Ton cul ! ce con presque oublié
Je l’ai sur le bout de la langue
Qui me revient tel un boomerang
Tel le trésor des templiers
J’y fourre un nez de sanglier
Ton cul ! pourquoi tirer un trait ?
Avais-je un trou une lacune ?
Étais-je aux fraises ou dans la lune ?
L’esprit malin me pénétrait
Retour aux sources du concret
Ton cul ! quand j’en perdis le fil
Je courus sans réminiscence
Vers d’épouvantables jouissances
Et trimbalai mon bas profil
En des orgies tout œnophiles
Ton cul ! fétiche dispersé
Hantait mes nuits de sa mémoire
Brave lanterne ! Ô écumoire !
À nouveau je veux y verser
L’écot de mon panier percé
Panier percé
Catégories : Octosyllabes (8)
Commentaires
POÈME D'AMOUR
Mon cul !
Quoi ton cul ?
Hé bien mon cul
Ah ! ton cul
Aah ! ton cul.
(Louis Scutenaire)
De la grande poésie, et qui rime, en plus!
Merci, Eric.