Ne me laisse pas Pamela
Si chaude oh je t’en prie mets-la
Moi toute et pine que je sente
Mieux cette amour envahissante
Qui fait de mon con ton époux
Où pour toi sourd où pour toi bout
La mouille émue de mes entrailles
Mais tu t’en fous toi tu me railles
Et soudain me tournes le dos...
J’ai plus qu’à baiser nos dildos
Mon con ton époux
Catégories : Octosyllabes (8)
Commentaires
Histoire courte mais combien bonne !
"La mouille émue de mes entrailles" : très joli.
Je reconnais bien là l'amateur de courtes (cela dit sans vouloir offenser tes épouse et maîtresses) !