Tranquillement, avec une guitare
A la Brassens, bien sûr, même si c'est sans doute un brin trop court pour faire une chanson...
Combien de berlingots trottinant pressés par les rues
Que je ne caresserai pas !
Combien de polissonnes — qui sait ? — sous la robe nues
Où je ne mettrai pas le doigt !
J'ai chanté à foison celles que j'aimai, les connues
— Bibliquement, ça va de soi,
Mais l'herbe est bien plus verte et les chatounes plus velues
Hors l'ordinaire de mes draps.
Adieu, mes coups foirés, virtuelles déjà caduques
Qui ne levez pas le regard !
Adieu, ô mes chéries ! De mon balcon je vous reluque
En m'asticotant le bazar.