J'aime ton cul, sa rondeur, sa souplesse
Sa façon d'onduler sous la caresse
Je pourrais rester là jusqu'à demain
Tâtant des yeux, de la bouche et des mains
L'orbe jumeau et suave de tes fesses
Dieu sait pourquoi, ce bout de toi ne cesse
De me plonger dans d'obscures ivresses
Oh ! tourne-toi, ouvre-moi le chemin !
J'aime ton cul
Ton œillet brun est un puits de promesses
Un tonneau qu'il faut sitôt mettre en perce
Nous verrons bien s'il garde des tanins
Je te respire à cœur, ô antre humain
Que dirais-tu de m'offrir une vesse ?
J'aime ton cul
Commentaires
Digne du sonnet du trou du cul de qui tu sais !
Le classique (et très beau) sonnet de Verlaine+Rimbaud ?
Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir !
Oui, c'est bien celui-là.
Un tel rondel incite encore plus à s'offrir aux délectations active et passive des plaisirs de Sodome femelle. Bon, pour moi, ce sera sans vesse, mais avec des incursions au sadinet pour y boire jusqu'à l'ivresse.
Sadinet ?! Faudra que je le replace, celui-là. Merci du tuyau !