Baisez-moi les sillons je serai sage
Me soucierai peu du monde méchant
Et comprendrai d'autant mieux le message
Que baiserez mon con en le léchant
Si en outre il se trouve ici des gens
Pour me donner à suçoter des bites
Oh approchez baillez-les-moi bien vite
Avant que me remonte le poison
L'anti-éros qui toujours ressuscite
Quand me laissez livrée à la raison
Commentaires
"Que baiserez mon con en le léchant". Bigre ! Le gaillard est donc d'une exceptionnelle flexibilité ! Si, de plus, vous vous adonnez à de profondes caresses anales, ce doit être le nirvana terrestre.
De la souplesse, encore de la souplesse, toujours de la souplesse ! comme disait Danton (je cite de mémoire).