Lui léchant le talon nu
Du pied les doigts et la plante
Pour prix de cela je n’eus
D’autre dessert au menu
Qu’un blanc jet de sève lente
Sur mon ventre maintenu
Il jouit fort mais ces congères
Maculant l’espace ailleurs
Jamais de loin n’asséchèrent
Ma faim cela désespère
Quand mes envies sont tailleur
D’ingérer l’eau de sa paire
Songes vains vous me saoulez
Moi qui peine à être sage
Sage telle qu’il voulait
Pour qu’admise enfin sous les
Flux et m’ouvrant le visage
J’avalasse l’écoulé
Moi qui peine à être sage
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