcre jus de ses couilles
Et le voilà parti !
Vers une autre conquête
Ma défaite est complète
Et mon ventre transi
Oh ! ces genoux qui tremblent
Ce bec resté béant
Ouvert aux quatre vents
Tout cela me ressemble
Je sais pas vous mais moi
Je me sens possédée
À longueur de journée
Et j'aime ça... je crois
Commentaires
Vous allez vous faire des ennemis parmi les pseudo-féministes, genre de Haas, Haenel, Coffin, Rousseau ou le procureur-général Fouquier-Tinville-Plenel.
Chouette ! ça me fera de la pub...