Il m'aime grave, y a pas photo
Il m'aime au point que des mots crades
Sortent de sa bouche en cascade
Chaque fois qu'on va au dodo
Je voudrais pondre aussi des phrases
Olé-olé qui font rougir
Mais rien ne vient, j'ai un soupir
J'ouvre les cuisses et je m'écrase
Il me dit : mets ça dans ta chatte
Branle-toi, lèche à fond mon cul
Aussitôt je produis du jus
Toute tremblante sur mes pattes
Il m'aime grave, y a pas photo
Il me fait décoller de terre
Rien qu'avec son vocabulaire
Chaque fois qu'on va au dodo
Commentaires
Ne serait-ce une vengeance (inconsciente ?) contre un mâle qui ne porte pas sa portion de charge mentale du couple ? Juste une hypothèse hautement hasardeuse. En tout cas, je compatis à la frustration du pauvre graveleux qui rêve à coup sûr de jouer un duo luxurieux en do majeur. Non, c'est pas de la solidarité masculine : Parrain, il est pas solidaire, Parrain il décanille en majorité les mectonibus.
Mes hommages, sublimissime Bella.
Soyons franche, j'ai rien pigé à ton histoire de charge mentale.
J'ai juste retenu "sublimissime"...
Vous avez retenu l'essentiel.
Parrain dépose sa collection de surins à vos pieds, avant de les reprendre : Parrain garde toujours ses outils à portée de main.
On n'est jamais trop prudent.
Tiens, si ça t'intéresse, j'ai écrit et publié une histoire poilante où apparaît précisément le personnage du Parrain. On peut la lire gratuitement ici (p. 91 sq.) :
https://fr.calameo.com/read/004997431f76734c4b068