Sexe au repos bonheur passé
Pas moyen de recommencer
... Sauf à réveiller le taureau
Par un massage aux pectoraux
... Sauf à prier sainte Agrippine
Patronne des énormes pines
... Sauf à dissoudre des viagras
En louc’dé dans son bouillon gras
... Sauf à le menacer s’il traîne
De virer à jamais lesbienne
... Sauf à la jouer chienne en chaleur
Venue lui flairer l’enculeur
... Sauf à s’autoligoter toute
Dans l’espoir qu’il vous la refoute
... Sauf à jurer pour l’avenir
Des irrumations sans vomir
... Sauf à lui raconter l’histoire
de sœur Marie des Génitoires
... Sauf à lui mettre un clitoris
Sous le nez long comme un’ saucisse
... Sauf à suçoter tant et plus
Les moindres plis de son prépuce
... Sauf à saliver dans sa bouche
Des giclées de désir farouche
... Sauf à lécher son périnée
Pendant que lui cherche un ciné
... Sauf à river entre ses miches
Deux doigts mouillés pour voir s’il biche
... Sauf à se branler devant lui
S’il faut la moitié de la nuit
... Sauf à lui parler d’Isidore
Qui lui au moins rebande encore
... Sauf à évoquer Jean-Cédric
Qu’est toujours droit comme un derrick
... Sauf à invoquer Marie-Claude
Qui vous prêt’ra un ou deux godes
... Sauf à lui tordre les tétons
En gueulant Prends-moi ’spèc’ de con !
... Sauf à lui promettre un’ pucelle
Et de faire aussi la vaisselle
... Sauf à lui promettre un’ putain
Dotée d’un cul tout en satin
... Sauf à promettre l’impossible
Pourvu qu’il remette un fusible
... Sauf à le griffer jusqu’au sang
En chantant des trucs indécents
... Sauf... mais v’là qu’il redevient tendre
En somme il suffisait d’attendre