Je fis briller plus d’une heure
Ses lobes et ses ourlets
Entrant ainsi qu’en du beurre
Tétant tous les petits-laits
De volupté déferlés
Je fis fondre sous ma langue
Son cachou de chair brûlant
Léchai la pulpe de mangue
De son temple en y mêlant
Mes mucus équivalents
Je fis râler sans relâche
N’en ayant jamais assez
Ma poseuse aimée des flashes
Aux orgasmes d’opiacé
La laissant ressorts cassés
Enfin décarapacée
Et les sangs qui s’amourachent
Perle d’O n° 207
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