Le p'tit cul qu'on foutait tout l'temps
Qu'il avait donc du coura-age !
Avec son p'tit œillet troublant
Tous derrière, tous derriè-ère
Avec son p'tit œillet troublant
Tous derrière et lui devant
Il s'ouvrait à tout impétrant
Ce gentil cul phallophage
Rond et lisse et toujours content
Tous derrière, tous derrière
Rond et lisse et toujours content
Tous derrière et lui devant
Il s'était ainsi mis dedans
Tous les vits du voisinage
Ce joufflu brave et compétent
Tous derrière, tous derrière
Ce joufflu brave et compétent
Tous derrière et lui devant
Sa rondelle allait palpitant
S'assouplissant à l'usage
C'était loin d'être un débutant
Tous derrière, tous derrière
C'était loin d'être un débutant
Tous derrière et lui devant
Mais un sadique impénitent
Un dompteur d'un certain âge
Le fit mettre par son éléphant
Tous derrière, tous derrière
Le fit mettre par son éléphant
Tous derrière et lui devant
Il est mort dans un éclair blanc
Ce tout p'tit cul sans visage
Un geyser de foutre puissant
Tous derrière, tous derrière
Un geyser de foutre puissant
Tous derrière et lui devant
Sans doute fut-il trop gourmand
Trop avide au ramonage
Il rendit son âme en pétant
Tous derrière, tous derrière
Il rendit son âme en pétant
Tous derrière et lui : des vents
D'après "Le petit cheval" (Georges Brassens)
Commentaires
Magnifique de mauvais goût ! J'aime beaucoup.
Merci ;)
Par un éléphant !!! Bigre ! Diantre ! Foutre-dieu ! Il ne devait en rester que des morceaux, de ce corps éparpillé près de la mare où les lions vont boire.
Oui, triste histoire...